Dans la capitale du Nord, le Festival de Jazz, le Magal des Deux Rakas entre autres sont, toujours, un prétexte pour organiser une foire commerciale. Au surplus, la vieille cité tricentenaire vit au rythme, en moyenne, d’une foire tous les mois ou tous les deux mois. Une situation qu’ insupportent les commerçants qui enregistrent un manque à gagner non négligeable. Sous ce rapport, les commerçants du marché Ndar, appuyés par l’Association des Commerçants et Industriels du Sénégal ( Acis) interpellent les autorités municipales.