Catégorie : À LA UNE

_ « Saint Louis, a abrité les 16 et 17 Mars, au Lycée Technique André Peytavin, un forum national d’échange et de plaidoyer des conseils de quartier et des cadres territoriaux de concertation, réunissant les élus locaux, les acteurs communautaires, la société civile et les universitaires. L’objectif de ce forum était de dégager le diagnostic institutionnel et organisationnel ainsi que leur contribution au processus de développement et de gouvernance territoriale.
De co-construire des consensus sur la vision, la position institutionnelle, les prérogatives et la gouvernance organisationnelle des CQ et CTC.
Proposer des recommandations en vue d’une reconnaissance institutionnelle de la place et des rôles spécifiques des CQ et CTC dans dans le processus de décentralisation et dans la gestion publique territoriale ».

_ Le Sutsas, dirigé par Mbalo Dia Thiam, a rejoint la Fgts de Sidya Ndiaye. Faisant, ainsi, la jonction, les deux entités se préparent dans la perspective des prochaines élections de reprèsentativité syndicale.
Dans ce dessein, ce nouvel attelage a planifié une grande rencontre, avec ses militants et sympathisants de Saint_Louis, en vue de remobiliser les troupes. Chemin faisant, la Fgts a renouvelé son équipe dirigeante à la mairie de Saint_Louis. Amadou Dia remplace Talam Fall. Ce dernier continue, cependant, à diriger le département et la région.

_ « Nous jeunesse de BBY

Saluons solennellement le patriotisme, le sens de la responsabilité et le professionnalisme des forces de défense et de sécurité qui ont fait face à cette situation et ont su éviter les débordements à travers les 45 départements et les 14 régions.

Nous jeunesse de BBY

déplorons avec tristesse les agissements d’une certaine opposition pensant faire du chaos national un escalier pour accéder à la magistrature suprême . Il n’en saurait pas être autrement parce que à la tête de cette opposition des anti républicains, violeur, voleur occupent le haut du pavé pour assouvir des intérêts crypto-personnels

Nous, jeunesse de BBY, récusons vigoureusement les agissements de cette opposition

Cette opposition des réseaux sociaux ; l’insulte, l’invective et la menace à la bouche et au bout du clic

Cette opposition qui envoie les enfants des autres au front quand leurs enfants à eux se calfeutrent royalement dans leur salon ou mieux jouent pour leur père le rôle de l’élève à qui l’on interdit d’aller à une école fermée.

Cette opposition irrévérencieuse qui ne respecte nullement nos guides religieux, ces foyers lumineux de clarté, de sainteté qui tiennent ce Sénégal de la paix et des grandes vertus

Cette opposition qui aspire à diriger ce pays et qui, nullement, ne respecte les institutions de la République, fondamentaux intangibles de l’Etat

Cette opposition qui investit nos universités, temples du savoir, pour éteindre ces jeunes lumières scintillantes aux intelligences des promesses futures. Eteindre ces lumières de l’espoir pour les verser dans l’impertinence, dans l’ignorance et dans l’incorrection répétitive

Cette opposition vampiriste qui trouve pleine expression dans le sang, dans le feu, dans le saccage ; bref dans le dégât matériel moral et physique

Halte à la manipulation, au mensonge et aux chantages ! Oui pour une opposition républicaine intelligente pour l’intérêt du Sénégal et de la démocratie sénégalaise

De cette opposition, le bouc chaud distribue les rôles ; bouc volage, roublard et couard à la fois. Ce bouc fait sa vie dans la luxure et le viol. Ses hauts faits d’armes n’ont de valeureux que c’est le premier aspirant à la magistrature suprême qui concocte et fricote dans les salons de massages arguant une maladie imaginaire. Mais le son du K.O tonnera fort parce que nul n’est au-dessus de la Loi

N’est-ce pas encore lui mythomane attitré accusant d’honnêtes citoyens, une fois aculé et pris au piège de ses dédits utilise et manipule une jeunesse inconsciente et sans ambition ?

Nous Jeunes de BBY

appelons nos camarades jeunes à une prise de conscience et à une introspection sans complaisance pour démêler le vrai de l’ivraie. Le Sénégal n’est point une chevrière pour qu’un bouc chaud puisse en assurer royalement les commandes

Nous jeunes BBY de Saint Louis,

Sommes résolus naturellement à en déteindre avec tous ceux qui s’opposeront à la stabilité sociale, à l’intégrité territoriale et ferons bloc autour de notre coordonnateur départemental Amadou Mansour Faye pour défendre jusqu’au bout du souffle la première institution du pays en l’occurrence le Président de la République SEM Macky Sall

Nous ne serons pas dans la Loi du Talion parce que celle-ci est une réplique mais nous serons d’attaque et d’offensive

Nous ne sommes pas des nervis mais des militantes et militants engagés pour défendre la bonne cause et naturellement à Saint Louis nous serons debout pour défendre le premier symbole du parti à savoir ce siège sis à Ndiolofène.

