Arrêt des Licences de Peche et Audit de la Flotte Sénégalaise : Les Maréyeurs s’ En Félicitent
_ L’ Unams ( Union Nationale des Maréyeurs du Sénégal ) se félicite des mesures prises par les autorités, au sommet de l’ Etat, pour apporter toute la lumière sur la flotte sénégalaise ainsi que sur les licences de pêche allouées aux navires battant pavillon étranger.
Dans la foulée, les responsables de l’ Union Nationale des Maréyeurs du Sénégal ont émis le souhait de voir installer, partout dans le pays, des ports en vue de leur faciliter le travail.
Il convient de signaler que la délégation de l’ Unams a fait escale dans la cité tricentenaire de Mame Coumba Bang dans le cadre de sa tournée nationale.
Se Désolant de la Faible Représentativité des Femmes dans le Nouveau Gouvernement : Le Renafes Réclame Plus de Présence au Niveau des Instances de Décisions
_ « Les organisations de défense des droits des femmes travailleuses jouent un rôle de premier plan dans l’adoption de lois en faveur de l’égalité homme-femme en milieu du travail au Sénégal. Des avancées ont été notées çà et là avec l’exercice de plaidoyer et de veille social porté par le RENAFES. Cependant les mouvements de femmes travailleuses au niveau régional sont aujourd’hui confrontés à des difficultés pour participer efficacement à la transformation sociale de leur environnement proximal et distal impactant leurs droits humains en milieu du travail. Pour palier à cette situation, le RENAFES national vise à soutenir ses organisations régionales de promotion des droits des femmes en renforçant leur fonctionnement organisationnel et en augmentant la portée et la qualité de leurs services. Son objectif ultime est de permettre aux travailleuses de tous les secteurs de jouir pleinement de leurs droits et de faire progresser l’égalité entre les femmes et les hommes pour un développement durable.Dans cette même lancé, le RENAFES en partenariat avec la fondation Friedrich Ebert accompagne les 14 antennes régionales élargies aux 45 départements du Sénégal pour également un renforcement de capacités, afin d’améliorer leurs aptitudes managériales.C’est dans ce cadre que s’inscrit la mission du RENAFES sur l’axe SUD regroupant les régions de( Kolda, Ziguinchor et Sedhiou) et L’axe Nord (Saint louis,Louga et Matam). Cette rencontre sera l’occasion de développer une approche synergique entre les structures régionales autour de hautes réflexions sur les stratégies de plaidoyer, le leadership transformationnel féministe, la veille sociale et le contrôle citoyen appropriés à leurs localités. Ceci dans l’optique de soutenir leur viabilité et efficacité qui garantissent leur offre de services à la population bénéficiaire ».
Vallée du Fleuve Sénégal : Le Défaut de Maintenance Assèche les Périmètres Rizicoles dans le Ndiael
_ Parer au plus pressé et sauver ce que peut l’être des cultures dans la zone du Diawel, c’est le sens de la visite du directeur général de la Saed, en bord champ. Sur quelques 1.500 hectares emblavés, à l’occasion de cette présente saison culturale, prés de 700 sont perdus. Le manque d’eau au niveau des chenaux d’irrigation, causé par un défaut d’entretien en est la principale cause, selon les spécialistes. L’eau n’arrive pas au niveau des périmètres rizicoles.
A l’index, les plantes et herbes aquatiques, qui obstruent les voies d’eau.
Sitôt l’alerte donnée, par le truchement de la toile, les autorités de la filière_riz et autres responsables d’encadrement des producteurs ont jugé opportun de prendre les devants. Des moyens mécaniques de lutte sont, d’ores et déjà, mis en branle pour circonscrire le mal. Cependant, pour être à la page et suivre le tempo imprimé par les nouvelles autorités au sommet de l’ Etat, des mesures hardies doivent être mises en oeuvre pour dépasser, durablement, ces difficultés relatives à l’acheminement de l’eau jusqu’aux champs. D’autant que la récurrence des faits inquiète. Une lutte intense, qui s’inscrit dans la continuité, doit être menée contre le tipha et les autres herbes aquatiques envahissantes. Ce ne sera pas une sinécure mais la réussite est, certainement, au bout de l’effort. Le Salvinia Molesta n’a plus pignon sur rue dans le Delta et la Vallée du fleuve_Sénégal. La volonté en bandoulière et des moyens conséquents à portée de main, le tout sous_tendu par une lutte biologique, ont permis de venir à bout, il y a quelques années, du Salvinia Molesta qui commençait à prendre beaucoup de place dans certaines parties du Walo et du Fouta, que d’aucuns considèrent comme le grenier du pays. Au surplus, en menant une lutte, tous azimuts, à ces herbes et plantes aquatiques envahissantes, les autorités vont faire d’une pierre deux coups. Les nichoirs et autres cachettes des oiseaux granivores comme le quéléa_quélea, vont être détruits, Les privant, ainsi, de points de repli ou de repaires.
