Prytanée Militaire : Charles Nchoréré de Saint Louis La Journée du Parrain 2024 a Vécu
Ndombo Sandjiry : Le Conseil Municipal Dit Toute la Vérité sur le Lotissement des 1.600 Lots
Conflits entre Éleveurs et Agriculteurs : La Trouvaille de Waf pour Circonscrire le Phénomène
_ Dans le secteur agricole, l’application de la Rse ( Responsabilité Sociétale d’ Entreprise) peut être une solution au problème de la divagation des animaux et les dégâts collatéraux qu’elle génère. Appliquée à bon escient, la Rse permet une meilleure cohabitation entre les éleveurs et les agriculteurs. Surtout quand le propriétaire terrien ou le promoteur de l’ Agribussness joue le jeu en oeuvrant pour la cohésion sociale.
Dans certaines contrées du pays, dans le département de Dagana notamment, le bétail parcourt de longues distances à la recherche de zones de pâturage. Ce qui relève dans certaines périodes de soudure de l’année, du parcours du combattant.
Et , bien souvent, c’est pour une maigre moisson. Or, tout le long du chemin, s’échelonnent de larges surfaces verdoyantes. Des périmètres rizicoles et des jardins destinés au maraîchage jalonnent ce parcours de ces centaines de vaches, d’ovins, caprins et autres animaux herbivores. La tentation est vide arrivée et l’appétit féroce des ruminants fait le reste. En un temps_record, ce sont des milliers d’hectares qui sont perdus. Le dur labeur du pauvre paysan est réduit à néant, l’espoir de bonnes récoltes pour assurer la pitance et payer la dette contractée au niveau de la banque fond comme du beurre au soleil. En définitive, le paysan, qui n’a que ses yeux pour constater les dégâts et pleurer, se console, par le truchement de plaintes et complaintes, à travers les médias. Les autorités locales comme au sommet de l’Etat arrivent à la rescousse, colmatent les brèches Avec, en filigrane, la mise en emblavure des hectares de terre consacrés à la saison culturale à venir. Et basta ! Quelques, semaines, quelques mois aprés, le même scénario est remis au goût du jour et bis repetita pour le même modus opérandi !
Pour contribuer à « la mise à mort », de ce cercle infernal et peu viable, la firme britannique West Africa Farms s’est lancée dans un concept nouveau, le « win_win » avec les parties prenantes. Installée depuis des années, dans le village de Yamane nichée dans la vaste commune de Gnith, Waf réserve des dizaines d’ hectares à la culture fourragère pour la consommation du bétail de la zone. Cette année, encore, les éleveurs de cette partie du Walo, ont été nombreux à répondre à l’appel de Waf qui leur réserve, annuellement, 40 hectares pour la culture fourragère.
A bord de chevaux ou d’ânes, ces hommes et femmes sont repartis avec de grandes quantités de fourrage à mil, qui devraient, à les en croire, leur permettre d’appréhender les prochains jours voir les prochaines semaines, avec mois de stress et d’angoisse. Interrogés, off the record, certains d’entre_eux font, malgré tout, grise mise. Magnifiant le geste des responsables de West Africa Farms, nos interlocuteurs de réclamer plus à l’occasion des prochaines rencontres d’octroi de fourrage. De même, nos informateurs interpellent Waf, qui collabore avec quelque cinq mille personnes issus de huit communes, selon ses plénipotentiaires, sur les conditions de travail et la modicité du paiement des journaliers. A l’heure où le debat sur « l’accaparement des terres, par l’agrobussnes et les étrangers » refait surface sur toute l’étendue du Walo, West Africa Farms gagnerait à maintenir le cap de l’excellence en faisant mieux et plus pour le personnel, les populations autochtones et le cheptel dans cette zone agrosylvo_pastorale, estiment_ils.
Tel un Cahier de Doléances : Mbane Expose ses Maux et Interpelle les Autorités au Sommet de l’ Etat
_ C’est un secret de Polichinelle. La commune de Mbane et les crises foncières, c’est une histoire vieille comme le monde. D’année en année, l’appellation a évolué et est devenue, aujourd’hui, accaparement des terres. Cependant, l’incompréhension reste la constante. C’est, toujours, le même questionnement qui fait suite au constat désolant que « ce sont des étrangers qui héritent et exploitent les terres de nos ancêtres ». Comment en est_on arrivé là et pourquoi aucune solution, qui nous convient, n’est envisageable à court et moyen terme ?
