Mois : juillet 2019

Vous voilà enfin en carré d’As Car devant vous tout trépasse . En nous faisant bondir avec vous Nous nous mêlâmes au vaudou Pour chanter l’ancestrale Afrique Et sa belle jeunesse , magnifique ! A vos pieds un trophée continental Qui vous place sur un piédestal Depuis le Pays de Toutankhamon D’où vous reviendrez avec renom . Nous entendons votre cœur battre Au son de l’harmonica du pâtre Que le troupeau reconnaît si bien Que la troupe reconnaît de si loin Et fait du Nil au Cap un unique lien . Vous êtes chez vous en Egypte Cheikh vous en aurait fait le conte . De la Terre du tout Premier Homme Et des derniers que nous sommes Entonnons la chanson de David Celle des guerriers impavides « Dans les savanes ancestrales «  Dont le monde admire la beauté De leur corps si bien sculpté . Ici l’on vous célèbre déjà , preux ! Maintenez bien le cap chers neveux Continuez à les faire tous trembler Et pas un qui ose vous ressembler Car symbiose de Niani et de Nder Dont vous dira mot le Pr . Iba Der Qui vous rappellera le sang versé Et vous parlera des corps embrasés Pour que Notre Pays ait un Nom . Ne nous laissez pas tomber , Non ! Vous ne pouvez pas d’ailleurs Ne vous laissez surtout pas faire Rugissez sans jamais vous taire Vous ne le sauriez d’ailleurs Car ici et partout ailleurs d’ailleurs Vous êtes les maîtres de votre art ! Incontestables , en vos fières allures Evitez vous tout risque de bavure Qui vous éloignerait de cette parure Que l’on rêve de vous voir étrenner Des deux mains levées au Ciel Pour le présenter ensuite au Chef Le Drapeau National , avec fierté , avec . Que Dieu le fasse , Amen ! Maître Alioune Badara Cissé Mediateur de la République Du Sénégal

La chose est assez rare pour être signalée ! Une dame qui accouche d’un triplé ( un garçon et deux filles ) et qui affiche la mine des mauvais jours. Issue d’une famille démunie, mariée à un pêcheur qui tire le diable par la queue par ces temps de vaches maigres, la maman songe déjà à l’après accouchement. Entourée de sa maman et de celle de son mari, elle vit dans l’angoisse de lendemains incertains depuis la naissance, mardi 9 Juillet, à l’hôpital régional de Saint_Louis, de ses 3 bébés. Par la voix d’une des grand_mères des bébés, elle lance, ici, un Sos dans l’optique d’une prise en charge, dans les régles de l’art, de sa progéniture. Joignable à ces numéros : 781615596 _ 708918035

En prenant le dessus sur le Bénin, le Sénégal s’ouvre le chemin des demi_finales de la présente Can égyptienne. Idrissa Gana Guéye, à la 39 ème minute a, ainsi, libéré le Sénégal grâce à son but inscrit suite à un une_deux avec Sadio Mané. Les poulains du coach Aliou Cissé réussissent ce que le Maroc, le Ghana, le Cameroun ne sont pas parvenus à faire à l’occasion de cette Can : battre le Bénin. Ce faisant, les coéquipiers du capitaine Cheikhou Kouyaté marquent un grand coup et se positionnent, désormais, comme de sérieux prétendants au sacre continental.

