A l’ Université Gaston Berger de Saint-Louis, les étudiants interpellent la tutelle et les autorités au sommet de l’ État sur la question de la restauration. Sur place, les pensionnaires de Sanar trouvent, difficilement, de quoi se mettre sous la dent en vue de tromper leur faim. Une dette de l’ Etat, de près de 4 Milliards, envers les repreneurs et autres restaurateurs fait vivre le calvaire aux 8 mille étudiants. Lesquels disent, face à cette situation, être amenés y manger du pain au chocolat pour les repas de midi.