La dernière marche des populations, organisée ce samedi, pour dénoncer cet état de fait, est du même acabit que ses devancières. Des hommes et femmes, jeunes et personnes âgées, en procession à travers les rues poussières de cette partie du Walo, bravant la chaleur et les intempéries, invitant, en substance, les autorités au sommet de l’ État à « venir s’enquérir de la situation en vue d’ apporter une solution à ce lancinant problème ».
Tout au long de leurs discours, se relayant au parloir, égrenant le nom des individus et structures à vocation agricole qu’ils pointent à l’index, ces habitants de Mbane ne perdent pas vue que ce ne sera pas une sinécure.
Tant ce foncier de Mbane est un énorme panier à crabes ! D’autant que les mis en cause, les promoteurs de l’agrobussnes, qui mettent en valeur ces terres, à coups de milliards, participent, ainsi, à l’effort d’atteinte de la souveraineté alimentaire et à résorber le taux de chômage dans la zone.
Au surplus, « ces étrangers » travaillent en parfaite intelligence avec certaines populations qui, usant de leur maîtrise du foncier local, leur permettent de négocier et de collecter des hectares de terre aux fins d’activités agricoles.
Chemin faisant, ces populations, le visage dégoulinant de sueur, sont revenues sur le manque d’eau potable qui caractérise ces contrées du département de Dagana, alors que le liquide précieux qui dessert l’écrasante majorité de la population nationale prend sa source dans le Lac de Guiers, niché dans le Walo. Par ailleurs, ces populations ont, longuement, insisté sur l’urgence et la nécessité pour les services de l’administration et les autorités municipales de tout mettre en oeuvre pour installer leurs bureaux dans la commune de Mbane. Ce, en vue de leur éviter de parcourir des dizaines de kilomètres pour rallier Richard_Toll.
Olac : La Nouvelle Dg Installée
Droits des Femmes et des Filles : Serigne Daras, Enseignants, Leaders d’ Opinion de Saint Louis en Immersion
_ « Selon les projections démographiques de l’ANSD, la population du Sénégal en 2022 est estimée à 17.738.795 habitant(e)s avec 7.658.408 femmes (50,47%) et 7.597.938 hommes (49,3%). Plus de la moitié des personnes vivant au Sénégal réside soit en milieu rural (53,5%) soit dans les villes ( 46,5%) . Au sénegal, les femmes vivent des misères économiques, sociales, politiques, morales, culturelles et spirituelles qui produisent et sèment le désarroi dans toutes les régions du pays, annihilent tout espoir au niveau des jeunes surtout filles qui sont jeté(e)s en pâture aux marchand(e)s de toutes les illusions et suscitent l’intolérance et la désolation mère de toutes les déchirures telles que les guerres, le terrorisme, la migration irréguliére qui s’élargissent et essaiment partout en Afrique.Une situation de fait très peu documentée (discrimination de sexe) est dénoncée aussi bien par l’UNICEF que par l’OIF, entre autres ainsi que les Syndicats de l’Education Nationale du Sénégal et leur consortium (COSYDEP).Le Sénégal a adhéré en dehors de quelques Conventions de l’OIT, notamment celle sur les Travailleur(es) à Responsabilités Familiales, la C156 de l’OIT ; à tous les textes internationaux portant les droits humains des femmes et des filles : qu’il s’agisse de Chartes, de Conventions, de Protocoles, de Textes, de Déclarations, etc.C’est ainsi qu’est venue la loi n° 99 – 05 du 29 janvier 1999 modifiant le Code pénal sénégalais qui définit nettement et réprime le viol, l’inceste, la pédophilie, les violences conjugales, les mutilations génitales féminines (MGF), les harcèlements sexuels, les violences physiques, etc.Le respect et la mise en œuvre de leurs droits codifiés par le Sénégal conformément aux Résolutions et Conclusions de Mexico 75, Copenhague 80, aux Stratégies Prospectives de Nairobi (1985), à la CEDAW/CEDEF (1979), à la CDE (1989), à la CADBE (1990), au Protocole de Maputo (2003) notamment ses articles 9 et 14, à la Circulaire ministérielle n° 3564/MEN du 24/04/1986 et la Loi d’Orientation de l’Education modifiée par la Loi 2004/37 portant obligation scolaire jusqu’à 16 ans et à la Constitution de 2001 révisée le 13 octobre 2008, la Loi 9905 de janvier 1999 sur les violences faites aux femmes, la Loi sur la Parité de mai 2010 et son Décret d’Application (2011) et enfin la loi sur la criminalisation du viol de 2021. En dépit de la ratification, par un grand nombre de pays, d’instruments internationaux, régionaux et sous régionaux visant la protection des droits des femmes et des filles, l’apport des textes religieux et certains textes culturels africains (Charte de Kouroukan Fouga, les Edits de Thierno Souleymane BAAL…) ; elles/ils subissent fortement des violences, des infanticides suite aux grossesses précoces et/ou non désirées, des viols et toutes les discriminations et exclusions qui refreinent tous les efforts titanesques des femmes pour leur autonomisation sur tous les plans et les Taalibé(e)s pour leur bien etre.Face à ces violations