Catégorie : À LA UNE

_ « Dans la dynamique d’élargissement de nos bases, le bureau exécutif national du SATSUS (syndicat Autonome des Techniciens Supérieur de santé) s’est déplacé à Saint_Louis pour l’installation des bureaux des sous_sections de l’hôpital régional de Saint_ Louis, du centre de santé Ousmane ngom de Saint_Louis et des districts sanitaires de Pété et Podor; ainsi que le bureau de la section régionale de Saint Louis.
Le BEN en a profité pour tenir un point de presse et fustiger l’attitude irresponsable du gouvernement.
Depuis le 17 janvier 2023, le SATSUS a déposé un préavis de grève pour l’ouverture des négociations sur les points de la plateforme revendicative.
Dans sa dynamique de privilégier la concertation, le dialogue plotot que le rapport de force, le SATSUS a de nouveau adressé le 08 Mars 2023, bien après le temps de préavis, un courrier de rappel au ministre de la santé et à celui de la fonction publique pour leur signaler la nécessité d’ouvrir des négociations sérieuses pour satisfaire les points de la plateforme revendicative.
Malgré toutes ces tentatives et une grève d’avertissement de 24h, avec respect du service minimum, observée le 15 mars dernier, les autorités de tutelle demeurent dans leur mutisme total. Signe d’une indifférence face aux soucis des travailleurs de la santé.
Nous demandons, ainsi, à tous les techniciens supérieurs de santé, toutes spécialités confondues, de se mobiliser et d’observer une grève totale de 24h sans aucune activité, le mardi 28 Mars 2023 sur toute l’étendue du territoire national
Nous prenons l’opinion nationale et internationale à témoin. Les conséquences qui découleront de ces mouvements d’humeur seront sous l’entière responsabilité du gouvernement ».

_ « L’ Assemblée Générale de la fédération des transporteurs du 3eme millénaire de Saint Louis ( F2TM) a vécu.
Lassana Der, président de F2TM et Babacar Gaye, administrateur du FDTT, unissent leurs efforts pour la modernisation du du secteur du transport à Saint louis
Les chauffeurs et transporteurs  de Saint louis réclament le renouvellement du parc automobile urbain et interurbain. Ils ont émis cette doléance à l’administrateur national   du  FDTT (le Fonds de Développement pour le Transport Terrestre ), Babacar Gaye, qui est venu présider cette assemblée générale initiée pour la mise en place du bureau de la dite fédération ».   

_ « Après Dakar et Thies , le Fonds de Développement des Transports Terrestres (FDTT ) était à Saint-Louis, ce lundi 20 Mars 2023 , dans le cadre de sa tournée nationale pour rencontrer les acteurs afin d’échanger avec eux sur le programme de renouvellement du parc des véhicules de transport public.
Syndicats, associations des transporteurs, regroupements des chauffeurs , organisations patronales , organisations des travailleurs, ONG , gestionnaires des gares routières, associations intervenant dans la promotion de la sécurité routière, concessionnaires, industriels du sous secteur du transport public et services techniques de l’Etat ont échangé et partagé des informations , à travers un CRD avec les responsables du FDTT sur les stratégies et critères à remplir pour accéder aux financements du FDTT , mis en place depuis deux ans pour la modernisation du secteur des transport.
Modou Mamoune DIOP, gouverneur adjoint en charge du développement qui a présidé la rencontre a salué la pertinence de cette démarche inclusive et les mesures prises pour le renouvellement du parc automobile sénégalais.
« Nous savons que le transport est un secteur clé de l’économie. C’est l’un des secteurs piliers de l’économie sénégalaise. Le développement du pays est en grande partie tributaire des performances du secteur des transport .C’est pourquoi, il est essentiel et important de renouveler le parc automobile qui comptent des véhicules très vieux. L’Etat tient à accompagner les acteurs pour ça. A t-il déclaré.
Selon lui, la rencontre a permis d’échanger sur les modalités et critères permettant aux transporteurs de bénéficier des financements du FDTT.
L’administrateur Babacar GAYE lui , a rappelé que le parc automobile est très vétuste , malgré les efforts du gouvernement, ce qui poussé à la mise en place du Fond de Développement des Transports Terrestres .
Il a informé que 60.000 véhicules seront très bientôt enlevés de la circulation.
« Lors du conseil interministériel suite aux deux accidents de Sikilo et Louga l’une des 23 mesures disait qu’il faut retirer les véhicules qui ont plus de vingt ans pour le transport de personnes et ceux qui ont plus de vingt cinq ans pour les véhicules de transport de marchandises. Après évaluation, il a été constaté que ce segment constitue 60.000 véhicules à retirer sur le champs ». Explique t-il.

