Equipe Nationale de Football du Sénégal : Pape Thiaw Bien Placé pour Remplacer Aliou Cissé
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Comme annoncé ce matin par Sud Quotidien, Aliou Cissé, figure emblématique du football sénégalais, n’est plus à la tête de l’équipe nationale. Après une période marquée par des performances inégales et une relation de plus en plus tendue avec le public sénégalais, la Fédération sénégalaise de football (FSF) a été informée de la décision par une lettre confidentielle.
Selon des sources proches du dossier, cette décision est motivée par une pression populaire croissante, amplifiée par un désamour entre l’équipe et les supporters. Malgré les succès passés, notamment la première Coupe d’Afrique des Nations remportée en 2022, les derniers mois ont vu les critiques s’accumuler à l’encontre d’Aliou Cissé, certains lui reprochant un manque de renouvellement dans son approche tactique et dans ses choix de joueurs. Le sélectionneur, qui avait réussi à emmener le Sénégal à des sommets inédits, semblait de plus en plus isolé face aux attentes des supporters et aux exigences du poste.
D’après nos informations, Aliou Cissé a été informé en amont de cette décision, qui met fin à un mandat long de plusieurs années. Sa contribution au football sénégalais reste indéniable, notamment pour avoir redonné au Sénégal une place de premier plan sur la scène continentale et internationale. Cependant, les récents résultats décevants et la montée des critiques, aussi bien de la part des médias que du public, ont précipité cette décision.
Le débat sur son successeur est déjà lancé, et il semble que l’État privilégie la nomination d’un technicien sénégalais pour assurer la continuité. Le choix d’un remplaçant local serait vu comme une façon de maintenir l’identité nationale forte au sein de l’équipe tout en répondant aux attentes des supporters. Plusieurs noms circulent déjà, mais aucune annonce officielle n’a été faite à ce jour >> .
Agression du Député Guy Marius Sagna à Lomé : L’ État du Sénégal Réclame la Lumière
_ << Le Sénégal réagit après l’agression de Guy Marius Sagna, député sénégalais et membre du Parlement de la CEDEAO. Il a été frappé le dimanche 29 septembre 2024 alors qu’il était invité à une rencontre avec les militants et responsables du DMP, parti d’opposition togolais.
Le gouvernement sénégalais condamne la violence infligée au député Guy Marius Sagna. Invité par sa collègue députée Kafui Adjamagbo Johnson, il a été violemment agressé à Lomé lors de cette réunion. Sauvé par un groupe de miliciens, Guy Marius Sagna, blessé au visage, a été évacué vers une clinique proche du lieu de la rencontre.
Face à cette situation qui porte atteinte à la sécurité de l’autorité, le gouvernement sénégalais a réagi via son ministère de l’Intégration Africaine et des Affaires Étrangères, sous la direction de Yassine Fall. Il a condamné cet acte de violence et exprimé son indignation. Le ministère, au nom du gouvernement, a également rassuré l’honorable victime de cette agression que des mesures sont en cours pour élucider la situation et déterminer les responsabilités.
Pour l’instant, le gouvernement togolais n’a pas encore réagi par rapport à l’incident. Toutefois, il convient de noter que les députés togolais présents, dont Kafui Adjamagbo Johnson, ont également été victimes de violences de la part des miliciens, qui seraient liés au régime de Faure Gnassingbé >> .
Clôturant leur CVP : Les Enseignants Patriotes de Saint Louis Appellent à Protèger le « Projet »
_ Mettant à profit la cérémonie marquant la fin des Cours de Vacances Patriotiques d’un mois, organisées par le Monep, les enseignants de Pastef ont réitéré leur ferme volonté d’oeuvrer pour donner corps au « Projet ». Estimant que tous les sénégalais doivent s’approprier le « Projet » et le protéger, ces enseignants de Pastef plaident pour une razzia de leur parti lors des prochaines élections législatives. D’autant qu’il faut un bloc significatif pour donner au pouvoir en place l’opportunité de concrétiser tous ses projets.
Rames/RBDTS : Un Partenariat pour une Implication Durable
_ « Le projet a pour objectif l’amélioration de la Gouvernance, le Développement socio-économique et la Gestion des Ecosystémes de Biosphère Transfrontalière du Delta du FleuveSénégal, à travers trois (03) Composantes :
Composante 1 : Gouvernance de la RBTDS
La composante 1 du projet vise à renforcer et rendre fonctionnelle la gouvernance et la gestion
du RBTDS.
