Mois : mars 2020

Ils sont sous-traitants , fournisseurs et prestataires, domiciliés à Saint- Louis. Et réclament plus de 15 millions de Fcfa à la Sde, devenue Sen Eau. Leur lien commun est le partenariat fécond qui a jalonné, ces dernières années, leur compagnonnage avec la Sénégalaise Des Eaux. Aujourd’hui, tout ce beau monde partage la même peur de voir tout l’édifice socio-économique, fruit de tant d’efforts dantesques, s’écrouler comme un château de bois mort. En fait, depuis que la Sde a fait sa mue en Sen Eau, les partenaires n’ont plus perçu un rotin de la structure spécialisée dans le traitement et la distribution d’eau potable. Depuis lors, ils exigent, en vain, le paiement de leurs factures.
Le renouvellement du contrat d’affermage de production et de distribution de l’eau au Sénégal qui a fait que Sen Eau a été choisi à la place de la Sénégalaise Des Eaux a causé un tort incommensurable à une dizaine de sous-traitants et prestataires de la région de Saint- Louis. Ces derniers n’arrivent plus à rentrer dans leurs fonds pour des travaux exècutés sur ordre et au profit de la Sde. Retrouvés au sein d’un collectif, ces concessionnaires ne savent plus à quel saint se vouer. D’autant que, certaines indiscrètions font état de la fermeture des comptes de la Sde le 31 Mars 2020 prochain. Ayant contracté des dettes pour l’exècution des travaux au compte de l’ancienne société d’exploitation des eaux, ces concessionnaires ont, désormais, le couteau sous la gorge. Et, trois mois après sa prise de fonction, le nouvel exploitant qu’est Sen Eau, pourtant bien imprégné de la situation, n’a laissé transparaître aucun signe de dégel.
Forts de ce constat, les prestataires et autres partenaires de la défunte Sénégalaise Des Eaux interpellent la tutelle tout en souhaitant l’arbitrage du chef de l’Etat. Par ces temps qui courent, le constat fait selon bon nombre d’observateurs avertis, est que l’Etat du Sénégal liquide des sociétés ou les privatise sans prendre en compte les préoccupations des prestataires qui les ont, toujours, accompagnées durant les périodes de vaches maigres a glané le site de référence www.miroironeline.com. Pour l’heure, ces sénégalais espèrent que cet éniéme cri de détresse sera entendu par les autorités compétentes. Estimant qu’ils ne méritent pas leur sort actuel après les services ficelés dans les programmes financés par l’Etat du Sénégal, exècutés et réceptionnés au profit de la Sde aujourd’hui Sen Eau.

A Guet_Ndar, les détenteurs de petites pirogues ou Félés_félés réclament la rénégociation des licences de pêche mauritaniennes. Directement impactés par l’exploitation du gaz et du pétrole, et, jusqu’ici privés de ces fameuses licences, ces pêcheurs réclament, à présent, leur part. D’autant, précisent_ils qu’ ils sont largement majoritaires à l’aune de l’inventaire des pirogues qui essaiment dans la cité de Mame Coumba Bang.

Avec l’ouverture de l’agence de Ross_Béthio, la Banque Agricole ex Cncas, réaffirme son ancrage dans le Delta et la Vallée du fleuve Sénégal. Construite en 18 mois sur un espace de 500 m2, cette agence va incarner le leadership de la Banque Agricole dans cette partie du pays. Avec un réseau de 40 agences qui sera porté à 50 d’ici l’année prochaine, la Banque Agricole va s’approcher, davantage, de la clientèle tout en lui garantissant un espace_accueil de qualité a glané le site de référence www.miroironeline.com.

