Présidentielle 2024 : Abdoulaye Diop, Responsable Mouvement Élèves et Étudiants Libéraux et Coordonnateur de l’ Ujtl Gandiol Rallie le Pur d’ Aliou Mamadou Dia
Présidentielle 2024 : Mamadou Lamine Diallo Va Arrêter le Pillage des Bateaux de Pêche Étrangers et Annonce la Renégociation des Contrats Pétroliers
PetroGaz : Le Cajust en Séance d’ Explication sur le JETP
_ « Le Sénégal a signé en juin 2023 un accord de partenariat pour une transition énergétique juste (JETP) dont
le montant est estimé à 2,5 milliards d’euros pour accélérer le déploiement des énergies renouvelables pour
atteindre un objectif de 40% du mix énergétique en termes de capacités installées, d’ici 2040. Il devient
ainsi le quatrième pays à avoir obtenu ce type d’accord après l’Afrique du Sud, l’Indonésie et le Vietnam.
Cet accord répond à un objectif global d’augmenter la part nationale des énergies renouvelables et la
promotion de la transition énergétique. Un accord de partenariat énergétique juste pour le Sénégal a pour
but d’assurer la souveraineté énergétique qui garantit un accès universel aux services énergétique de base à
moindre coût et sobre en carbone et l’autonomisation économique des citoyens ainsi que le développement
et la compétitivité de l’industrie. Plus précisément, la mobilisation de ce financement pourrait avoir des
opportunités sur le développement économique et social.
Cependant, les contours de ce partenariat restent très peu connus des citoyens sénégalais, et particulièrement
des acteurs de la gouvernance dont les acteurs des médias, de la société civile, des porteurs de voix, des
autorités locales, etc. C’est pourquoi Citoyens Actifs pour la Justice Sociale (CAJUST) a engagé depuis le
mois de Novembre 2023 une série d’activités visant à renforcer la compréhension de la transition
énergétique. La finalité est de favoriser une forte mobilisation des citoyens pour favoriser une mise en
œuvre transparente, inclusive et équitable du plan de transition.
CAJUST va déployer ces activités prioritairement dans les régions qui abritent les opérations d’extraction
des hydrocarbures, dont Saint Louis, Thiès et Fatick. Les activités économiques de ces régions sont tirées
en partie par l’exploitation des produits de pêche, avec une forte communauté de pêcheurs artisanaux.
L’activité industrielle des compagnies extractives est perçue comme une potentielle menace à l’activité
économique et aux moyens de subsistance de ces communautés. Parallèlement, ces régions font déjà face
aux effets du changement climatique dont l’avancée de la mer, les hautes températures, etc. Par conséquent,
il est important voire urgent d’explorer toutes les opportunités que peut fournir la transition énergétique,
notamment en termes d’accès durable à l’énergie à des coûts raisonnables.
CAJUST continue sa série d’activités en utilisant le contexte de l’élection présidentielle comme opportunité
d’engager les décideurs politiques à placer la transition énergétique au cœur de leurs programme de campagne ».
Saint_Louis : Les Risques Électriques et l’ Entretien Pré_hivernal des Réseaux HTA /BT en QuestionS
_ « Senelec à travers la direction distribution à tenue à l’hôtel Sindoné, à Saint_Louis, ce vendredi, une session de sensibilisation et d’information sur les risques électriques , l’entretien pré_ hivernal des réseaux HTA /BT.
Cette session a lieu sous la présence effective du chef département maintenance distribution des régions ( DMDR) Mamadou Ndiaye , du délégué régional Nord Abdourahmane Diop et des différents services concernés comme DESCOS , EAUX FORÊTS , SAPEURS POMPIERS….
Selon M. Ndiaye cette formation concerne tout le service distribution Nord , ainsi que les chefs d’agences , chefs de district de la Délégation et permet d’anticiper sur les pannes tout en sensibilisant la population et certains concessionnaires sur ….
Les agents qui interviennent sur le terrain ont été doté du dispositif d’intervention impressionnant afin de les facultés le travail
Le Délégué Abdourahmane Diop s’est félicité de cette initiative ».
Présidentielle 2024 : Sept Blessés Lors d Affrontements entre des Militants de Pastef et de Benno Bokk Yakaar à Bango
_ Le cortège de la coalition « Diomaye Président » et des militants de l’ Apr et Benno Bokk Yakaar se sont faits face au quartier Bango, occasionnant sept blessés. Le militant poignardé sur le dos et l’autre touché au front par une pierre, pris en charge à l’infirmerie du camp militaire, iont pu rallier leur domicile dans la nuit. Les cinq autres ont été acheminés à l’hôpital régional de Saint_Louis.
Les deux camps de sont croisés, aux environs de minuit, à hauteur du premier passage, menant au nouveau marché. La caravane de Pastef est arrivée dans le quartier au moment où les apéristes et leurs alliés de Bango étaient en procession.
