_ « Le MONEP ( Mouvement National des Enseignants Patriotes) est un des piliers de PASTEF et le MONEP Saint-Louis organise sa 6e édition de la synthèse philosophique avec le professeur Songué Diouf dans le but d’aider les élèves de la terminale à mieux préparer le BAC. Et cette activité répond à l’appel du Président de la république M. Bassirou Diomaye Diakhar Faye et du premier ministre et Président du parti PASTEF M.
Ousmane Sonko qui nous exhortent à matérialiser le don de soi pour la patrie à travers des activités sociales ou Socio-éducatives d’engagement patriotique en organisation des séances de révisions gratuites au bénéfice des élèves. Ainsi cette synthèse de philo, qui est une des matières redoutées, entre dans ce cadre et permettra aux élèves de s’armer philosophiquement pour affronter cette matière ».

_ « En 1991, l’Assemblée des chefs d’État et de gouvernement de l’OUA1 a institué la Journée de l’Enfant Africain (JEA) en mémoire au soulèvement étudiant du 16 juin 1976 à Soweto, en Afrique du Sud. À cette époque, les étudiants ont protesté contre la mauvaise qualité de l’enseignement qu’ils recevaient et exigé d’être enseignés dans leur langue maternelle. La JEA commémore le massacre de ces enfants et les actions courageuses qu’ils avaient menées pour défendre leurs droits. La JEA célèbre donc les enfants d’Afrique et appelle à une introspection sérieuse et à un engagement pour relever les nombreux défis auxquels les enfants du continent sont confrontés quotidiennement. Chaque année, le Comité Africain d’Experts sur les Droits et le Bien-être de l’Enfant(CAEDBE) porte son choix sur un thème pour sa célébration, un thème adopté par le Conseil Exécutif de l’Union Africaine qui en fait un thème continental valable pour tous les États membres. La célébration de la JEA n’est pas une simple commémoration du 16 juin, mais plutôt une période de commémoration où toutes les parties prenantes entreprennent diverses actions, activités et mesures en rapport avec le thème. En conséquence, le CAEDBE élabore une note conceptuelle qui explique le thème et donne des orientations sur les activités qui peuvent être entreprises en fonction du thème. La JEA est un moment opportun pour faire le point sur les progrès accomplis et réfléchir aux défis qui entravent la réalisation optimale des droits de l’enfant en Afrique. En 2024, le thème de la JEA est « L’éducation pour tous les enfants en Afrique : l’heure est venue ». Ce thème est conforme à celui de l’Union africaine pour l’année en cours et se lit comme suit : « Éduquer une Afrique adaptée au 21e siècle : Construire des systèmes éducatifs résilients pour un accès accru à un apprentissage de qualité, inclusif et pertinent tout au long de la vie en Afrique. » Ce thème a été adopté lors de la 36ème session ordinaire de l’Assemblée des Chefs d’État et de Gouvernement de l’UA2, qui s’est tenue en février 2023. L’UA s’est concentrée sur l’éducation pour 2024, compte tenu des divers défis auxquels ses États membres sont confrontés en matière d’éducation, en particulier à la suite de la catastrophe du Covid-19. En outre, l’accent mis sur l’éducation fait suite à l’évaluation de la mise en œuvre de l’ODD n° 4 et de la Stratégie continentale de l’UA pour l’éducation en Afrique (CESA) qui a révélé que malgré les diverses réalisations, les États africains sont confrontés à un accroissement du nombre de personnes non scolarisées, à un manque d’éducation de qualité et à un ratio enseignant/élève plus élevé. C’est dans ce contexte que les dirigeants africains ont décidé de consacrer l’année 2024 à l’éducation afin d’intensifier les efforts et d’assurer une éducation pour tous en Afrique. Par conséquent la JEA 2024 sera commémorée sous le Thème de « L’éducation pour tous, l’heure est venue » coïncidant avec le dixième anniversaire de la commémoration de la JEA sous le thème de « Une éducation adaptée aux enfants et obligatoire pour tous les enfants en Afrique » en 2014.La DPJS, fidèle à ses missions de protection, de rééducation et de réinsertion des mineurs en conflits avec la loi et des mineurs en danger (victimes et/ou témoins), a choisi de marquer la JEA 2024 par la revue de son intervention en matière de protection judiciaire et sociale des Enfants depuis le décret n°66-416 du 16 juin 1966, au niveau national et des mobilisations sociales au niveau décentralisé (dans les ressorts d’IESPS). C’est dans cette optique que l’IESPS du ressort de la cour d’Appel de Saint-Louis, en collaboration avec les services extérieurs de Louga, Matam et Saint-Louis, a entrepris de célébrer l’édition 2024 de la JEA par une randonnée pédestre.
L’objectif général est de faire le point sur les progrès accomplis et d’identifier les défis à relever en ce qui concerne la réalisation du droit à l’éducation en Afrique ».