Autoroute à Péage Tivaouane / Saint_Louis : Les Impactés du Tronçon de Gandon Réclament les Impenses Agricoles, Immobilières, Forestières
_ « Nous sommes plus de 1300 familles impactées par la construction de l’autoroute à péage Tivaouane / Saint-Louis, dans la commune de Gandon .L’ Ageroute s’est accaparée de nos maisons, terrains, champs et vergers, moyennant une faible compensation financière. Nous avons accepté car nous n’avons pas eu le choix. Malgré notre sacrifice pour notre pays ,l’Ageroute depuis presque 3 ans n’arrive pas à nous payer. Ou alors elle le fait par tranche. Mais 80 % des impenses n’est encore payé. Quant aux terrains nus, aucun dédommagement n’est envisagé par l’ Ageroute alors que nous les avions achetés à hauteur de 6 à 8 millions de Fcfa. Car, pour la plupart part, ces terrains se trouvent dans la zone de l’université Gaston Berger ou alors près du littoral. C’est pourquoi, nous demandons au nouveau ministre des infrastructures El Malick Ndiaye de suivre les directives« Djub / Djubel / Djubanti » du Président de la République Bassirou Diomaye Faye et du premier ministre Ousmane Sonko, en nous réhabilitant dans nos droits ».
PetroGaz sur la Langue de Barbarie : La Coalition de Concertation Citoyenne en Marche Grâce à l’ Ong 3 D
_ « Le Sénégal a enregistré un score très élevé dans la validation de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) de 2021 avec une note 93/100. Cette performance est confirmée par l’Indice de gouvernance des ressources (RGI) de NRGI de 2021 qui crédite le Sénégal des notes de 82/100 pour le secteur des hydrocarbures et de 76/100 pour le secteur minier. Ces scores indiquent que le pays dispose d’une base solide pour la transparence et la gestion des revenus extractifs. Cependant l’augmentation et l’intégration progressive des revenus pétroliers et gaziers dans l’économie exige de renforcer la transparence publique. Le Sénégal a enregistré un score très élevé dans la validation de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) de 2021 avec une note 93/100.Depuis son adhésion à l’ITIE en 2013, le Sénégal a entrepris la mise en œuvre de la norme ITIE à travers différentes initiatives visant à renforcer la transparence dans la gestion des revenus dans le secteur extractif. Certes l’opérationnalisation de plusieurs mécanismes institutionnels visant à améliorer la gouvernance du secteur extractif est salutaire, mais il faut reconnaitre que des efforts sont encore à faire dans la mise à disposition de l’information pour optimiser la contribution du secteur privé d’entreprise dans le développement local.En effet, les populations et les autorités locales se plaignent assez souvent de la faible interaction entre les départements en charge de la performance sociale des entreprises extractives et les collectivités territoriales qui provoque parfois un climat social tendu entre ces dernières et les communautés impactées.C’est dans cette optique que l’ONG 3D avec le soutien de l’USAID dans le cadre de la mise en œuvre du programme USAID TRACES a développé des plans d’investissement pour soutenir les projets prioritaires des collectivités territoriales qui seront financés à partir des ressources extractives. Dans les territoires à fort potentiel de ressources extractives, le débat sur la transparence dans la gouvernance des ressources extractives n’est pas souvent bien structuré par les communautés impactées par manque d’informations et de connaissances fiables sur la problématique. C’est qui se justifie par le déficit de participation des populations locales à l’élaboration des stratégies de valorisation des ressources naturelles issues de leurs territoires. Par conséquent, la Coalition de participation citoyenne (CPC) qui constituent l’interface entre les communautés impactées, les entreprises et les autorités territoriales afin de veiller à une exploitation apaisée et rentable des ressources naturelles doit disposer d’une feuille de route dont les actions sont arrimées aux politiques publiques développées dans le secteur extractif et en parfaite cohérence avec les Plans de développement communal ».
Présidentielle 2024 au Sénégal : NDI et le Cosce Invitent au Bilan
_ « La presse est au cœur du processus démocratique en général et des élections en particulier. En
effet, les médias occupent une place capitale dans les opérations et préoccupations électorales en
ce sens qu’ils sont le réceptacle et le relais de toutes les actions, activités et contestations des
acteurs du début à la fin des processus électoraux et même au-delà. C’est d’autant plus vrai que
la liberté de la presse, le droit à l’information par-delà la liberté d’expression, restent des
baromètres pour la démocratie.
Ainsi que le dispose l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : « tout
individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être
inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et répandre, sans considérations de
frontières, les informations et les idées par quelques moyens d’expression que ce soit ». Ces
libertés sont consacrées dans le préambule, par le biais des normes internationales auxquels le
Sénégal réclame son attachement, mais aussi dans le corpus de la Constitution du 22 janvier 2001
modifiée en son Titre II.
Il est indéniable que le journalisme joue un rôle essentiel dans la bonne marche de la démocratie.