Il convient de rappeler qu’il y a un foisonnement d’autorités et autres leaders politiques dans ce quartier. Le maire, ses deux premiers adjoints, le directeur des sénégalais de l’ extérieur, le directeur du Crous, l’ancien ministre de l’enseignement supérieur, aujourd’hui, coordonnateur régional de la coalition « Diomaye_président » y résident.
Le quartier Bango, jadis renfermé sur lui_même, accueille, avec une vitesse hypersonique, de nouveaux habitants. En plus d’abriter le camp militaire de Dakar/Bango, le Prytanée Militaire de Saint_Louis et l’aéroport international « Ousmane Masseck Ndiaye ».
Présidentielle 2024 : Anta Babacar Ngom Plaide l’ Ouverture du Pms aux Filles
_ Présente à Saint_Louis, dans le cadre de la présidentielle de 2024, Anta Babacar Ngom a dit son souhait d’ouvrir le Prytanée Militaire de Saint_Louis, aux filles, une fois élue à la magistrature suprême. Estimant que le Pms constitue l’excellence en ce qu’il continue de construire l’élite sénégalaise, la candidate à la succession de Macky Sall n’a pas manqué de plaider la cause des filles. Les filles ont leur place au Prytanée Militaire de Saint_Louis estime_t_elle. En outre, Anta Babacar Ngom, qui a sillonné quelques grands axes de la cité de Mame Coumba Bang, s’est désolée du peu d’infrastructures dont bénéficie la cité de Ndar. A l’en croire, le temps de la rupture est arrivée. Poursuivant son « doxantu » nocturne, la bonne dame a laissé entendre qu’elle va s’évertuer à créer des emplois pour faciliter l’accomplissement personnel des jeunes. Se présentant, sous ce rapport, comme une créatrice d’emplois. A l’occasion de son face à face avec la presse, sur le pont Faidherbe, la candidate à la présidentielle du dimanche 24 Mars prochaine a fait noter que l’essor socio_économique du pays doit, nécessairement, passer par l’agriculture, la pêche et l’élevage. Face à ses militants, nullement désarçonnés par l’heure tardive et le froid de canard qui sévit présentement à Saint_Louis, Anta Babacar Ngom d’inviter les uns et les autres à se rendre, massivement, au niveau des centres et bureaux de vote le jour J.
Saint-Louis : Osidea Suscite la Réflexion autour de la Violence Electorale
_ « Le Sénégal a toujours été un modèle positivement apprécié en Afrique et dans le monde en matière de démocratie et de stabilité socio-politique. Cette image positive, acquise au bout de longues luttes pacifiques avec des transmissions apaisées du pouvoir, semble être aujourd’hui menacée par des risques de tensions réels qui pèsent grandement sur la vie politico- économique et sociale du pays. En effet, depuis les évènements de Mars 2021, marquant une période trouble sur l’étendue du territoire national, en particulier dans les capitales régionales, le contexte dans lequel évoluent les populations demeure en constante ébullition. Selon les informations officielles communiquées, le Sénégal a enregistré pas moins de trente (30) morts entre 2021 et 2023 lors de différentes manifestations, ainsi que des centaines de personnes blessées et une vague d’arrestations. Un bilan lourd de conséquences pour les familles, les acteurs économiques et les couches vulnérables avec également des pertes matérielles énormes. Cette situation, perçue comme la résultante d’un concours de circonstances selon certains analystes, révèle, par ailleurs, un véritable soubassement politique mettant surtout la jeunesse au cœur des responsabilités. De ce point de vue, les opérations de pillages, le saccage des biens publics comme privés et autres dommages collatéraux comptabilisés, sont souvent imputés aux jeunes en dépit de la pluralité des acteurs qui partagent la sphère politique. Ce constat, documenté si l’on se réfère à la tranche d’âge des victimes, doit inspirer et déterminer le choix d’une stratégie anticipative et efficace afin de se prémunir d’éventuelles scènes de violence à l’avenir, surtout que nous sommes à quelques mois de la validation des candidatures à l’élection présidentielle qui doit se tenir le 25 février 2024. Ainsi, il convient de préciser que les moments d’accalmie notés par intermittence et qui traversent cette problématique sont loin d’être une garantie immuable de stabilité et de cohésion nationale. Dès lors, faudrait-il rappeler, il existe toujours d’autres facteurs latents qui peuvent faire basculer, à nouveau, le pays dans un cycle de violence aux conséquences incalculables pour sa stabilité. Dernièrement, le processus a connu plusieurs rebondissements inédits depuis la publication de la liste définitive des candidats par la juridiction électorale. Sur la base de saisine par l’Assemblée Nationale d’une accusation de corruption entre un candidat retenu et deux juges du Conseil Constitutionnel, le Président de la République a abrogé le décret convoquant le corps électoral à quelques heures de l’ouverture de la campagne électorale. Ce qui a provoqué des manifestations violentes et une mobilisation forte de la population pour le respect du calendrier républicain. Cette exigence semble être suivie par le Conseil Constitutionnel qui a donné avis défavorable (après saisine du Président) aux conclusions