Composante 2 :
Gestion intégrée et restauration des écosystèmes dans le delta inférieur
du fleuve Sénégal
La composante 2 du projet vise à faire progresser la restauration des écosystèmes et la gestion
intégrée des écosystèmes dans le delta inférieur du fleuve Sénégal.
Composante 3 :
Coopération scientifique, acquisition et partage des connaissances, et
surveillance et évaluation des écosystèmes
La composante 3 du projet reconnaît l’importance de promouvoir une approche intégrée de
résolution de problèmes pour relever les défis auxquels est confronté la RBTDS ».
Grâce à la RBTDS : Le Rames à l’ Ecole du Concept de la Biosphère
_ « Désigné en 2005, la RBTDS couvre 641.768 hectares du delta du Sénégal et englobe un
ensemble d’aires protégées centrales, ainsi que des zones tampons et de transition. Elle a été
établie comme un moyen d’intégrer les considérations environnementales, sociales et
économiques tout en conciliant la conservation de la biodiversité et l’utilisation durable des
ressources naturelles sur le long terme.
Pour son fonctionnement les gouvernements de la Mauritanie et du Sénégal ont soumis au
Secrétariat du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) le projet « Renforcement de la
coopération transfrontière pour une meilleure gestion et une restauration des écosystèmes dans
le Delta du fleuve Sénégal (Mauritanie et Sénégal) ».
Proposée en collaboration avec l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature
(UICN), agence de mise en œuvre du projet, il a été approuvé en Octobre 2019.
Il vise à renforcer la coopération entre les deux pays et à soutenir une gouvernance améliorée,
un développement socio-économique et la gestion des écosystèmes au sein de la Réserve de
Biosphère Transfrontalière du Delta du Fleuve Sénégal (RBTDS).
Le projet a pour objectif l’amélioration de la Gouvernance, le Développement socio-
économique et la Gestion des Ecosystémes de Biosphère Transfrontalière du Delta du Fleuve
Sénégal, à travers trois (03) Composantes :
Composante 1 : Gouvernance de la RBTDS
La composante 1 du projet vise à renforcer et rendre fonctionnelle la gouvernance et la gestion
du RBTDS.
Composante 2 : Gestion intégrée et restauration des écosystèmes dans le delta inférieur du fleuve Sénégal
La composante 2 du projet vise à faire progresser la restauration des écosystèmes et la gestion
intégrée des écosystèmes dans le delta inférieur du fleuve Sénégal.
Composante 3 : Coopération scientifique, acquisition et partage des connaissances, et
surveillance et évaluation des écosystèmes
La composante 3 du projet reconnaît l’importance de promouvoir une approche intégrée de
résolution de problèmes pour relever les défis auxquels est confronté la RBTDS
Le résultat 1.2 assigné à la Composante 1 est le renforcement des capacités et la formation des
principales parties prenantes ont renforcé la gouvernance, la gestion et les actions sur le terrain
dans le cadre de la Gouvernance, la Gestion et des Actions sur le terrain.
C’est dans le cadre de mise en œuvre de la stratégie de renforcement de capacité, le projet veut
mettre à niveau les journalistes et chargés de communication qui interviennent dans la RBTDS
sur le concept de réserve de biosphère ».
Langue de Barbarie : La Der FJ Finance la Fabrique de Glace du Gie Bokk Khol Jambarou Sine
Dans le cadre de la tournée nationale de la Der FJ, la déléguée générale Aïda Mbodji a inauguré une usine de fabrique de glace sur la Langue de Barbarie. Le partenariat entre Der FJ et le Gie des femmes productrices Bokk Khol Jambarou Sine permet, ainsi, d’apporter une solution au lancinant problème de la conservation des produits halieutiques à Guet_Ndar, Santhiaba, Gokhou Mbaxx, Hydrobase et environs.
