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Ugb : Les Etudiants Crient leur Faim et Interpellent les Autorités au Sommet de l’ Etat

A l’ Université Gaston Berger de Saint-Louis, les étudiants interpellent la tutelle et les autorités au sommet de l’ État sur la question de la restauration. Sur place, les pensionnaires de Sanar trouvent, difficilement, de quoi se mettre sous la dent en vue de tromper leur faim. Une dette de l’ Etat, de près de 4 Milliards, envers les repreneurs et autres restaurateurs fait vivre le calvaire aux 8 mille étudiants. Lesquels disent, face à cette situation, être amenés y manger du pain au chocolat pour les repas de midi.

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Formulation du Plan National de Développement et de son Plan d’ Actions Prioritaires 2024 / 2028 : La Contribution de Saint_Louis en QuestionS

_ « Pour s’inscrire sur la trajectoire de l’émergence, le Sénégal a pris l’option, en 2014, d’adopter le Plan Sénégal émergent (PSE) comme modèle de pilotage de sa politique économique et sociale. Ce Plan, séquencé en phases quinquennales pour sa mise en œuvre, ambitionne de réaliser une croissance économique soutenue, durable et inclusive. Il s’inscrit dans la vision du PSE, celle d’un « Sénégal émergent en 2035 avec une société solidaire dans un État de droit », et s’articule autour de ses trois (3) axes : (i) la transformation structurelle de l’économie accompagnée d’une croissance forte, inclusive et durable,
(ii) l’amélioration significative des conditions de vie des populations et (iii) le renforcement de la gouvernance, de la paix et de la sécurité.Les deux (2) premières périodes quinquennales, 2014 – 2018, puis 2019 – 2023, ont été l’occasion de mettre en œuvre des projets, programmes et réformes ayant favorisé l’enclenchement du processus d’Emergence économique du Sénégal. À travers les moteurs de croissance et d’inclusion sociale, le PSE cherche à relever le niveau de développement humain du Sénégal. À cet égard, il a été enregistré une amélioration significative de la croissance économique et du bien-être des populations. Toutefois, il subsiste des goulots d’étranglement pour lesquels des contraintes ont été identifiées et hiérarchisées lors de la phase diagnostic. A cet égard, un choix judicieux de projets et programmes, mais aussi de réformes est nécessaire pour relever les défis de l’heure, tout en prenant en compte les nouveaux paradigmes et problématiques actuels afin de garantir l’émergence économique du pays à l’horizon 2035.C’est dans ce cadre que le Ministère de l’Economie du Plan et de la Coopération (MEPC), à travers la DGPPE, organise une tournée nationale, à travers les 14 régions, afin de partager, avec les acteurs régionaux, les résultats du diagnostic et de la stratégie. Elle sera également l’occasion de discuter sur le recueil des projets ou d’idées de projets et de réformes proposés pour opérationnaliser la Stratégie ».

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Accident de Louga : Le Bilan Passe à 24 Décès et une Soixantaine de Blessés

_ Selon un décompte, évolutif, fait par les autorités médicales, vingt quatre décès dont vingt deux sur le site de l’accident, un à l’admission à Louga et un à Saint-Louis sont recensés.
Trois cas graves ont été évacués sur Saint-Louis et six personnes évacuées sur Saint-Louis pour des besoins de bodyscanner.
Trente blessés sont hospitalisés au niveau de l’hôpital régional de Louga dont quatre dans un état grave, admis au niveau du bloc opératoire et quinze blessés légers suivis au niveau du centre de santé.
Selon nos sources, le suivi psychosocial du personnel, des blessés, et des parents des blessés et de ceux des personnes décédées est assuré par le psychiatre de l’hôpital régional de Louga et son équipe.
Pour l’ évacuation des décès et des blessés, onze ambulances ont été mobilisées en plus du camion frigorifique de la Pharmacie Nationale d’ Approvisionnement ( Pna).
Par ailleurs, vu la portée de l’accident ainsi que sa situation géographique, les personnels des structures de santé de Saint_Louis, de Louga, de Keur Momar Sarr, de Koki et Sakal ont été mobilisés.