Les populations du village de Cas_Cas, localisé dans la commune de Médina Ndiatbé sont très remontées contre le premier magistrat de cette localité. Dans cette partie du dèpartement de Podor, certaines populations autochtones s’insurgent contre la décision du maire de transformer leur lopin de terre à usage d’habitation, en marché hebdomadaire ou Louma ainsi qu’on l’appelle dans le langage vernaculaire. Ces Foutankés, l’orgueil en bandoulière, tiennent à leur terre comme la prunelle de leurs yeux. A l’occasion d’un rassemblement à la dite place, ces populations, d’obédience apériste, qui en veulent à mort à l’édile de la commune de Médina Ndiatbé, ont réitéré leur ardent désir de lutter, vaille que vaille, pour sauvegarder ce legs de leurs ancêtres. Ces populations qui déclarent s’opposer à tout prix à ce projet, rappellent que le terrain, en attendant d’ètre exploité, abrite, traditionnellement, la prière lors des fêtes de Koritè et de Tabaski. Bravant le vent chaud et sec, la poussière, et au moment où le soleil au zénith darde ses rayons sur cette partie du Fouta, les sages et notables du village situé entre les deux cimetières du village se sont bruyamment fait entendre pour dire haro à l’attitude cavalière de leur maire. Aujourd’hui, ces Foutankés réclament l’arbitrage du chef de l’Etat Macky Sall. D’autant que le plus cocasse dans cette affaire, c’est que le maire a déjà clôturé le terrain juste après la délibération, en catami, du conseil municipal, accusent ces populations du village de Cas_Cas de la Commune de Médina Ndiatbé dans le département de Podor. Le site d’excellence www.miroironeline.com reste à l’écoute du maire de Médina Ndiatbé pour avoir sa version des faits.

Dissolution de l’Arm dans la Dci : Le niet catégorique des paysans du Nord _ Les soucis du gouvernement du Sénégal de rationaliser les dépenses publiques en couplant ou supprimant certaines directions et agences estampillées budgetivores et inutiles est, certes, salutaire et opportun dans un contexte de rareté des ressources. Mais il n’en demeure pas moins qu’ il urge de mettre l accent sur le sort qui est réservé à l’agence de Régulation des Marchés. Une rumeur persistante, corroborée par certaines indiscrétions issues du cercle trés fermé des gens du milieu prêtent aux décideurs l’intention de dissoudre l’Arm dans la Direction du Commerce Intérieur. Pourtant, expliquent nos sources, l’Arm a fini de faire ses preuves en terme de régulation des marchés depuis sa création en 2002. Ce, a encore appris www.miroironeline.com, malgré ses faibles ressources, la modicité de ses moyens et le déficit de son personnel. Aujourd’hui, la réalité est que l’Arm est une agence de niveau 4 dont les résultats sur des filières comme l’ oignon, la pomme de terre, la carotte, la banane entre autres, ont permis de limiter les importations de ces spéculations. Au surplus, l’Arm participe à résoudre le déficit de la balance commerciale de l’économie sénégalaise. Du coup, le couplage de l’Arm et la Dci va inéluctablement entraîner la déchéance de ces filières dites émergentes ainsi que la perte d’emploi de beaucoup de pères et mères de famille. La décence, chuchotent nos informateurs, recommande de taire leur situation professionnelle ainsi que le traitement salarial. Pourtant , en dépit de la situation de précarité dans laquelle ils baignent, et, contrairement aux autres secteurs de la vie socio-professionnelle, les agents de l’Arm n’ont jamais haussé le ton pour réclamer une revalorisation salariale encore moins une amélioration de leur statut. Il convient de rappeler que l’Arm couvre tous les départements du pays et s’active autour de plus de 174 marchés. C’est dans ce contexte que certains responsables de producteurs et autres paysans de la Vallée et le Delta du fleuve Sénégal sont montés au créneau pour alerter sur l’urgence et la nécessité d’approfondir la réflexion avant de prendre cette décision qu’ils estiment inopportune et impopulaire. Nos interlocuteurs qui ont fait face à la presse, dans la cité tricentenaire de Saint_Louis, en marge du traditionnel ateler_bilan annuel de la filière tomate n’y sont pas allés de main morte. En substance, ils adhérent à la rationalisation des ressources publiques tout en plaidant le renforcement de l’Arm. Et, bien évidemment, ces producteurs ont marqué leur désaccord à la dissolution ou la fusion de l’Agence de Régulation des Marchés avec la Direction du Commerce Intérieur.