Vallée du fleuve_Sénégal : Le Sésame de l’ Efficience de la Résilience Recherché
_ « La Vallée du fleuve Sénégal (VFS) est une plaine alluviale encadrée de régions semi-désertiques et une grande partie du fleuve Sénégal marque la frontière entre la Mauritanie et le Sénégal (qui est le centre géographique de cette opération). Alors que la VFS fournit la majeure partie des terres irriguées en Mauritanie (90 %) et au Sénégal (80 %), les communautés des deux côtés du fleuve restent largement pauvres et de plus en plus vulnérables, beaucoup d’entre elles pratiquent l’agriculture sédentaire (en tant qu’agriculteurs de subsistance ou petits exploitants), des activités pastorales ou la pêche le long du fleuve Sénégal. La plupart des villes sont également sous-équipées des deux côtés du fleuve. La VFS est également une zone très vulnérable au changement climatique et présente une variabilité climatique parmi les plus extrêmes au monde. La VFS connaît une hausse des températures, des précipitations de plus en plus irrégulières, des sécheresses, des inondations, une élévation du niveau de la mer, une salinisation des sols et des eaux, une désertification croissante, des incendies de forêt et une dégradation des terres arables. Le changement climatique perturbe l’économie de la VFS en raison de sa dépendance à l’égard de l’agriculture et de l’élevage traditionnel. Les inondations récurrentes et consécutives et les sécheresses prolongées, qui surviennent souvent au cours de la même saison agricole, ont conduit à des dommages chroniques aux biens de production, contribuent à la dégradation des moyens de subsistance à long terme et ont un impact sur la sécurité alimentaire, l’augmentation des maladies d’origine hydrique et des épidémies, ainsi que sur les déplacements forcés dans la VFS. Les vagues de chaleur et les inondations endommagent fréquemment les infrastructures communautaires vulnérables, les routes, les marchés, les infrastructures urbaines et les propriétés privées dans la VFS ; et affectent l’accès aux marchés et aux services de base en raison de leur mauvais état, de l’absence de systèmes de drainage efficaces, du déversement de déchets dans les systèmes de drainage et de l’étalement urbain incontrôlé ; les pauvres, en particulier les femmes, les jeunes et les personnes déplacées étant les plus touchés de manière disproportionnée, en raison de leur accès limité aux ressources (terre, finances). Conscients de ces défis importants, les gouvernements du Sénégal et de la Mauritanie ont, avec l’appui de l’IDA, mis en place le Projet de Réssilence et de Développement communautaire pour d’une part réduire la vulnérabilité au changement climatique mais également renforcer la résilience des communautés transfrontalières.L’ODP est d’améliorer l’accès à des infrastructures et des services intégrés régionalement, résilients au climat et inclusifs dans des communautés frontalières ciblées de la vallée du fleuve Sénégal (Mauritanie et Sénégal). Les domaines d’intervention concernent les infrastructures sociales de base : Éducation, Santé, Hydraulique, Assainissement, Électrification, Jeunesse et Sport, la connectivité physique et numérique, la promotion et le développement économique, le genre et la cohésion sociale, l’environnement et les changements climatiques, la recherche. Placé sous la tutelle du Ministère de la Famille et des Solidarités pour la partie sénégalaise, le projet interviendra dans 3 régions (Saint Louis, Matam et Tambacounda), 6 départements (Saint Louis, Dagana, Podor, Matam, Kanel, Bakel) et 44 communes ».
Rencontre entre le Ministre des Finances et du Budget et le Cdeps: Le Fonds d’Appui et de Développement de la Presse Toujours Bloqué
« Date : Vendredi 13 sept. 2024 / Lieu : Ministère des Finances et du Budget
Présences ministère : ministre Cheikh DIBA, DGID Abdoulaye DIAGNE, CT THIOUB, Conseiller Ballé PREIRA
Présences CDEPS : Mamadou Ibra KANE, Pauline THIAM, Maïmouna Ndour FAYE, Alassane Samba DIOP, Issa SALL, Me Doudou NDOYE (Avocat-Conseil) »
_ « Ce vendredi 13 septembre 2024,
Le ministère des Finances et du Budget a reçu le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS).
Le ministre des Finances et du Budget, M. Cheikh DIBA, a révélé donné suite à une demande d’audience du président du CDEPS formulée le 15 août 2024. Pour le président du CDEPS, l’audience accordée s’inscrivait dans l’appel au «dialogue rénové» exprimé par le président de la République en Conseil des ministres du 14 août 2024.
La rencontre avait principalement pour objet la «situation de la dette fiscale des entreprises de presse».
D’emblée, le ministre DIBA a dit sa volonté de décrispation des rapports de son gouvernement dans ses relations avec la presse et a donné la parole au président du CDEPS.
PROBLÈMES POSÉS PAR LE CDEPS
Le président du CDEPS a remercié le ministre pour son invitation à cette rencontre et dit toute la disponibilité du patronat de la presse sénégalaise à entretenir des relations de collaboration avec le nouveau régime issu de la 3ème alternance politique survenue le 24 mars 2024.
Pour la situation de la dette fiscale des entreprises de presse jusqu’au 31 décembre 2023, le CDEPS s’en réfère à l’effacement fiscal accordé par le président Macky SALL par un courrier en date du 20 mars 2024.
