_ « Dans le cadre des efforts continus du Sénégal pour renforcer la protection des personnes migrantes, le Ministère de l’Intégration Africaine et des Affaires Étrangères, en partenariat avec le bureau régional pour l’Afrique de l’Ouest du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme (HCDH-BRAO), organise une session de formation cruciale pour les membres des Bureaux d’Accueil, d’Orientation et de Suivi des Migrants (BAOS). Cette formation, qui se tiendra les 13 et 14 août 2024 à Saint-Louis, vise à outiller les participants à une meilleure prise en charge juridique, sociale et administrative des personnes migrantes.La démarche s’inscrit dans le cadre du projet PROMIS, initiative conjointe du HCDH-BRAO et de l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC) financé par le Royaume des Pays-Bas. L’objectif de ce projet est de renforcer les capacités des Etats d’Afrique de l’Ouest à offrir une réponse efficace aux violations des droits humains liées aux migrations irrégulières. Les sessions couvriront des thèmes essentiels tels que le cadre juridique national et international applicable aux migrations, les droits humains, la traite et le trafic de personnes migrantes, et l’assistance psychosociale. Au total, 27 participants issus des différentes régions du Sénégal, ainsi que des représentants des organisations partenaires, seront formés pour mieux accompagner les personnes migrantes en situation de vulnérabilité. Cette formation vise non seulement à renforcer leurs connaissances théoriques, mais également à leur fournir des outils pratiques pour garantir une assistance de qualité, conformément aux normes internationales.Cette initiative est une démonstration de l’engagement du Sénégal à promouvoir les droits humains, en particulier pour les populations les plus vulnérables, et à assurer l’accès à la justice pour tous et toutes, conformément aux Objectifs de Développement Durable (ODD), en particulier l’ODD 1 ».

_ « Nés dans un monde numérique, les jeunes saisissent les opportunités qu’offre la technologie, notamment l’accès à l’éducation, à l’emploi et à des informations de qualité sur la santé de la reproduction. Dans le même sillage, la technologie peut alimenter des fractures numériques néfastes et exposer les jeunes en particulier les adolescentes à des risques accrus de violence basée sur le genre.La région de Saint Louis, connait une forte affluence notamment de jeunes, durant la célébration de la fête de l’Assomption, pour célébrer la journée mondiale de la jeunesse cette année, les dates du 13 au 15 Aout ont été retenues pour dérouler des activités sous forme de caravane de sensibilisation dans la ville et d’offres de service (SR, dépistage, supplémentation, distribution de serviettes) en collaboration avec la direction régionale de la santé et  l’antenne régionale de l’association nationale des sages-femmes du Sénégal. 
Depuis 1975, le Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP puis dénommé UNFPA en anglais)  a accompagné le Sénégal pour répondre aux priorités nationales dans les domaines de Santé de la Reproduction, Population et Développement et l’appuyer dans la mise en œuvre du Plan d’Action de la Conférence Internationale sur la Population et le Développement (CIPD, 1994) en vue de la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) fixés pour 2015 puis des Objectifs de Développement Durable (0DD) à l’horizon 2030 ».

Par Senenews

– << Alors que le secteur de la presse sénégalaise est confronté à un problème de redressement fiscal qui a suscité de vives préoccupations parmi les acteurs du milieu, Mame Birame Wathie trouve que la réorganisation dudit secteur est opportune.

Selon le journaliste du groupe de presse Walfadjiri, «La majorité des patrons de presse se comportent comme des mercenaires. C’est un fait ».

D’après lui, une réorganisation du secteur médiatique s’impose : «Si l’État ne prend pas les mesures nécessaires, c’est parce qu’il a manqué à son devoir. L’information est un domaine sensible qui ne doit pas être diffusé par n’importe qui, sans un contrôle strict. Un journal quotidien doit se conformer à des normes précises… »

Mame Biram Wathie a également souligné : «Une grande partie de la presse est ouvertement opposée au régime en place, en particulier à Ousmane Sonko. C’est pourquoi, à chaque prise de position de ce genre, les médias tendent à amplifier ces déclarations… >> .

– << Tract-En tant que jeune journaliste, je me sens plus concerné par la précarité des reporters que par les revendications des patrons de presse.

Je pense qu’ils sont plus préoccupés par la sauvegarde de leurs affaires que par l’amélioration des conditions de travail des reporters.Nos employeurs J’espère de tout coeur que vous allez vous relevez, vous réinventer et sortir de cette crise mais après n’oubliez pas que :

Vous n’avez pas le droit de prélever les impôts sur nos revenus sans les reverser au fisc.Vous n’avez pas le droit de nous priver de retraite en négligeant nos cotisations sociales.

Vous n’avez pas le droit de nous faire payer vos erreurs.

Nous aussi avons le droit de prétendre à une vie décente, une retraite paisible, un accès à l’IPM, une maison, une voiture

Courage à ceux d’entre nous qui traversent des difficultés financières depuis plusieurs mois, années et qui malgré tout se tuent à la tâche nuit et jour.

Vivement l’amélioration des conditions de travail et de vie des journalistes, la sauvegarde de notre dignité professionnelle >> .

_ « Le programme DELTA est spécifiquement conçu pour soutenir le développement des territoires ruraux de la vallée du fleuve Sénégal et du Ferlo, en s’appuyant sur les orientations de la Lettre de Mission 13 de la SAED. Le volet d’appui budgétaire (FAI) est crucial pour améliorer les investissements socio-économiques productifs qui ont commencé à être mis en place dans chaque commune cible de la Délégation de Dagana.Ainsi, dans chaque commune un atelier de deux jours été organisé, le deuxième a été consacré à une pré-identification et à la partage des micro-projets (MP) qui pourraient répondre aux préoccupations identifiées à travers les grandes orientations d’investissement.En amont des ateliers de priorisation des microprojets à organiser dans chaque commune, il est prévu de réaliser un atelier de partage avec les services techniques (ST) et/ou les structures d’appui-conseil dans chaque département, afin de faciliter leur appropriation et leur durabilité.Le département de Saint Louis, qui englobe les trois (03) communes de Fass Ngom, Gandon et Ndiébéne Gandiol, sera le premier à accueillir cette série de rencontres ».