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Gestion Intègrée de la Ressource en Eau dans la Région de Saint Louis : Les Acteurs Locaux Renforcés

_ « L’accès à l’eau potable surtout en milieu rural relève d’une demande sociale pressante qui exige une gestion de proximité. Cela interpelle de fait, les collectivités territoriales même si la compétence relative à la gestion du service demeure encore une prérogative de l’Etat. En effet, du fait de leur proximité, les collectivités territoriales se sont illustrées davantage en apportant des réponses aux diverses sollicitations des populations portant sur la réalisation de nouveaux ouvrages hydrauliques, l’extension de réseaux d’eau potable, l’acquisition de nouveaux équipements, la réparation de pannes, la recherche de partenaires, etc. La mise en place et l’animation d’un cadre régional de concertation sur la Gouvernance du Service d’Eau potable et de l’Assainissement (CCREA) participe aux acquis importants dans la gestion des services d’eau potable. A travers ce CCREA, le Projet d’Appui aux Initiatives des Collectivités Locales pour l’Hydraulique et l’Assainissement (AICHA) vise à renforcer les processus de la gouvernance de l’eau dans la région de Saint Louis, afin que ceux-ci soient mieux préparés à assurer la sécurité alimentaire et à s’adapter au changement climatique, à la pénurie d’eau et à la concurrence croissante pour les ressources en eau de manière équitable et durable. Les dispositions relatives à la tenure de l’eau, qu’elles soient formelles ou coutumières, affectent sa gestion, sa rareté et la concurrence sur la ressource. Pour cela, le projet vise à promouvoir une approche intégrée de l’évaluation des ressources en eau qui prenne en compte les aspects biophysiques, politiques, environnementaux, socio-culturels et économiques de l’utilisation de l’eau. Le projet part du constat qu’il est nécessaire d’améliorer les processus de gestion de l’eau et des services afférants afin de lutter contre la vulnérabilité, la faim et la pauvreté. Au niveau national et transfrontalier, il existe des cadres institutionnels concernant la GIRE définis par le Ministère de l’Eau et de l’Assainissement (MEA) et l’Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS) qui déterminent la façon dont les usagers individuels, les collectivités et les organisations ont accès à la ressource en eau et l’utilisent, mais ceux-ci demandent à être mis en œuvre de façon concrète afin de pouvoir réguler les prélèvements et ainsi préserver la ressource en eau en terme de qualité et de quantité. La ressource est soumise à de nombreuses pressions causées par la multiplicité et la diversité des usages, ce qui peut générer des rivalités et conflits d’usage. D’où la nécessité de la prise en compte d’un volet de la Gestion Intégrée des Ressource en Eau (GIRE) par le projet AICHA 21, porté par le Cadre de Concertation Régional Eau- Assainissement (CCREA). A cet effet, la collaboration entre l’ARD et le Programme Solidarité Eau (pS-Eau) a été une opportunité pour ce dernier d’offrir aux acteurs du cadre de concertation de l’eau et de l’assainissement une session de formation et de sensibilisation ».

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11 émes Journées Scientifiques des Doctorants de l’ Ugb : L’ Importance de la Recherche en QuestionS