Ross_Béthio, une femme se morfond dans son coin en cette après-midi de 8 Mars 2020. Alors que ses sœurs du Walo célèbrent, à leur manière, en cogitant, gaiement, autour du thème du jour qui porte sur l’état civil, la journée mondiale de la femme, la bonne dame, originaire du village de Ndioungue Mbéress, n’a pas le cœur à festoyer. Le regard hagard, les pensées lointaines, la dame Fary Guéye est amère. Elle ne comprend pas pourquoi le père biologique de ses deux garçons ne fait plus signe de vie depuis trente ans. Maçon de son État à Ross_Béthio, puis, commerçant à Kédougou, le quidam a fini par prendre la voie de l’émigration. A la recherche d’un léger mieux sur le plan social, le mari de la dame Fary Guéye va traverser la frontière pour chercher fortune en Mauritanie. Depuis cette date, son épouse et sa progéniture n’ont plus eu de ses nouvelles a glané le site de référence www.miroironeline.com. Aujourd’hui, son seul espoir en bandoulière, la dame Fary Guéye dévoile un pan secret de son histoire tout en guettant le moindre signe du destin.

A Ross_Béthio, la journée journée du 8 Mars a été l’occasion d’intenses moments de réflexion autour de la question de l’état civil. Ici, près de 10% des enfants ne sont pas inscrits à l’état civil, selon des statistiques données sur place. Dans cette partie du Walo, dont le quotidien des populations se résume, essentiellement, autour des activités relatives à l’agriculture, les femmes jouent leur partition. L’ardent désir de ces femmes du département de Dagana est, aujourd’hui, de trouver les voies et moyens à mettre en œuvre pour rentabiliser les efforts faits lors des travaux champêtres. Ainsi, elles espèrent un appui des autorités centrales en vue de la transformation des produits locaux ainsi que leur commercialisation.

Des vivres, du savon, des désinfectants, des couchages, du matériel usuel et usager entre autres. C’est l’appui, non négligeable, que les femmes du parti Pastef à Saint_Louis, ont donné au dara, j’allais dire à l’ orphelinat de Ngallèle, à l’occasion de la journée internationale de la femme célèbrée le 8 Mars. A défaut de la Maison d’Arrêt et de Correction, initialement ciblée, mais qui s’est barricadée avec la survenue du virus Corona, les camarades d’Ousmane Sonko se sont rabattues sur l’orphelinat de Ngallèle. L’occasion faisant le larron, les  » Pastefistes  » n’ont pas manqué de titiller l’orgueil du maire de Saint_Louis Mansour Faye et son équipe. Prêchant, ainsi, par l’exemple, les femmes Pastef de la cité tricentenaire les ont invités à se pencher sur l’épineuse question de la précarité dans les daras tout en mettant à l’index le phénomène pernicieux des enfants de la rue.

Non,  » le sacrifice  » des valeureuses femmes de Nder du 7 Mars 1820 ne passera pas par perte et profits. Les fils du terroir entendent en faire un acte fondateur en vue d’insuffler un nouvel élan, une dynamique positive dans cette contrée nichée au fin fond du Walo. Une localité éloignée et enclavée certes. Mais, pourtant, à quelques encablures, seulement, de l’abondance et de la prospérité. Dans la mesure où cette partie de la commune rurale de Gnith est  » choyée  » par la nature. Avec des sources d’eau intarissables à l’instar du Lac De Guiers, des milliers d’hectares de terre cultivable qui s’étendent à perte de vue, du soleil qui darde ses rayons toute l’année durant et sans oublier la bravoure des bras valides qui représentent une main_d’œuvre à portée de main. Qu’est ce qui reste ? Juste un petit signe du destin et une volonté sans faille des décideurs pour doter la commune de Gnith, dans son entièreté, de bonnes pistes de production, de routes goudronnées, d’infrastructures sanitaires aptes à contenir l’accroissement démographique de la localité, d’eau potable pour tous, d’électricité partout, de dotations conséquentes en intrants et matériels agricoles, d’appuis en activités génératrices  de revenus pour les femmes entre autres. Autrement dit, il est question, ici, de tout mettre en œuvre pour faire bégayer l’histoire. L’assertion :  » les morts ne sont pas morts  » de l’écrivain et historien de son époque Birago Diop trouve, aujourd’hui, toute sa pertinence.
 » Berceau de vénérés hommes, château d’eau du Cayor et de Ndakaaru  » ainsi que l’ a rappelé la coordonnatrice du comité de pilotage, à l’occasion de la cérémonie commémorant les deux cents ans de l’acte de bravoure posé, ce mardi là, par Ndieumbeut Mbodji, Seybané et leurs camarades, Nder enferme, dans ses entrailles, les vestiges de dignes femmes, héroïnes d’un jour, héroïnes de tous les temps.