Plus rien ne sera comme avant  »

_ « L’idée de la création d’une Journée internationale des femmes est proposée pour la première fois en 1910, lors de la conférence internationale des femmes socialistes, par Clara Zetkin et s’inscrit alors dans une perspective révolutionnaire. Il faudra pourtant attendre 1917 pour que la tradition du 08 mars se mette en place ; A l’origine de la journée du 08 mars, les luttes ouvrières et les nombreuses manifestations de femmes réclamant le droit de vote, de meilleures conditions de travail et l’égalité entre les hommes et les femmes, qui agitèrent l’Europe, au début du XXe siècle.Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet Voix et Leadership des femmes au Sénégal, il est prévu d’accompagner 25 vingt-cinq organisations et réseaux de promotion des droits des femmes et des filles pour le renforcement de leur fonctionnement organisationnel et leurs capacités institutionnelles, humaines, techniques et financières. Il s’agit d’un appui qui concerne l’adoption de pratiques innovantes en matière de gestion et de programmation afin de soutenir leur viabilité. Notamment optimiser les services offerts aux femmes et aux filles et améliorer l’efficacité du plaidoyer pour les droits des femmes.C’est pour cela que la FAFS de Saint-Louis fait partie des organisations sélectionnées pour la mise en œuvre du projet ‘’Voix et Leadership des Femmes au Sénégal (VLF-Sénégal) grâce à un appui financier du gouvernement du Canada, qui concourt au renforcement des organisations et réseaux de promotion des droits des femmes et des filles, à la protection de leurs droits et à l’atteinte de l’égalité femmes-hommes.Reconnue pendant des décennies comme la « Journée de la femme » ou la « Journée internationale des droits des femmes », la date du 8 mars intègre maintenant l’agenda des journées internationales célébrées à travers le monde entier par plusieurs organisations sous l’appellation « Journée internationale des droits des femmes ».C’est alors l’occasion de mettre en avant les initiatives qui placent les femmes au cœur de leur participation à la vie sociale, politique et économique.Au Sénégal la journée du 8 Mars est régulièrement célébré et la participation de la société civile par le biais des ONG et OSC est remarquable ;C’est dans cette dynamique que la FAFS/SL compte organiser en synergie avec les organisations sœurs de l’axe Nord Thiès partenaires du projet Voix et leadership des femmes au Sénégal VLF /Sénégal, la journée internationale de la Femme dans la région de Saint-Louis ».

Le khalif général de la famille omarienne, Thierno Mouhamadoul Bachir a été, officiellement, saisi sur la question de la régionalisation du département de Podor.
Mettant à profit son face à face avec la presse, à Ndioum, en marge d’une rencontre avec ses disciples, le fils aîné de la famille omarienne n’a pas manqué d’abonder dans le même sens que les concepteurs du mouvement « Podor, ma région ». Selon Thierno Cheikh Oumar Bachir Tall, à l’aune de son poids démographique avec quelque 435. 000 habitants , de sa superficie 12.497 km2, et de ses potentialités, l’actuel département de Podor, berceau du Fouta, mérite d’être érigé en région administrative.
Autrement dit, Podor est dix fois plus grand que Saint_Louis qui a une superficie de 897 km2. Podor est, aussi, plus grand que huit régions du Sénégal, dont Dakar, Thés, Kaolack, Fatick. De même, Podor, en termes de population, est plus peuplé que le cumul de la population de Saint_Louis et Dagana. Tout comme la population de Podor est plus importante que celle de trois régions, dont Kédougou.
En outre, sur les 240.000 hectares de terre irrigables dans la Vallée du fleuve_Sénégal, les 140.000 sont localisés dans le seul département de Podor. Sur ces 140.000 hectares irrigables, précisent les promoteurs de « Podor, ma région », seuls les 28% sont aménagés. Ce qui reste du foncier ne demande qu’à être exploité, aux fins d’activités agricoles.
D’autant qu’ en plus du fleuve_Sénégal, long de 1750 kilomètres, les affluents, que sont le Ngalanka, le Doué ou le Gayo, arrosent, aussi, le département de Podor.
Par ailleurs, Podor est bien outillé sur le plan des services sociaux de base. Les ( Ief) Inspections de l’ Éducation et de la Formation de Podor_commune et de Pété polarisent 387 écoles primaires alors que la région de Kédougou, à titre d’exemple, peine à avoir 120 écoles. En plus de deux Espaces Numériques Ouverts ( Eno ), à Podor_commune et à Ndioum, le département dispose, déjà, d’une quarantaine de collèges, dont la plupart sont érigés en lycées.
Dans cette partie du pays, l’élevage a connu, ces dernières années, un essor considérable à côté du tissu agricole local qui poursuit, aussi, son petit bonhomme de chemin.
A l’occasion de leur point de presse, les animateurs du mouvement « Podor ma région » ont précisé que l’érection de Podor en région pourrait accélérer le processus de construction d’université pour désengorger Gaston Berger et de bâtiments administratifs comme un tribunal pour épargner les populations de parcourir les 300 kilomètres qui le séparent du département de Saint_Louis, la capitale régionale.
Forts de ce constat, ces « défenseurs de la cause de Podor » ont demandé un relookage du découpage administratif en vue d’installer de nouvelles communes et de nouveaux départements, pour arriver à une gestion de proximité. Avec des populations qui peuvent, au.niveau local, satisfaire leurs besoins primaires.

_ Chaude matinée, ce jeudi, à Saint_Louis. De violents affrontements y ont opposé les forces de l’ ordre et certaines populations, des jeunes pour la plupart, favorables au leader de Pastef.
De l’avenue Général De Gaulle à l’ Université Gaston Berger de Saint-Louis, en passant par l’avenue Macodou Ndiaye, les abords immédiats du marché Sor ou Tendjiguène, de Auchan, des lycées technique et Charles De Gaulle, il y a eu du grabuge.
Aux lacrymogènes lancés par les forces de l’ ordre, les jeunes ont riposté par des jets de pierre. Pendant de longues heures, les deux parties se sont, ainsi, fait face. Tirant, dans ce dessein, la cité de Mame Coumba Bang, de sa torpeur habituelle. Jusqu’au moment où nous mettions sous presse, la situation est restée tendue. Les jeunes, plus que jamais déterminés à mettre fin aux dérives autoritaires de Macky Sall, sont restés mobilisés aux alentours des grandes artères de la capitale du Nord tandis que les forces de l’ordre ont continué à les surveiller comme du lait sur le feu .