Mois : juillet 2021

A display in a San Francisco shopping mall exhibited several young women of all ages with prices attached to the bodies. The displays, element of a advertising campaign by the Doing work Group Against Human Trafficking, sought to focus on the issue of individuals trafficking and to increase awareness of the difficulty. The advertisements featured the women’s ages, weight, level, and other measurements. They also included their countries of arrival and sexuality. In the process, the women’s reviews and the work of the performers were delivered to light.

An installation called « Women for Sale » was created by Task Induce about Human Trafficking in Laxa, sweden, as part of a campaign for making consumption of sexual offerings a offense. The set up was a great interactive unit installation, which exhibited real women and their rates with all the details they could provide: level, weight, and measurements. The goal was to increase awareness of this practice also to collect enough signatures to ekaterinburg russia women pressure the ministry to take action.

The women on display in the assembly were viewed in the store’s window with price tags and details of their very own height, weight, and other measurements. The prices on the women were submitted next for their photos, and the price tags included their country of origins. The set up aimed to increase awareness about the problem of human trafficking and to gather enough autographs to make it a crime. In Israel, this has been successful in lowering the demand meant for prostitutes.

“L’histoire de la conservation des zones humides au Sénégal a débuté dans les années 70 avec la mise en place d’aires protégées (dont le Parc National des Oiseaux du Djoudj en 1971 et les Parcs Nationaux du Delta du Saloum en 1976, des Iles de la Madeleine et de la Langue de Barbarie) qui avaient pour but de préserver des échantillons d’écosystèmes marins et côtiers naturels du pays. Cet engagement s’est confirmé avec la ratification en 1977 de la Convention de Ramsar sur les zones humides et l’inscription successive de 4 sites (Parcs Nationaux des Oiseaux du Djoudj et du Delta du Saloum, Réserves Spéciales de Faune de Gueumbeul et de Ndiaël), et plus récemment la Réserve naturelle communautaire de Tocc Tocc comme Zones humides d’importance internationale. D’autres sites comme le Parc National de la Langue de Barbarie et « les trois marigots » sont aujourd’hui inscrit pour être érigés en site Ramsar. 

En ratifiant cette Convention, le Sénégal s’engage également à mettre en place une politique nationale de gestion des zones humides, des plans de gestion pour chaque zone ainsi que des outils de mesures de l’efficacité de leur gestion. Cependant, avec le contexte socio-économique actuel marqué par la pauvreté, la croissance démographique et le phénomène des changements climatiques, ces sites naturels sont confrontés à des agressions de toute part, à telle pointqu’il est plus que nécessaire de renforcer la sensibilisation, la communication et l’éducation environnementale sur leurs importances, sur les enjeux de la conservation de la biodiversité et des zones humides.

Pour la zone de Saint-Louis, qui est l’une des plus grandes régions écotouristiques au Sénégal, elle offre un écosystème diversifié et des valeurs écologiques à travers un réseau d’aires protégées. Faisant parties intégrantes de la réserve de biosphère transfrontière du Delta du Fleuve Sénégal, cette mosaïque d’aires protégées (PNOD, PNLB, RSFG, Tocc-Tocc, AMP-SL, RSAN) regorge d’une diversité biologique, animale et végétale exceptionnelle (Avifaune, Faune sauvage, ichtyofaune et des écosystèmes de mangrove). Aujourd’hui, cette richesse, méconnue surtout des Saint-Louisiens, ne peut être conservée durablement qu’à travers une sensibilisation et une communication relevées pour trouver l’équilibre entre les enjeux de la conservation et l’utilisation des ressources par les communautés.

A cet effet, Le Bureau d’Information et de Sensibilisation des Parcs et Réserves du Nord (BISPRN) veut organiser une sortie Pédagogique sous le format apprentissage parle contact avec les sites et l’espace naturel dans un élan récréatif.  Ce format permettra aux acteurs d’échanger sur un certain nombre de sujets majeurs liés aux Objectifs du Développement Durable (ODD) notamment la place de la mangrove dans la lutte contre changement climatiques (CC), les services écosystémiques d’une zone humide base de développement, les déchets plastique et l’économie circulaire etc. Un accent particulier sera porté sur les risques et l’intérêt de conserver les zones humides et de renforcer leur résilience par rapport à certains phénomènes.