Deux cents ans, un âge jeune pour les historiens, plusieurs générations pour de simples mortels, voilà que l’année 2020, consacrant le bicentenaire du fameux  » Talaatay Nder « , donne l’occasion à une génération réfléchie, ambitieuse et mue par un réel développement de son terroir, de célébrer un acte de haut fait historique dont la seule invocation impose respect et reconnaissance.

La structure mise en place pour donner corps à cette ambition collective a décidé de se consacrer à un retour de la dignité, de l’équité et de reconnaissance de Nder comme lieu de mémoire et berceau du leadership féminin.
Conscients qu’on n’apprend pas à un walo-walo le rôle et la place de la femme dans le développement socio-économique, les plénipotentiaires de cette entité veulent, désormais, être au devant de la scène pour défendre les intérêts du village de Nder. Puisque les sénégalais d’ici et d’ailleurs se sont appropriés le  » Talaatay Nder  » , rien ne devrait plus être comme avant. Pour ces enfants du terroir  » Talaatay Nder devient une marque, un label et un rendez-vous incontournable couru par les Sénégalais : intellectuels, professionnels, élèves, étudiants et collectivités territoriales » .

Dans cette dynamique, pensent les membres de ce comité,  » la reconnaissance de Nder comme patrimoine national a besoin d’être, formellement, matérialisée par l’édification d’un musée dédié aux vaillantes femmes de Nder pour la sauvegarde et la promotion de l’histoire de Talaatay Nder  » à glané le site de référence www.miroironeline.com. Chemin faisant, l’idée de collecter deux mille vingt signatures a pris forme. Par cette entremise, les populations de cette partie du département de Dagana promettent de porter le plaidoyer auprès du chef de l’Etat dans l’optique que la journée du 7 Mars soit consacrée  » journée nationale de la femme  » pour perpétuer le legs des femmes de Nder.

A travers sa  » marque de fabrique « ,  » Entre’ Elles « , Intelligence Magazine a, encore, fait sensation. La 7éme édition a été délocalisée, cette année, à Saint_Louis, dans la capitale du Nord. Mais le résultat reste le même. L’objectif d’offrir aux jeunes filles l’opportunité de profiter de l’expérience de leurs aînées a été atteint.

A L’université Gaston Berger de Saint_Louis, un pavillon de 1175 lits est désormais mis à la disposition des étudiants. Un bol d’air pour les pensionnaires de Sanar qui attendent ce moment depuis de longs mois, voir de longues années, maintenant. D’un coût de prés de 3 milliards 900 millions de Ffca, ce pavillon a été construit sur une durée de 3 ans. Cette infrastructure va, ainsi, mettre à l’aise toutes les composantes du temple du savoir. D’autant qu’avec cette acquisition, c’est l’équivalent de 50% de la capacité d’accueil de l’Ugb, qui est de quelques 4.000 lits, qui est engagée. Autrement dit, le gap immobilier noté ces dernières années, à l’Ugb, est considèrablement comblé. Ce pavillon qui englobe 3 villages universitaires, selon la formule consacrée, devrait bientôt, être l’objet de toutes les convoitises, à l’aune de l’acuité de la question de l’hébergement dans l’espace universitaire. Ce qui engage les préposés à la délivrance de ces fameuses chambres à un exercice de transparence sans faille.
Ce pavillon P arrive alors que l’Ugb, n’a plus connu d’infrastructures de cette envergure depuis 1990, date de sa création a glané le site de référence www.miroironeline.com. Quand on vous aura dit, ainsi que l’a rappelé le directeur de la construction nationale, flanqué du recteur de l’Ugb et du directeur du Crous, que le pavillon Q, en phase de finition, sera livré dans les plus brefs délais, vous aurez compris que L’ Etat du Sénégal est entrain de faire des efforts louables en vue de renforcer la capacité d’accueil de l’Ugb.

En remettant des suppléments multivitaminés à la région médicale de Saint-Louis, CounterPart contribue à la santé mère-enfant. Destinés aux femmes enceintes, ces suppléments multivitaminés vont aider à prévenir l’anémie et contribuer, ultérieurement, à la bonne santé des futurs bébés .