_ « S’exprimant en marge de l’ouverture de la 11e édition des journées scientifiques de l’Ugb, le Pr Ngalla Djité est largement revenu sur l’importance de la recherche en milieu universitaire. Il demande à ses pairs d’inverser la tendance de la supériorité de la pédagogie sur la recherche.Le directeur de l’école doctorale des sciences et technologies est catégorique : «  une université sans recherches scientifiques est un gros lycée ». Il note avec désarroi que 95% du budget et du temps est consacré à la pédagogie. « A l’université on fait beaucoup de pédagogie et on fait peu de recherche. Chaque fois qu’il y a des crises au sein des universités ce sont des crises liées à la pédagogie. Nous sommes toujours en train de régler des problèmes pédagogiques et on a peu de temps pour se consacrer à la recherche », a déploré M. Djité qui invite à inverser la tendance et d’aller à 60% de recherche, 40% de pédagogie. Le collège des écoles doctorales a coorganisé avec le collectif des doctorants de l’ugb, les journées scientifiques. Le Pr Djité explique que l’université Gaston Berger est dans son rôle. « En tant qu’ enseignants_chercheurs, nous avons des charges d’enseignement mais également une charge de recherche. Dans certains pays, il y a le statut d’enseignant tout court, il y a le statut de recherche tout court, comme il y a le statut d’enseignant€ chercheur. Mais au Sénégal, dans nos universités publiques, il y a des centres de recherche et il n’y a que le statut d’ enseignant_ chercheur qui existe. Cela veut dire que nous avons une charge de recherche », ajoute le Pr. Il déplore que les textes ne définissent pas clairement cette charge de recherche pour les enseignants. « On me dit, par exemple, que je dois faire 6 heures d’enseignements par semaine, mais on ne me dit pas en tant qu’ enseignant_chercheur, qu’est-ce que je dois faire à ce niveau. L’institution doit définir la charge en termes de recherche de chaque enseignant et ça je pense qu’il appartient aux autorités de le faire », a-t-il ajouté. Le Pr Ngalla Djité invite donc l’Etat à évaluer ce que fait l’enseignant_ chercheur car dans la prise en charge des acteurs, il y a une partie réservée à la recherche. « Je pense qu’il incombe, donc, à l’Etat de demander en contrepartie la contribution des enseignants à la recherche », a indiqué M. Djité. A l’ Université Gaston Berger de Saint Louis, ils ont compris cela, à en croire le représentant du collège des écoles doctorales. Ces journées scientifiques en témoignent. Mieux, le Pr Djité explique qu’ils collaborent avec des structures prêtes à appuyer les résultats de la recherche. Expliquant le thème choisi pour la 11e édition, M Djité souligne qu’une recherche sans application ou une recherche sans impact sur la vie économique, sociale et politique d’un pays, est une recherche inutile ».

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« Justice de Proximité » : Les Plénipotentiaires de la Maison de la Justice, à Saint_Louis, Renforcés

_ « La séparation et l’indépendance des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire, constituent le socle fondamental de la forme républicaine de l’Etat, caractéristique essentielle de tout régime politique qui se veut démocratique. Ce principe d’essence constitutionnelle fonde l’exigence d’une justice accessible et indépendante, gage d’un Etat de droit. C’est pourquoi, l’Etat du Sénégal, à l’instar de tous les régimes démocratiques, a mis en place un système judiciaire à travers les Cours et tribunaux qui doivent garantir un accès équitable au service public de la justice. Toutefois, force est de constater que ces institutions judiciaires sont parfois éloignées des justiciables, complexes, peu accessibles et coûteuses pour les populations, le plus souvent vulnérables. C’est pour cette raison que l’Etat du Sénégal avait institué dans le cadre du Programme Sectoriel Justice (PSJ), initié en 2004, un volet « justice de proximité », dont l’objectif principal était de rapprocher la justice du citoyen. Aujourd’hui ce dispositif « Justice de proximité » comprend plusieurs structures que sont les maisons de justice installées au sein des quartiers, les Bureaux d’Accueil et d’Orientation du justiciable (BAOJ) qui sont au niveau des juridictions et les Bureaux d’Information du justiciable (BIJ) crées au sein des universités. Toutes ces structures concourent à un même objectif qui est celui de rapprocher la justice du justiciable à travers l’accès à l’information juridique, le règlement amiable des conflits à travers la médiation-conciliation ainsi que l’assistance administrative pour la facilitation de l’obtention de certains documents administratifs tel que le casier judiciaire et le certificat de nationalité.En ce qui concerne les maisons de justice, structures phares de ce dispositif, elles sont animées par des coordonnateurs et des médiateurs qui assument chacun des fonctions bien définies. Pour mener à bien ces fonctions qui leurs sont dévolues, ces acteurs ont besoin d’être constamment formés sur les outils et compétences nécessaires à la réalisation des missions assignées aux maisons de justice. C’est tout le sens qu’il faut donner à cet atelier de formation de trois (03) jours organisés avec l’appui de la Coopération allemande « GIZ » dans le cadre du « projet Régional sur l’Etat de droit et la justice en Afrique ». Cet atelier aura pour thème « Renforcer la coordination et disséminer les bonnes pratiques au sein des maisons de justice ».