Objectifs :

La sortie pédagogique est en réalité la périphérie de la question environnementale. Cependant certains saint-Louisiens tout comme la jeune génération ne sont pas préparés à la gestion présente et future du capital de la nature. Pourtant les sorties extra-muros visent l’épanouissement de l’individu et partant, de la société. Or le l’agression que subit la nature, l’utilisation prédatrice des ressources ne peuvent favoriser l’épanouissement de l’homme. Toutefois, il est possible par les sorties pédagogiques adaptées, de voir, de connaitre et d’appréhender les contraintes pour pouvoir prendre les décisions idoines afin d’améliorer les conditions de vie des communautés humaines tout en respectant les limites de la capacité de charge des écosystèmes.

Ainsi, l’objectif premier est de connaitre pour mieux conserver le milieu naturel dans la durée en se basant sur le principe de l’articulation qui doit sous tendre le binôme « Autorités-Milieu ». Il s’agira alors de :• Placer la question environnementale au centre de la préoccupation des autorités régionales, des élus locaux tout comme les services administratifs déconcentrés en les sensibilisant ;• Faire découvrir aux acteurs les potentialités de la biodiversité des zones humides (Parcs et réserves) ;• Booster le tourisme local (visite mensuelle de chaque autorité et sa famille dans un site);• Permettre une prise de décision appropriée pour une meilleure conservation de la ressource et un niveau socio-économique relevé de la communauté ; • Amener les populations à mieux connaitre leur environment afin de stimuler leur volonté à participer aux activités de protection, de conservation, de restauration et de valorisation.”

Dans le Gandiolais, led préparatifs de la fête de Tabaski n’augurent rien de bon pour les producteurs d’oignon. Malgré leur dernière sortie médiatique à l’occasion de laquelle ils poussé des cris d’orfraie, il y a quelques jours, la situation n’évolue guère dans le sens qu’ils souhaitent. Dans cette partie du pays, ce sont des tonnes d’oignon qui continuent de constituer le décor au niveau des routes, pistes de production, marchés et autres points de collecte du condiment. Forts de ce constat, les producteurs d’oignon du Gandiolais ont, encore, haussé le ton pour inciter le pouvoir central à réagir pour leur permettre de fêter l’ Aid El Kébir dans de bonnes conditions.

Dans le département de Saint_Louis, les producteurs d’oignon ne savent plus à quelle autorité se fier. Leurs multiples tentatives pour commercialiser leurs productions sont restées vaines. Ainsi, de Diama a Mbane, en passant par Ndiagambal, Tilène, Ndiaye, Pont Gendarme, les sacs d’oignon jonchent le long de la route. La moitié de la production, soit quelque 30 mille, est invendue. Et, faute de magasins stockage, le féculent est exposé au soleil. Et pas à l’abri des eaux de ruissellement. Au banc des accusés, certes les autorités compétentes. Mais aussi et surtout, l’agrobussiness dont la production inonde le marché en dépit des différents rappels â l’ordre des services en charge de la régulation du marché.

Le Sutsas plaide pour  » une perfusion financière  » de l’hôpital régional de Saint_Louis. En visite dans la capitale du Nord, dans le cadre de sa tournée nationale, le Sg du Sutsas, par ailleurs coordonnateur de And Guesseum et ses camarades ont conseillé l’Etat de renflouer les caisses de l’hôpital, à hauteur d’un milliard de Fcfa. Ce, pour dépasser les tensions de trésorerie qui perturbent, bien souvent, la marche de la structure hospitalière.

