_ Le Sénégal doit assumer et consolider son statut de pays minier avant d’aspirer à être un pays pétrolier, c’est l’avis de l’expert minier Lamine Diack Diouf. « Le pétrole est une ressource phare mais instable. L’ or a toujours été, depuis la nuit des temps, une valeur refuge stable. Toutes les économies du monde consolident leurs réserves en or pour s’affranchir du diktat du billet vert et se protéger contre la volatilité des monnaies. L’ Afrique devrait aller dans le même sens en mettant en place des politiques intelligentes pour conserver les ressources minières sur le continent en les stockant ( pour l’or ) ou en les transformant » pense le président du Mouvement Citoyen Universel.
A l’occasion de son face à face avec la presse, Lamine Diack Diouf de laisser entendre que « le Sénégal est d’abord un pays minier avant d’être un pays pétrolier. C’est en valorisant les ressources minières qu’on pourra développer l’industrie pétrolière ».
D’autant, argumente le candidat « spolié » de l’ élection Présidentielle du 24 Mars 2024, qu’ « il nous faudra du temps pour maîtriser la filière pétrole et gaz alors que la filière or l’est déjà.
Le développement rapide du Sénégal passera par une valorisation judicieuse de ses fabuleuses réserves en or. Il est venu le moment, pour le Sénégal, de constituer des stocks de réserves en or pour construire une économie forte pour mieux valoriser son pétrole et son gaz et maîtriser la transition énergétique ».
« Tout développement a besoin de cerveaux pour penser, peaufiner
et théoriser les meilleures stratégies.
Le stockage des fabuleuses réserves en or de l’Afrique permettra de mobiliser massivement des capitaux pour financer son développement ».
Ainsi, « l’ histoire aura ainsi fait justice en créant les conditions pour rapatrier les énormes capitaux qui avaient fui le continent du fait de la traite des noirs, de la colonisation, de la néo-colonisation et de l’impérialisme occidental. Ces réserves permettront de mettre en place une monnaie forte et stable soutenue par une économie solide et bien structurée » peut_on relever dans le document administratif remis à la presse.
A en croire, Lamine Diack Diouf spécialiste des mines , du pétrole et du gaz, «  »avenir du Sénégal ce n’est ni le pétrole ni le gaz .
Le Sénégal doit faire des réserves d’or pour une économie solide et créer une monnaie forte l’Eco qui va se substituer au Cfa. Créer une Banque de l’or et mettre sur pied une Raffinerie et un centre de stockage de l’or tout comme installer une bourse des valeurs minières ne seraient pas de trop. Autrement dit, il est question de créer un souk de l’or ». espère_t_il.
Aujourd’hui, c’est l’intime conviction du président du Mouvement Citoyen Universel (Mcu).
« Les pays du Golfe ( Arabie Saoudite , Qatar Dubaï ou l’ Algérie, la Lybie etc…) maîtrisent leurs ressources pétrolières car ils avaient fait des nationalisations
Ce qui n’est pas le cas du Sénégal » renseigne le candidat recalé de la dernière présidentielle au Sénégal. Enchaînant en ces termes : « il faudra du temps pour maîtriser la filière du pétrole et du gaz. L’ or est déjà maîtrisé car le secteur privé national va bénéficier de réserves en or ». La valeur de l’or a régulièrement augmenté de 2000 à 2024 passant de 280$ à 2375$ l’once en Avril 2024 . Alors que le pétrole s’est déprécié de 145$ en 2008 à 80$en 2024 selon l’expert minier.
« Cependant, cet or ne devra pas être vendu. Il devra être thésaurisé sous forme de réserves en or. Ce qui permettra de construire une économie forte et une monnaie (Eco ) solide à la place du Cfa » conseille_t_il.
« C’est le pouvoir économique, constitué par les citoyens, qui doit dicter les orientations au pouvoir politique. Il sera plus à notre portée de développer une économie de l’or , qu’une économie du pétrole et du gaz. Car des Nationaux disposent de ressources d’or pour constituer des réserves importantes pour l’économie du Sénégal » explique_t_il, encore, dans le document remis à la presse. Le leader du Mcu déclare, en outre, qu’ « avec ces réserves en or, le Sénégal deviendra une économie forte et crédible. Celà permettra au pays de lever des fonds importants avec des garanties solides.
Si nous arrivons à étendre cette stratégie en Afrique de l’ouest, celà permettra de construire une monnaie solide basée sur d’importantes réserves en or » plaide Lamine Diack Diouf.
En réalité, l’intime conviction de l’expert minier, est que « les ressources doivent rester sur le continent. Ce n’est que de cette façon que l’Afrique pourra construire rapidement un leadership économique qui doit être le sien, compte tenu des immenses ressources dont elle dispose ».
« Le Capital parle d’accumulation primitive du Capital ; nous nous parlons d’accumulation primitive de ressources en or en Afrique » ragumente_t_il in fine.