Babacar GAYE a également souligné que dans le cours terme, le programme de renouvellement sera entamé , en jonction avec les différentes parties prenantes du privé et du public pour que les transports publics du Sénégal, à l’instar du TER et du BRT . Soit un conglomérat de bons véhicules pour le grand bien des usagers et des transporteurs.
« Le ministère en charge des transports publics du Sénégal veut encourager une dynamique qui consisterait à retirer les anciens véhicules et à mettre sur les routes des véhicules sûrs et sécurisés respectant les normes internationales.
Nous allons accélérer le processus pour que dans les meilleurs délais nous puisons rencontrer les transporteurs afin qu’ils bénéficient du partenariat public privé pour que le renouvellement du parc soit une réalité ».

L’administrateur du FDTT a magnifié les échanges fructueux avec les acteurs qui ont adopté le fonds dès sa naissance.
Gora KHOUMA , syndicaliste, membre du conseil d’orientation et représentant des transporteurs ajoute que le FDTT vise le renouvellement du parc automobile qui est une demande des acteurs routiers « Nous sommes tous pour le renouvellement, nous en avons besoin » A t-il fait savoir.
Sur les 22 mesures prises par l’Etat pour lutter contre les accidents, Gora Khouma a souligné que certaines sont favorables aux transporteurs , alors que d’autres nécessitent des discussions.

« Il ya certaines mesures qui ont nécessité des modifications et les applications se font.
Les points à reviser font l’objet de discussions .Sur les 23 points , il y a certains qui ont été sollicité par les acteurs , il s’agit des contrats, des points de repos et du renouvellement du parc » a lancé le représentant des transporteurs ».

_ Le Sels Originel vient de décréter un mouvement de grève de 48 heures. Pour exiger la libération des élèves et étudiants arrêtés lors des derniers événements politico_judiciaires, d’il y a quelques jours. Le Sels Originel, qui entre, ainsi, dans la danse, prête main_forte aux élèves et étudiants, notamment ceux de Saint_Louis, qui boudent les classes, pour les mêmes causes, depuis lors.

_ « Le Sénégal est sur le point de devenir un pays-producteur de gaz et de pétrole. Les revenus qu’il peut espérer mobiliser offrent une opportunité d’accélérer le cheminement du pays vers l’autonomie en augmentant l’investissement public. Cependant, les projections de croissance à la suite des découvertes de pétrole et de gaz se sont avérées trop optimistes, et la transition en cours vers des énergies renouvelables signifie une baisse probable des prix du pétrole à long terme. Le risque d’attentes démesurées met en évidence un besoin de transparence et de responsabilité dans la prise de décision et la hiérarchisation des priorités. L’exploitation minière représente plus de 80% des revenus extractifs actuels du Sénégal, mais malgré les dispositions du Code minier de 2016, ce n’est qu’en 2021 que le gouvernement du Sénégal (GDS) a commencé à transférer des revenus miniers aux collectivités territoriales. Alors que le score très élevé du Sénégal dans la validation de l’Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE) 2021 et dans les indices de gouvernance des ressources 2021 de NRGI pour les mines et les hydrocarbures semble indiquer que le pays dispose d’une base solide pour la transparence et la bonne gestion des revenus issus des industries extractives, il existe des opportunités d’amélioration substantielle de la transparence et de la gestion à mesure que le pays engrange plus de revenus issus du secteur extractif avec l’exploitation prochaine du pétrole et du gaz.Cependant, il convient de noter qu’à côté de ces revenus, l’exploitation des ressources extractives cause beaucoup de problèmes aux populations qui habitent dans les zones d’exploitation mais aussi aux collectivités territoriales abritant les entreprises. En effet, malgré la richesse que génère le secteur extractif, les populations des zones d’exploitation continuent de subir les conséquences néfastes de l’exploitation des ressources extractives. Entre autres difficultés on peut citer le non-respect des droits des populations en termes de dédommagement, le non-respect des engagements environnementaux, de la responsabilité sociétale d’entreprise, des dispositions de la loi sur le contenu local. Au niveau des collectivités territoriales, la question des critères de répartition mais aussi le non-paiement des montants dus au titre du fonds d’appui et de péréquation avant 2019 continuent d’alimenter le débat public. Il s’y ajoute la non opérationnalisation du fonds de réhabilitation des sites miniers et du fonds d’appui au développement local des collectivités abritant les entreprises d’exploitation. NRGI, un institut mondial de politique et de plaidoyer avec une réputation appréciée pour l’assistance technique et une expérience approfondie dans le secteur extractif, s’est associé au Forum Civil et à l’ONG 3D organisations de la société civile sénégalaise – pour concevoir l’approche TRACES. Le Forum Civil (Section sénégalaise de Transparency International) et l’ONG 3D ont une vaste expérience de soutien à la société civile sénégalaise pour plaider en faveur d’une plus grande transparence et d’une participation citoyenne dans le secteur extractif. Le consortium s’appuiera sur les résultats du programme USAID/Kawral récemment achevé par l’ONG 3D, qui a amélioré les capacités des OSC sénégalaises à se mobiliser et à promouvoir le respect par les entreprises des obligations de la loi minière, à sensibiliser davantage les OSC et les communautés locales à la gouvernance des transferts infranationaux et à l´ engagement des autorités locales à financer les plans territoriaux de développement de l’éducation par les recettes issues du secteur extractif.Le consortium atteindra ainsi l’objectif TRACES : accroître la transparence et les mécanismes de responsabilisation dans les secteurs minier, pétrolier et gazier pour une meilleure gestion des revenus, et promouvoir une plus grande transparence grâce à des mécanismes de surveillance et une gestion des revenus plus efficace.Pour l’atteinte de ces résultats, en particulier, le résultat 1.1 « Amélioration de la gestion budgétaire des ressources extractives », le Forum Civil, avec ses partenaires, compte organiser un forum communautaire pour un encadrement des engagements sociétaux et environnementaux des entreprises dans le cadre de leur RSE ».