du dialogue national organisé entretemps par le Président de la République. Le nouveau décret fixant une nouvelle date du scrutin à plus ou moins tempéré l’environnement politique, même si une partie des candidats recalés continue avec insistance à réclamer une élection inclusive et transparente en vue d’optimiser les chances de participation de tous les candidats déclarés. Cette exigence souvent exprimée est une raison édifiante sur les risques potentiels de tensions si le processus venait à être interrompu à nouveau. À cela s’ajoute l’analyse des données issues du Rapport général du monitoring de la violence dans le cadre du Programme d’Observation et de Monitoring de l’Élection présidentielle 20191 , qui confirme l’existence d’affrontements entre groupes de personnes et d’agressions physiques comme incidents fréquents relevés.Dans une dynamique préventive et de résolution, il serait donc fondamental de privilégier des initiatives visant à sensibiliser les acteurs, notamment les jeunes et l’ensemble des parties prenantes concernées par la préservation de la paix sociale et la pacification de l’espace politique au Sénégal. Conscient des enjeux d’une telle démarche en perspective de l’Élection présidentielle prévue le 24 mars 2024, l’Observatoire de Suivi des Indicateurs de Développement Économique en Afrique (OSIDEA) en partenariat avec NDI, organise un Forum d’échanges et de partage d’expérience sur la problématique de la violence électorale le lundi 18 Mars 2024 à l’Hôtel Keur Dada, Saint-Louis. Cette rencontre marque le lancement de la Campagne d’Éducation Citoyenne avec les Jeunes sur la Prévention des Conflits en période électorale au Sénégal et plus particulièrement dans la Région de Saint-Louis qui s’inscrit dans le cadre du ‘’Programme Nietti Élections’’ piloté par le COSCE. Il s’agira en effet de faire saisir aux jeunes les enjeux de transparence du processus électoral, les défis sécuritaires et économiques ainsi que tous les sujets d’intérêt national liés à la prochaine présidentielle. La finalité est de renforcer leur citoyenneté afin de les préparer à contribuer efficacement au bon déroulement de l’élection du 24 mars 2024 dans un environnement apaisé ».
Ugb : Les Violences Universitaires Passées au Peigne Fin
_ « Le Groupe D’études et de Recherches – Genre et Sociétés – GESTES de l’Universite Gaston Berger en partenariat avec le Réseau Ouest Africain des Jeunes Femmes Leaders du Sénégal (ROAJELF/Sénégal a organisé des sessions de dialogues multi-acteurs accompagnées d’une campagne de sensibilisation autour de la problématique des Violences Basées sur le Genre (VBG). De nombreux participant-es notamment les associations d’étudiant-es, le bureau d’information des justiciables.
La présidente de la Commission genre et équité, directrice du GESTES, Pré Fatou DIOP SALL a précisé qu’il s’agit d’un
sujet d’une importance capitale dans les campus universitaires et au-delà : le vivre ensemble et la tolérance , c’est à dire la prévention des violences sous toutes leurs formes.
Ces campus sont des lieux de formation, de production et de partage de connaissances et d’échange d’idées. Donc normalement un environnement où la diversité des idées, des cultures, et des croyances se rencontrent et s’enrichissent offrant ainsi une opportunité d’épanouissement tant sur le plan individuel que collectif.
Tout un chacun a le droit d’être ici, de s’exprimer librement et de contribuer à ce vivre ensemble. Peu importe l’origine, la religion, la couleur de peau, la situation de handicap…
Les droits évoqués sont corollaires avec une responsabilité : celle de veiller à ce que chacun se sente en sécurité, respecté et libre d’apprendre et de travailler.
Malgré les initiatives telles que la mise en place de comités de dialogue social et de cellules genre équité dans plusieurs universités du pays, l’espace universitaire reste encore confronté à un niveau insoupçonné de violences de diverses natures et à différents niveaux.
Dans ce contexte, il est nécessaire d’alerter la communauté universitaire sur l’existence de ces violences afin de conscientiser et de prévenir ce phénomène.
L’ initiative s’inscrit dans le cadre du projet intitulé : « METTRE FIN AUX VIOLENCES BASEES SUR LE GENRE EN MILIEU UNIVERSITAIRE : DAKAAL METITAL CI BIIR DAAARA YOU KAWEYI ». Le but de ce projet est de lutter contre les VBG en milieu universitaire pour un meilleur respect des droits de tous, des femmes et des filles qui sont généralement les victimes, à travers la mise en place d’un cadre permettant de faire de la prévention, de la prise en charge et de l’accompagnement en cas de violences.
En gros l’initiative est de promouvoir un campus inclusif où le respect mutuel, la tolérance et la diversité sont célébrés. Il s’inscrit dans le programme « Dox tankku jamm » dans les campus, qui a commencé avec « Jammi Sanar » en 2022.
La représentante du ROAJELF Rella Bathily a remercié les partenaires techniques et financiers Equipop, Feministes en Action et l’AFD pour avoir financé le projet et promis de continuer avec des sessions de capitalisation avec l’ensemble de la communauté universitaire ».