_ Dans le département de Dagana, notamment dans la vallée du fleuve_Sénégal, la divagation des animaux et ses effets collatéraux sur le quotidien des populations continue d’être une préoccupation partagée. Et hante le sommeil des populations. La récurrence des faits cristallise la colère des agriculteurs qui se désolent de la non_réaction des autorités qui frise l’indifférence.Conscients que les agriculteurs et les éleveurs sont condamnés à cohabiter, les troupeaux de vaches, ovins, caprins avec, les populations d’exhorter les autorités à jouer leur rôle. Bien souvent, c’est l’arbitrage de ces dernières qui fait défaut. Là où, même, une réaction de moindre envergure peut avoir un effet dissuasif.Sous ce rapport, les autorités administratives comme politiques sont interpellées pour prendre le taureau par les cornes en vue d’éviter le pire. Dans un sursaut d’orgueil suite à la subite montée d’adrénaline, les jeunes riziculteurs, gourdins, barres de fer et autres machettes en bandoulière, convergent vers les périmètres rizicoles pour se faire justice. Et, puis qu’à l’évidence, la vendetta ne saurait être la solution à ce lancinant problème, les préposés à la régulation sociale doivent, en apôtres de la paix, prendre leur bâton de pélerin. Vendredi dernier, quand un riziculteur a été sabré dans son champ au niveau de la cuvette de Grande_digue Télèle, ses camarades producteurs ont rué dans les brancards, investi les abords immédiats des périmètres rizicoles, guettant l’arrivée de bergers ou d’animaux en errance. A l’occasion de leur point de presse, les agriculteurs de cette partie du Walo n’ont pas manqué d’avertir que trop c’est trop et que la coupe est pleine. Il convient de rappeler que la cuvette rizicole de Grande_digue Télèle s’étend sur 3.600 hectares et polarise des milliers de producteurs dispatchés au sein de 18 sections villageoises.

_ Au Sénégal, il existe le Décret n° 2011-819 du 16 juin 2011 portant application de la Loi instituant
la Parité absolue Homme-Femme.

De même, il y a la loi n° 2010- 11 du 28 mai 2010 instituant la parité absolue Homme-Femme. N’empêche, l’on note, au niveau de bon.nombre d’institutions, un.non respect de la parité.
Le Conseil Départemental de Saint_Louis fait, malheureusement, partie de ces hors_la_loi.
A maintes reprises, certains conseillers ont évoqué la question en session. D’autant qu’un recours a été introduit, devant Dame_justice, par le sieur Ousmane Wade . L’autorité administrative a saisi, enfin, le Président du conseil départemental pour reprendre le bureau le 26 Avril à venir. Autrement dit, le régime de Diomaye vient de corriger une injustice.

Par Walfnet

_ « En juillet 2023, l’avocat franco-espagnol de Ousmane Sonko débarque illégalement sur le territoire
sénégalais alors qu’il est sous le coup d’un mandat d’arrêt international.
Il participe à une conférence de presse du collectif des avocats du nouveau Premier ministre, à l’époque
en prison. Il sera, finalement, intercepté en Mauritanie en partance pour la France après plusieurs jours de
cavale avant d’être envoyé à Rebeuss.
Des mois se sont écoulés et une enquête a été ouverte par Madrid afin de déterminer les conditions de
l’arrestation de Juan Branco.
Dans un tweet, il annonce sa présence dans la capitale espagnole pour y être entendu par les autorités
judiciaires.
« Je serai lundi à Madrid pour être entendu par un juge d’instruction en charge de l’enquête sur
mon enlèvement à Nouakchott par les services de renseignements mauritaniens», révèle-t-il.
Cette enquête va permettre ainsi de déterminer les tenants et les aboutissants de cette arrestation par
les autorités sénégalaises et mauritaniennes qui ont travaillé de concert ».

Par la Direction de « Saint_Louis Jazz »

_ « Saint-Louis Jazz célèbre la 32 éme Edition du Festival International de Jazz de Saint-Louis du 16 au 20 mai 2024. Il accueille, comme chaque année, des milliers de festivaliers, concertistes et affairistes venant de tous les continents.

Cet évènement qui n’est plus à présenter, s’est tenu de manière régulière depuis 32 ans maintenant grâce au soutien de ses partenaires du privé et du public, surtout de l’ Etat du Sénégal et ses démembrements.

C’est l’occasion pour Saint-Louis Jazz de remercier pour leur implication, engagements et confiance dès les premières heures, les corps consulaires et représentations diplomatiques et les institutions et sociétés privées, notamment l’Ambassade de France, L’Ambassade de Luxembourg, L’Ambassade du Portugal, L’Ambassade d’Espagne, L’Ambassade d’Italie, L’Ambassade de Suisse, Le GROUPE ECOTRA, BRITISH PETROLEUM, le GROUPE SUNU BICIS, CANAL +, La SODECA -CASAMANÇAISE, KEMOIL.

Toutefois, il demeure que la réussite de ce grand rendez-vous culturel et économique est largement tributaire de l’implication de l’Etat du Sénégal à travers la présidence de la République d’abord et ensuite des différents ministères et agences de l’Etat.

Seulement le changement institutionnel provoqué par les élections de mars 2024 à la tête du pays, et au niveau des ministères et démembrements de l’Etat pourraient avoir un impact certain sur le soutien financier et matériel obtenu naguère de ces derniers.

Cette situation a provoqué des chamboulements dans la programmation des concerts mais aussi des incertitudes au niveau de certaines sociétés et agences nationales partenaires qui, dans le passé, ont toujours soutenu cet événement dès les premiers moments de ses préparatifs.

Nonobstant ces incertitudes liées au soutien et à l’accompagnement de nos partenaires institutionnels traditionnels , nous travaillons avec l’ambition de faire de l’événement de la 32eme édition une réussite totale pour 2024.Tous les enjeux seront pris en compte dans ce projet économique et culturel dont la notoriété a été consacrée par son inscription depuis 2016 au catalogue des plus grands festivals du monde ».

Par Monsieur Bernard Casimir CISSE, Ancien Directeur de la Formation et de la Communication de la DGE.