En l’absence de reconnaissance de cet effacement fiscal par les nouvelles autorités, le CDEPS a soumis au ministre les requêtes suivantes pour la détente des relations avec la presse :
«Situation de la dette fiscale des entreprises de presse»
Main levée sur les comptes bancaires bloqués et annulation des procédures de saisie ;
Annulation de la taxation d’office, des pénalités et des redressements fiscaux ;
Gel des procédures de recouvrement des Impôts jusqu’en juin 2025.
Contrats publicitaires et créances dues par l’État
Paiement des contrats publicitaires échus
Rétablissement des contrats publicitaires résiliés unilatéralement.
Déblocage du Fonds d’Appui et de Développement de la Presse (FADP)
Fiscalité spécifique pour le secteur de la presse
À l’instar de tous les pays démocratiques, le Sénégal devrait instituer une fiscalité spécifique pour la presse. Au Sénégal, plusieurs secteurs dits stratégiques en bénéficient (logement social, agriculture-élevage, investissements étrangers, etc.).
RÉPONSES DU MINISTRE DES FINANCES ET DU BUDGET
Par rapport à toutes les requêtes des entreprises de presse, le ministre des Finances et du Budget a dit la disponibilité de son département à faire des propositions à son gouvernement.
Après le plaidoyer de Me Doudou NDOYE sur l’urgence d’une main levée sur les comptes bancaires, le ministre a promis, dès le début de la semaine prochaine, des mesures pour examiner favorablement toutes les mesures fiscales préconisées pour desserrer l’étau sur les entreprises de presse.
Mme Pauline THIAM, Mme Maïmouna Ndour FAYE et M. Alassane Samba DIOP ont convaincu le ministre Cheikh DIBA sur la nécessité du paiement des contrats échus au bénéfice des entreprises de presse. Pour le ministre, tous les contrats échus peuvent être soumis à ses services pour paiement.
Le ministre et ses collaborateurs ont manifesté un grand intérêt pour la fiscalité spécifique au secteur de la presse. Le Directeur général des Impôts et Domaines (DGID) préconise d’ailleurs d’associer la presse à la révision prochaine du Code général des Impôts.
La seule question sur laquelle il n’y pas eu de réponse du ministre concerne le déblocage du Fonds d’Appui et de Développement de la Presse (FADP).
Pour autant, toutes les questions abordées, au cours d’une rencontre empreinte de cordialité, feront l’objet d’un compte-rendu à l’autorité dans l’esprit de décrisper les relations entre le nouveau régime et la presse.
Sur toutes les questions évoquées, le ministre nous promet une réponse en milieu de semaine prochaine.
Actions urgentes à mener par les entreprises
Dépôt du dossier fiscal de chaque entreprise qui le désire au Cabinet de Me Doudou NDOYE pour réexaminer à la baisse les montants de la dette fiscale annoncée par les Impôts. Le montant de la dette fiscale de chaque entreprise est strictement confidentiel. Les données agrégées de la dette fiscale de toutes les entreprises de presse permettront d’en faire aussi une analyse dans le cadre de la réforme de la fiscalité pour les entreprises de presse.
Le CDEPS va rédiger une demande à la Direction générale des Impôts et Domaines (DGID) pour le gel des poursuites des services fiscaux contre les entreprises de presse jusqu’en juin 2025 ».
Suivi de la Campagne d’ Hivernage et Prise de Contacts : Le Nouveau Dg de la Saed, Hôte de la Région de Matam
_ « Le directeur général de la Société Nationale d’Aménagement et d’Exploitation des Terres du Delta du Fleuve Sénégal et des Vallées du Fleuve Sénégal et de la Falémé, Alassane BA, entamera à partir du mardi 17 Septembre 2024, une tournée de trois jours dans la région de Matam.
Au cours de cette tournée, Monsieur Alassane BA visitera les périmètres irrigués villageois pour faire le suivi de la campagne d’hivernage et les aménagements et infrastructures hydroagricoles réalisés dans le cadre de la mise en oeuvre des projets de développement comme APEFAM, PARIIS, PADAER, PAPRIZ, GGGI et PGIRE.
Cette tournée s’inscrit, aussi, dans le cadre des prises de contacts et de visites de courtoisie aux autorités administratives et locales pour le nouveau directeur général de la SAED.
En outre, le Dg Alassane BA rencontrera le personnel de la délégation SAED de Matam et les différents acteurs des filières agricoles de la zone.
Aprés Matam, le Directeur Alassane BA amorcera une autre tournée dans le département de Bakel pour une durée de 48 Heures ».