_ Manque d’eau ,défaut d’assainissement,déficit d’infrastructures et de personnel enseignant, effectifs pléthoriques dans les gîtes et les amphithéâtres, punaises à gogo dans les chambres, wifi défectueux, mal_bouffe, les étudiants de l’ Université Gaston Berger de Saint_Louis vivent le calvaire par ces temps qui courent.
La visite du ministre de l’enseignement supérieur a été une aubaine pour les apprenants pour partager leur mal_vivre.
Le ministre de l’enseignement supérieur pointe l’insuffisance du budget et promet d’y remédier, avec l’appui des autorités compétentes, avant la rentrée académique du mois d’ Octobre. Avec 120 milliards de Fcfa, le problème des universités du pays devrait trouver un début de solution à en croire l’ancien pensionnaire de Sanar.

_ « Dans l’histoire des crises politiques et électorales du Sénégal, l’Université a souvent payé un
lourd tribut, que ce soit en bilan humain ou matériel. A cet égard, l’histoire politique récente
entre mars 2021 et mars 2024 n’a pas épargné l’Université Gaston Berger en termes de pertes
en vie humaine. L’Université Cheikh Anta Diop de Dakar n’a pas été en reste avec de nombreux
dégâts matériels, qui lui ont valu du reste une suspension des cours en présentiel ainsi qu’une
fermeture du campus social.
Or, l’Université doit être le cadre par excellence de la discussion, du contradictoire, de la
réflexion et de la production d’idées essentielles à la résolution des problèmes conjoncturels
comme structurels qui s’y posent, mais surtout, un cadre de culture de la paix et de la stabilité.
Les récents évènements tragiques ont montré la nécessité de dialoguer entre les acteurs. Une
prétention de dialogue et de cohésion sociale au niveau des universités est envisageable mais il
faut des bases solides au préalable d’une vision prospective.
C’est dans cette logique que la fraternité Banc Bi de l’Université Gaston berger de Saint Louis,
en partenariat avec le National Democratic Institute (NDI) a décidé de convier tous les acteurs
de l’université Gaston Berger au tour d’un panel afin de poser les jalons d’une collaboration
franche et prometteuse à la fois entre les étudiants et le personnel enseignant et administratif.
La fraternité Banc Bi est une organisation partenaire de la structure « Parole à la Jeunesse »,
piloté par Mouhamed Moriba CISSOKHO, avec laquelle le NDI a déjà travaillé dans le cadre
des activités Xalaatu Ndaw Yi. Banc Bi a été créé en 2013 à l’Université Gaston Berger de
Saint-Louis pour promouvoir la fraternité, le réseautage, la solidarité et l’intégrité parmi les
étudiants. Les activités de Banc Bi comprennent des évènements des activités sociales et
culturelles, ainsi que des initiatives de responsabilité sociales et communautaires. Son adhésion
est ouverte à tous les étudiants sans distinction de partis politique, d’origine ethnique ou de
convictions religieuses.
Les objectifs de la rencontre Xalaatu Ndaw Yi organisée en partenariat avec le NDI sont les
suivantes.

L’objectif général de cette activité est de créer un cadre de discussions entre les acteurs de
L’Université Gaston berger afin de pacifier l’espace universitaire, de cultiver la tolérance
mutuelle et de renforcer l’esprit civique des étudiants dans une perspective de cohésion sociale ».

_ Mettant à profit l’escale du ministre de l’agriculture dans sa ferme, dans le cadre de sa visite dans le Nord du pays, le promoteur Birane Boye a plaidé la cause des nationaux. A en croire le directeur général de l’entreprise Seric, l’ Etat doit appuyer, conséquemment, à l’instar d’autres pays, les promoteurs sénégalais en vue de leur permettre de jouer leur partition dans l’ atteinte de la souveraineté alimentaire. Dans cette partie du pays où l’agrobusiness reste la chasse gardée des promoteurs étrangers, Birane Boye a montré son savoir_faire à la tutelle qui promet d’en faire un modèle pour le commun des sénégalais.
Première étape de la visite de quatre jours, du ministre de l’agriculture, dans le Delta et la Vallée du gleuve_Sénégal, la Société d’ Exploitation, Ressources, Industrie, Commercial ( Seric), se présente comme un modèle de gouvernance agricole et de création d’emplois, tel que prôné par les nouvelles autorités sénégalaises.
Installée dans le village de Ndélé et dans la zone de Diama, Seric exploite, annuellement, 529 hectares de terre destinés à l’horticulture et 300 hectares de riz, pour plus d’une centaine d’emplois fixes et prés de 700 journaliers. En plus des activités agricoles, Seric s’active dans l’aviculture. En témoigne la production annuelle de 12 millions de poussins, 250 mille pondeuses et 240 mille poulettes.