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Projet Asstel : La 3 éme Phase Clôturée

_ « Les deux premières phases du projet Asstel (accès aux services et structuration des exploitations familiales d’élevage) ont permis d’apporter des réponses durables aux problématiques qui étaient préalablement identifiées. Au regard des enseignements tirés, des recommandations formulées sur la base des difficultés rencontrées et malgré les avancées notées, les enjeux de consolidation des acquis restent non négligeables. Par ailleurs, le diagnostic complémentaire de la situation alimentaire et nutritionnelle des exploitations familiales d’élevage réalisé en fin d’Asstel 2 (juin/juillet 2019) a mis en évidence des problèmes (i) de disponibilité (choix limité des denrées) mais surtout (ii) d’accessibilité aux aliments liés à la faiblesse de revenus particulièrement dans le Jeeri (faible activité agricole), ainsi (iii) qu’un besoin de renforcement des connaissances en matière de nutrition. C’est pourquoi la phase 3 du projet Asstel visait essentiellement la consolidation des acquis des phases 1 et 2, afin d’en assurer leur pérennité par une prise en charge par des organisations locales (coopérative des éleveurs, Apess, Conseil départemental) tout en introduisant des actions pour renforcer les connaissances des organisations sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle. Aussi, un travail pour une meilleure prise en compte du genre dans le projet et dans les organisations (Apess, CPLD) engagé en 2016, nécessitait une poursuite dans cette phase 3. Ainsi, l’objectif général du projet était de « contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle et de la résilience des exploitations familiales d’élevage dans les départements de Dagana et Podor » par le renforcement des moyens d’existence (revenus viande et lait et autres sources de revenus). Après trois (03) années de mise en œuvre, le projet Asstel3 a été clôturé le 31 mars 2023 et souhaite organiser un atelier de bilan pour partager les résultats et réalisations du projet avec le partenaire institutionnel (Conseil départemental de Dagana), les partenaires techniques et opérationnels (APESS, ARD, CPLD, PIL, KSDE), les représentants des bailleurs de fonds, les autorités administratives, du ministère de l’Elevage et des Productions animales (service départemental de l’élevage), les représentants des services déconcentrés de l’Etat (inspection d’académie, service départemental du développement rural, service départemental des eaux et forêts), les représentants des collectivités locales et des représentant.es des communautés. Il permet un partage des résultats et des difficultés rencontrées afin de formuler des perspectives d’améliorations futures et des recommandations. C’est dans cette perspective que s’inscrit cet atelier de clôture objet des TDR ».

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43,2 Millimètres dans la Journée et la Soirée du Lundi pour un Cumul de 53,3 depuis le Début de l’ Hivernage à Saint_Louis : Et Bonjour la Psychose des Inondations !

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Événements de Tomboroncoto : Le Fsd /Bj Appelle au Calme et Interpelle les Pouvoirs Publics

_ « Il nous a été rapporté des affrontements dans la communauté rurale de Tomboroncoto dans le sud-est de notre pays, ce vendredi 21 juillet 2023. Le FSDBJ s’inquiète de cette situation, appelle au calme et invite les parties prenantes à privilégier le dialogue dans le cadre du règlement des différends qui les opposent.
Le FSD-BJ interpelle l’Etat du Sénégal, face à cet énième incident qui vient rappeler la nécessité de la mise en place de politiques plus inclusives, qui prennent en compte les préoccupations légitimes des populations locales, notamment en ce qui concerne l’exploitation des ressources minières et de toutes les autres ressources qui font l’objet de convoitise dans les différentes localités du pays.
Le FSD-BJ témoigne sa solidarité aux populations de Tomboroncoto et invite l’Etat du Sénégal à prendre toutes les dispositions afin de régler au plus vite, le(s) différend(s) à l’origine de cet incident avant que cela ne dégénère ».