des droits humains qui compromettent la dignité, HOM-DEDFF (Hommes Défense des Droits des Femmes et des Filles) , la seule OSC composée uniquement d’hommes de toutes les catégories scioprofessionnelles à été mise en place en Mars 2015 pour contribuer résoluement à l’avancée des droits des femmes et filles en s’impliquant dans la lutte contre les VBG et le respect intégral et/ou effectif de leurs droits à tous les niveaux.Cet engagement s’inscrit dans son plan strategique 2023/2024 ‘’Environnement Respect des Droits des Femmes et des Filles’’.C’est dans ce contexte susmentionné d’évolution des Droits des femmes, des filles et des jeunes garçons, qu’HOM-DEDFF organise le 1er Juin 2024 un atelier de formation et de sensibilisation de 45 hommes et 5 femmes composés de Serignes Daaras, Enseignant(e)s, Leader(e)s d’opinion Femmes sur les Droits des Femmes, des Filles et des Taalibé(e)s au Centre Mame FATIM KONTE de Saint-Louis ».
Droits des Talibés : Serigne Daras, Enseignants, Leaders d’Opinion de Saint Louis en Immersion
_ « Selon les projections démographiques de l’ANSD, la population du Sénégal en 2022 est estimée à 17.738.795 habitant(e)s avec 7.658.408 femmes (50,47%) et 7.597.938 hommes (49,3%). Plus de la moitié des personnes vivant au Sénégal réside soit en milieu rural (53,5%) soit dans les villes ( 46,5%) . Au sénegal, les femmes vivent des misères économiques, sociales, politiques, morales, culturelles et spirituelles qui produisent et sèment le désarroi dans toutes les régions du pays, annihilent tout espoir au niveau des jeunes surtout filles qui sont jeté(e)s en pâture aux marchand(e)s de toutes les illusions et suscitent l’intolérance et la désolation mère de toutes les déchirures telles que les guerres, le terrorisme, la migration irréguliére qui s’élargissent et essaiment partout en Afrique.Une situation de fait très peu documentée (discrimination de sexe) est dénoncée aussi bien par l’UNICEF que par l’OIF, entre autres ainsi que les Syndicats de l’Education Nationale du Sénégal et leur consortium (COSYDEP).Le Sénégal a adhéré en dehors de quelques Conventions de l’OIT, notamment celle sur les Travailleur(es) à Responsabilités Familiales, la C156 de l’OIT ; à tous les textes internationaux portant les droits humains des femmes et des filles : qu’il s’agisse de Chartes, de Conventions, de Protocoles, de Textes, de Déclarations, etc.C’est ainsi qu’est venue la loi n° 99 – 05 du 29 janvier 1999 modifiant le Code pénal sénégalais qui définit nettement et réprime le viol, l’inceste, la pédophilie, les violences conjugales, les mutilations génitales féminines (MGF), les harcèlements sexuels, les violences physiques, etc.Le respect et la mise en œuvre de leurs droits codifiés par le Sénégal conformément aux Résolutions et Conclusions de Mexico 75, Copenhague 80, aux Stratégies Prospectives de Nairobi (1985), à la CEDAW/CEDEF (1979), à la CDE (1989), à la CADBE (1990), au Protocole de Maputo (2003) notamment ses articles 9 et 14, à la Circulaire ministérielle n° 3564/MEN du 24/04/1986 et la Loi d’Orientation de l’Education modifiée par la Loi 2004/37 portant obligation scolaire jusqu’à 16 ans et à la Constitution de 2001 révisée le 13 octobre 2008, la Loi 9905 de janvier 1999 sur les violences faites aux femmes, la Loi sur la Parité de mai 2010 et son Décret d’Application (2011) et enfin la loi sur la criminalisation du viol de 2021. En dépit de la ratification, par un grand nombre de pays, d’instruments internationaux, régionaux et sous régionaux visant la protection des droits des femmes et des filles, l’apport des textes religieux et certains textes culturels africains (Charte de Kouroukan Fouga, les Edits de Thierno Souleymane BAAL…) ; elles/ils subissent fortement des violences, des infanticides suite aux grossesses précoces et/ou non désirées, des viols et toutes les discriminations et exclusions qui refreinent tous les efforts titanesques des femmes pour leur autonomisation sur tous les plans et les Taalibé(e)s pour leur bien etre.Face à ces violations des droits humains qui compromettent la dignité, HOM-DEDFF (Hommes Défense des Droits des Femmes et des Filles) , la seule OSC composée uniquement d’hommes de toutes les catégories scioprofessionnelles à été mise en place en Mars 2015 pour contribuer résoluement à l’avancée des droits des femmes et filles en s’impliquant dans la lutte contre les VBG et le respect intégral et/ou effectif de leurs droits à tous les niveaux.Cet engagement s’inscrit dans son plan strategique 2023/2024 ‘’Environnement Respect des Droits des Femmes et des Filles’’.C’est dans ce contexte susmentionné d’évolution des Droits des femmes, des filles et des jeunes garçons, qu’HOM-DEDFF organise le 1er Juin 2024 un atelier de formation et de sensibilisation de 45 hommes et 5 femmes composés de Serignes Daaras, Enseignant(e)s, Leader(e)s d’opinion Femmes sur les Droits des Femmes, des Filles et des Taalibé(e)s au Centre Mame FATIM KONTE de Saint-Louis ».