_ African Agriculture et les Fermes de la Téranga ont tout mis en œuvre pour que la fête soit belle. Sans oublier l’appui, non négligeable, de Mouhamadou Makhtar Cissé. Le public, pour la plupart des jeunes,a communié dans un bel ensemble. Malgré les enjeux et l’ importance d’une victoire en finale, dans cette partie du Walo, le fair_play a prévalu. Il faut dire que les autorités municipales n’ont ménagé aucun effort pour sensibiliser les jeunes sur la nécessité de contribuer à la réussite de cet événement sportif qui a drainé du monde.

_ Aprés s’être réjoui de la visite de parlementaires du Cese, le directeur général de la Compagnie Sucrière Sénégalaise a fait noter que « la Css est à la tâche, la Css livre le sucre, la Css n’a pas de pénurie de sucre. Mais on se rend compte que le consommateur n’a pas de sucre. Le sucre livré, où va_t_il ? » s’est_demandé.
Dans la foulée, Franck Eba n’a pas manqué de faire remarquer qu’il ne « comprend pas tout ce qui est dit à propos de cette rétention de sucre ou de cette pénurie. Nous couvrons le marché et nous avons montré les chiffres de livraison du sucre. Et, comparativement aux autres années les livraisons sont supérieures souvent de 50 à 90 % » a_t_il révélé.
Vénus s’enquérir de la situation du sucre dans l’antre de la Css, en ce mois Mars qui est la période de pleine production, les parlementaires du Conseil Économique Social et Environnemental ont marqué leur surprise de voir des tonnes et des tonnes de sucre dans les magasins de stockage de la Css. Alors que dans certaines localités du pays, le sucre se fait rare. Directeur_conseiller du groupe Mimran, Louis Lamotte, a mis à profit la séance_vidéo pour, chiffres à l’appui, rappeler que, cette année, une hausse a été notée sur la quantité de sucre mise à la disposition des commerçants au niveau du pays alors que la Tva a baissé de 18 à 1 %.
S’exprimant à l’issue de la visite, le président de l’intercommission du Cese a laissé entendre ceci : « aprés cette visite, nous ne pouvons retenir que la satisfaction entière. nous étions entrain de diagnostiquer une problématique, le circuit de distribution du sucre, une denrée de première nécessité. Il y a eu beaucoup de rumeurs sur ce thème. Nous avons constaté que l’usine de la compagnie sucrière n’est pas en arrêt. Elle continue de produire du sucre. Nous avons visité toute la chaîne jusqu’au produit fini, au stockage, et la livraison aux commerçants. Et nous avons constaté que, malgré les livraisons faites, il y a, toujours, un stock de sécurité qui est sur place ». Estimant que la Compagnie Sucrière Sénégalaise est, aujourd’hui, en mesure de satisfaire le marché « parce que sur un objectif fixé à 100 % de production, la Css est à 80 % », Woula Ndiaye d’expliquer que « le sucre est arrivé à destination, mais la problématique se pose au niveau des consommateurs. Nous pensons que le ministère du commerce doit redoubler le contrôle pour vérifier et traquer ceux qui ont enlevé le sucre. Soit le sucre est à l’intérieur du Sénégal où le sucre est sorti du pays. Car, le constat réel est que le consommateur éprouve des difficultés pour avoir un kilogramme de sucre » s’est désolé le parlementaire en chef.