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Présidentielle de 2024 : Amadou Ba à l’ Écoute du Président Macky Sall

Com Envi Arame: Amadou BA : « Ce que le Président Macky Sall a fait pour le Sénégal… »

C’est le grand oral pour le Premier Ministre Amadou BA. Invité sur le plateau de l’émission L’Invité de MNF, le Chef du gouvernement en a profité pour aborder plusieurs sujets d’actualité dont celui du retrait du Président Macky SALL à la course à la Présidentielle 2024.

Retrait du Président Macky SALL

« Ce qu’on retient de la déclaration c’est qu’il n’est pas candidat mais on peut en tirer beaucoup plus…. Ce que cette décision a porté au Sénégal en termes de respect et de notoriété est incommensurable », a martelé Amadou BA.
« Le Sénégal est au-dessus de tout on doit mettre l’intérêt du Sénégal sur le nôtre », a-t-il poursuivi avant d’enchainer :
« Ce que le Président Macky Sall a fait pour le Sénégal on pourra l’enseigner dans les livres d’histoire », a-t-il révélé.

Pour rappel, depuis le désistement du Président Macky Sall le 03 juillet dernier, plusieurs observateurs avertis voient le Premier Ministre Amadou BA comme le potentiel successeur du Chef de l’Etat qui devra prochainement se prononcer sur la question.
Com Envi Arame: « Personne dans l’entourage du Président de la République ne connait comme moi sa vision »

Sa parole était attendue et guettée au regard de l’actualité à quelques mois de la Présidentielle de 2024, d’autant plus que son nom revient avec insistance pour porter le drapeau de la coalition BBY, après l’annonce du Président Macky SALL de ne pas briguer un autre mandat. La sortie du Premier Ministre Amadou BA, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a brisé le silence ce vendredi 21 juillet 2023 sur le plateau de 7TV. Invité de l’émission MNF, le Chef du Gouvernement s’est prononcé sur toutes les questions d’actualité, non sans rappeler la pertinence du Plan Sénégal Emergent qui a permis à notre pays de s’inscrire durablement sur une trajectoire de croissance, jamais égalée. Un plan qu’il maîtrise bien pour l’avoir mis en œuvre pendant plusieurs années.
« Personne dans l’entourage du Président de la République ne connait comme moi sa vision. Je fais partie des rares proches du Chef de l’Etat à avoir contribué, comme je l’ai fait à la matérialisation de cette vision » a rappelé Amadou BA avant de préciser que le PSE a permis de réaliser des projets grandioses et d’avoir des avancées économiques comme jamais par le passé. 
Pour rappel, le plan d’actions prioritaires (PAP3) du PSE sera élaboré pour la période 2024 et 2028.
Com Envi Arame: Les conseils de Serigne Mountakha à Amadou BA : « SA KILIFEU DA NGA KOY BAYE SA BOPE ,BAYIKO BOPPAM »

Le Premier Ministre Amadou BA a été l’invité de MNF dans son émission fétiche L’Invité de MNF sur la 7 TV ce vendredi soir.
Ainsi, c’est l’occasion pour Amadou BA de faire une confidence sur des conseils de Serigne Mountakha pour étayer sa loyauté envers le Chef de l’État.
« SA KILIFEU DA NGA KOY BAYE SA BOPE ,BAYIKO BOPPAM »,a révélé Amadou BA.

« On peut beaucoup en apprendre en termes de discipline… J’ai accepté cette leçon venant du marabout »,a-t-il soutenu.
Revenant sur sa posture, Amadou BA est tenu par le droit de réserve.
« Quand on est Premier Ministre, Chef du Gouvernement on ne doit pas parler sans y mettre l’aval du Président….Je suis un acteur politique, on s’est parlé au niveau du secrétariat permanent, je laisse la décision au Président Macky SALL», a indiqué Amadou BA.
Clôturant ce chapitre sur sa supposée candidature, Amadou BA rappelle les textes.
« Le Premier Ministre n’a pas le droit de déclarer sa candidature »,a-t-il argué .
Par conséquent, Amadou BA coupe court à toutes les rumeurs de sa candidature au sein de BBY et attend la décision du Président Macky SALL.