Ross-Béthio : Les Pensionnaires du Lycée Organisent un Sargal pour le Maire Faly Seck
_ La Commune de Ross_Béthio réclame un deuxième lycée pour absorber la forte demande. Le seul lycée dénommé Amadou Bécaye Diop ne parvient pas à contenir les apprenants de la commune et des localités environnantes. Mettant à profit la journée de l’excellence, organisée, ce samedi, dont il était le parrain et l’invité_vedette, le maire Faly Seck a relayé, en écho, cette demande populaire.
_ « Monsieur le Proviseur du lycée Amadou Bécaye Diop de Ross Bethio, Monsieur le Censeur, Mesdames, Messieurs les Professeurs, Monsieur le Secrétaire Général, Mesdames, Messieurs les surveillants, Monsieur le Président des parents d’élèves du lycée, Mesdames Messieurs les conseillers municipaux, Messieurs les chefs de quartiers, Coordonnateur du cadre de concertation, membres de ma délégation Chers invités, Chers élèves, Il me revient l’honneur, en tant que Maire de la commune de Ross Béthio et parent, en ce jour de sargal destiné à ma modeste personne, de vous remercier chaleureusement. Vous me permettez à cette occasion de vous exprimer ma pensée pieuse à un icône de la ville de Ross béthio, d’ailleurs le lycée porte à juste titre son nom compte tenu des efforts qu’il a fourni pour sa réalisation, je veux nommer mon grand frère, mon ami feu El hadji Amadou Bécaye DIOP à qui je rends solennellement hommage pour tout ce qu’il a fait pour le développement. Je voudrais associer à ses remerciements, Monsieur Babacar DIOP Premier maire depuis que Ross béthio a été érigée en commune et actuel maire honoraire et Monsieur Madiop DIOP pour leur travail remarquable. Chers concitoyens, chers élèves, chers professeurs, je prends ce sargal, qui est acte fort de reconnaissance de votre, comme une incitation à mieux faire. Je voudrais profiter de cette cérémonie historique, pour demander solennellement, à Son Excellence, le Président de la République, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, de dôter la ville de Ross Béthio, d’un 2ème collège et un autre lycée pour prendre en charge correctement les effectifs pléthoriques, des moyens de transport (BUS) pour assurer le déplacement des élèves venants des quartiers périphériques. Par ailleurs, Ross-Bethio étant la capitale du riz, des Centres de Formation des métiers locaux et une université spécialisée dans les filières agricoles et pastorales permettraient d’assurer la formation des jeunes et des femmes sur la transformation des produits locaux et la modernisation de l’élevage. Je profite de cette occasion pour inviter le walo en général et les habitants de la commune de Ross béthio en particulier, hommes, femmes jeunes et adultes, à répondre à l’appel du chef de l’Etat, Son Excellence, le Président de la République, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE sur son programme ( set setal), prévu chaque premier samedi du mois. Revenant aux reconnaissants élèves je vous exhorte, à mieux travailler pour figurer parmi les meilleurs du pays, votre réussite est le seul objectif assigné par vos parents et la lourde tâche très bien assurées pour nos excellents professeurs et l’administration scolaire ; mais, en enfin, un grand honneur pour moi en tant maire de la commune.Chers concitoyens du lycée, je ne saurai être exhaustif et dire tout ce que j’ambitionne pour le lycée mais sachez que vos préoccupations sont les miennes, vous pouvez compter sur mon soutien constant pour atteindre les meilleurs résultats scolaires du Sénégal. Merci de votre attention !!! »