_ C’est un secret de Polichinelle. L’hôpital régional de Saint_Louis est en proie, depuis des années, à un manque criard de matériel médical. Pis, la faiblesse du plateau médical à l’hôpital de Saint_Louis est devenue, au fil des années, un sujet banal de conversation. C’est dans ce dessein que l’appui, non négligeable, de la Fondation « Servir le Sénégal » trouve toute sa pertinence. Les autorités municipales, sanitaires et autres usagers de la structure hospitalière ont, ainsi, magnifié, à sa juste mesure, cet acte salvateur.

_ « Madame le Sous-préfet de l’Arrondissement de Ndiaye, Mesdames messieurs les conseillers municipaux, Messieurs les délégués de quartier, Monsieur le Coordonnateur du Programme pour l’Emergence de Ross_ Béthio (PER), Mesdames, messieurs, chers invites, chères populations de la Commune de Ross_ Béthio

C’est avec un grand plaisir que je procède aujourd’hui à la pose de la première pierre du Centre de santé de Ross Béthio. Cet acte, ô combien important et qui vient à son heure, entre dans le cadre de la mise en œuvre de la Politique de santé définie par Son Excellence, Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal.En effet, depuis son accession à la Magistrature suprême, le Sénégal ne cesse de se doter d’infrastructures sanitaires de dernière génération. A titre illustratif, 9 nouveaux hôpitaux, 18 centres de santé, 300 postes de santé et 21 centres de dialyse ont été réalisés.Le Centre de santé de Ross Bethio, dont nous lançons les travaux aujourd’hui, vient renforcer cette belle énumération. Il sera composé de plusieurs services jusqu’ici inexistants dans l’Arrondissement de Ndiaye et répondra, non seulement, aux besoins en santé des populations de notre commune, mais aussi, de celles des communes voisines en proposant des activités de prévention, de diagnostic et de soins. Il favorisera, ainsi, l’accès aux soins de toutes les couches de nos braves populations. Je dois rappeler que le secteur de la santé a toujours été au cœur des préoccupations de la municipalité. La dotation d’appareil d’oxygène pour les malades souffrant de problèmes respiratoires, de lits d’hospitalisation de matériels de maternité etc. ont permis relever le niveau de prise en charge des usagers des structures de santé. Mesdames et messieurs,Ce centre de santé vient s’ajouter aux réalisations faites dans le cadre du Programme pour l’Emergence de Ross Béthio (PER) dans plusieurs secteurs :dans le secteur de l’éducation, il faut noter l’achèvement des travaux du Lycée Amadou Becaye DIOP qui a une capacité d’accueil de plus 800 élèves et la dotation de 465 tables bancs. Au niveau préscolaire, primaire et secondaire et des daras, la dotation suffisante de fournitures scolaires, la création de nouvelles écoles primaires dans les quartiers périphériques et la construction de salles de classes pour l’enseignement coranique ont permis, cette année une bonne rentrée des classes et augurent de bons résultats à la fin de l’année académique ;sur le plan sportif, il faut saluer la construction du stade municipal avec pelouse synthétique et projecteurs ; ce qui permettra une meilleure organisation des compétitions sportives ; le pavage des grandes artères dont les travaux ont été lancés récemment va sensiblement améliorer la circulation des personnes et des biens mais aussi assurer le désenclavement de certains quartiers de la commune ;sur le plan de l’énergie, l’acquisition de 500 lampadaires dont les lots ont déjà été installés, la dotation de kits solaires aux quartiers périphériques et très prochainement la fourniture d’au moins 200 lampadaires solaires permettront d’ériger Ross Bethio en ville lumière ;sur l’assainissement, on peut noter les moyens mobilisés pour la construction de bassins de retention et des canaux d’évacuation des eaux pluviales, la mise à la disposition gratuitement de plusieurs camions citernes pour l’extraction des eaux des fosses septiques lors de la gestion écoulée ;Mesdames, Messieurs,Je voudrais m’en arrêter là car le bilan est loin d’être exaustif et la liste des réalisations est encore très longue. Je vous donne rendez-vous à d’autres occasions. Je ne saurais terminer mon propos sans remercier l’AGETIP pour son accompagnement constant à la Commune de Ross Béthio par la construction du stade, du centre de santé dont nous posons la première pierre aujourd’hui et très prochainement du nouveau siège de l’hôtel de ville.

Je vous remercie de votre aimable attention »