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Dans la cité de Mame Coumba Bang, certaines populations, regroupées au sein de la plateforme des saintlouisiens, ont battu le pavé, ce vendredi, dans l’après_midi. Pour dire non à la délocalisation annoncée du Stade Me Babacar Sèye. A l’occasion de leur marché, les plénipotentiaires cette plateforme d’actions et d’échanges des saintlouisiens et les autres participants ont tonné des slogans hostiles au ministre_maire de Saint_Louis, qu’ils désignent comme l’ élèment_déclencheur de leur mauvaise humeur. Visiblement décidés à poursuivre leur logique de bras de fer avec le gendre du président de la République,  » les marcheurs  » l’ont invité à leur prêter une oreille attentive. En réalité, c’est le ton arrogant de Mansour Faye et son attitude cavalière aux allures de forcing qui dérange dans la capitale du Nord et son arrière_pays. De la devanture du stade Me Babacar Sèye à la place Abdoulaye Wade, en passant par les avenues Macodou Ndiaye et Mame Rawane Ngom, ces saintlouisiens ont prêté leur mal_être tout en invitant le pouvoir central à tout mettre en oeuvre pour arrêter les dérives autoritaires du ministre_maire de Saint_Louis. D’autant que le bonhomme n’en est pas à son coup d’essai. Son entreprise avortée de rebaptisation de l’ Avenue Général De Gaulle en Avenue Macky Sall est , encore, vivace dans les esprits.

 » Le « Vélo Club Ablaye Thiam » de Saint Louis organise, du 04 au 10 juillet, la 3ème édition du « Tour du Fleuve ». C’est une course de vélos de 1500 km en 7 étapes, allant de Saint Louis à Matam., avec un circuit fermé de 30 km entre Matam et Ourossogui en sprint. Le Tour du Fleuve enregistre la participation des pays de la sous région (Mauritanie, Mali, Gambie, Bénin, les deux Guinées,) et des cyclistes de la France.
En plus de son caractère sportif, c’est un événement dont l’objectif est de mettre en exergue la beauté de la région nord et les réalisations du gouvernement. Ainsi cette édition sera un « Topp tànk » (suivi de pas qui magnifie, en opposition à ceux qui font le « tibb tànk » pour diaboliser) après la visite économique du PR à Saint Louis et au Fouta. Les maires des communes traversées accueilleront les coureurs et leurs donneront des trophées déjà conçus à leurs images. Les maillots de classement sont à l’honneur du PR (jaune) , ministre des sports (rouge), ministre des transports terrestres et du désenclavement maire de Saint Louis (marron), ministre du tourisme, maire des Agnam et du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche. Cette année la participation des cyclistes français est presque compromise. Comme vous le savez, ils avaient fait le déplacement lors de la première programmation et dépensé leurs économies. Ainsi malgré leur volonté de participer il leur est impossible d’avoir les moyens de payer le voyage de leurs 13 cyclistes. Cela va rabaisser l’image de l’événement annuel à l’honneur de la ville de Saint Louis (ville de départ et d’arrivée de la course, mais surtout son lieu de domiciliation). C’est pourquoi votre intervention en tant que maire de la ville de Saint Louis est vivement souhaitée, pour faciliter la prise en charge du déplacement des français. Votre soutien est la bienvenue et le plus attendu des promoteurs du « Tour du Fleuve ». Avec toutes mes excuses et mes respects, j’ai tenu à vous faire cette suggestion. Samba Sall Chef de Service Régional des Sports de Saint Louis « .

Dans le Nord du pays, les opérations de lutte contre les oiseaux granivores ont, officiellement, démarré ce weekend. Et ce sont les riziculteurs de la cuvette de Mboubène qui ont été, les premiers à sonner l’alerte, qui sont les témoins privilégiés des premières opérations d’épandange de produits phytosanitaires. En compagnie du chef de service régional du développement rural, le directeur général de la Saef est allé s’enquérir de la situation de ces sinistrés de la zone de Mboubene où les oiseaux ont pillé quelque 150 hectares de riz.
Avec le concours de la Drdr et de la direction de protection de la nature et d’un opérateur de la zone, un hélicoptère à été affrété pour dénicher les oiseaux. Le même procédé va être mis en oeuvre dans toute la zone du Delta et au_delà. Au finish, les dix foyers de nidation répertoriés de Saint_Louis à Matam seront traités et débarrassés de ces prédateurs.