C’est une force qui éclaire les citoyens, façonne l’opinion publique et, surtout, maintient la
transparence des processus électoraux. La sensibilité du contexte politique et électoral exige dès
lors des médias, l’adoption d’un comportement impartial, responsable et soucieux des règles
déontologiques et juridiques. Il est alors fondamental de s’assurer qu’ils veillent au respect du
cadre légal qui encadre l’exercice de leurs fonctions, d’assurer le pluralisme de l’information, de
veiller à la répartition égale du temps d’antenne des candidats, tout en s’assurant que le contenu
de l’information véhiculée ne constitue pas une menace pour la stabilité sociale du pays.
Sous ce rapport, une gestion transparente et efficiente de l’information contribue à la crédibilité du
processus électoral. C’est la raison pour laquelle, le Collectif des Organisations de la Société Civile
pour les Elections (COSCE) en partenariat avec le National Democratic Institute (NDI) a organisé
dans le cadre du processus électoral relatif à l’élection du Président de la République une série de
formations au profit de différentes organisations et professionnels des médias, aussi à Dakar
qu’au niveau des régions comme Saint-Louis et Thiès.
En effet l’Association des Journalistes de la Presse Ecrite (AJPE) de Rufisque, le Réseau des
Acteurs des Médias Entregents de Saint-Louis (RAMES), la Convention des Jeunes Reporters
du Sénégal (CJRS) et l’Association de la Presse Locale (APL) ont bénéficié de sessions de
formations sur leurs rôles et responsabilités ainsi que les défis et enjeux liés à la gestion de
l’information en période électorale. Ces formations se sont respectivement déroulées le 7
décembre 2023, le 18 janvier 2024, le 19 janvier 2024 et le 08 mars 2024.
Dans ce contexte et au lendemain d’une élection marquée par des perturbations liées au contexte
politique et au report inédit du scrutin présidentiel, il est important de réunir les professionnels
des médias afin de capitaliser l’expérience ».
Festival International de Jazz de Saint-Louis : La 32 éme Edition se Présente Bien
_ « Le Festival international de jazz de Saint-Louis figure depuis 2016 au catalogue des plus grands festival de jazz du monde.Événement de dimension mondiale, le Festival International de jazz de Saint-Louis célèbre sa 32eme Edition du 16 au 20 mai 2024.Très attendu, Saint-Louis Jazz 2024 accueillera encore une fois des milliers de festivaliers venus de tous les horizons comme en témoigne le plein affiché par la quasi-totalité des réceptifs hôteliers de Saint-Louis et environs.L’ événement en phase de préparation très avancée a déjà bouclé sa programmation artistique.Cette année encore, un clin d’œil est fait aux talents et artistes locaux pour animer la scène du OFF, aux échanges musicaux ou masters classes entre jeunes talents et musiciens confirmés, les foires artisanales et commerçantes sur les quais Masseck NDIAYE pour continuer de réjouir commerçant.e.s et artisans, des projections de films pour sensibiliser sur certaines problématiques actuelles, le carnaval sur les diversités culturelles avec les envolées lyriques des communicateurs traditionnels, la parade de voitures anciennes de collection pour égayer la ville de belles couleurs festives et bien d’autres manifestations culturelles sur toute l’étendue de la Commune. La grande scène IN/ place Baya accueillera à coté du village des sponsors des artistes talentueux de renommée internationale.Il s’agit de Raphael Pannier de la FranceCarmen SOUZA du PortugalChano DOMINGUEZ d’Espagne Sophie LUKACS du Canada Banz Oester and The rainmakers SUISSE / sud AFSeront aussi de la partie Ben AYLON et ly NDiaye et les Rosettes Le mythique Findifeer du Sénégal & Denise King des USA pour clôturer en apothéose cette 32 -ème édition.Tout ceci est rendu possible grâce au soutien de partenaires de la première heure qui continuent de témoigner de leur confiance ce fleuron des industries culturelles et artistiques.A ce propos que nous remercions vivement – L’Ambassade de France et l’Institut Français de Saint-Louis – L’Ambassade de Portugal et l’Institut Culturel Portugais- L’Ambassade d’Espagne et l’Institut culturel Espagnol- L’Ambassade de Suisse et d’Afrique du Sud et Prohelvetia- La société Ecotra, – La BICIS, membre du Groupe SUNU, – La BNP Paribas, – British Petroleum,- CANAL +INTERNATIONAL- Orange SONATEL Il reste que- L’état du Sénégal a travers la Présidence de la république, le Ministère des sports, de la jeunesse et de la Culture – La mairie de Saint-Louis à travers ses différents services et démembrements- Le Conseil Départemental de Saint-Louis – Les institutions, sociétés et agences de l’étatSont les premiers partenaires de Saint-Louis Jazz Aussi restons-nous convaincus que l’état sera là, plus que jamais et a temps tout comme la Mairie de Saint-Louis pour accompagner et soutenir cette entreprise, chère à Saint-Louis, porteuse de rayonnement touristique de la vieille cite et qui réaffirme la culture comme composante fondamentale du développement durable ».