Mois : décembre 2019
Père Noël à Gandiol !
Dans le cadre de l’exécution de ses projets, Index Sénégalais d’Initiative au Développement (INSIDE) offre, depuis trois (3) ans, joie et réconfort aux enfants de la commune de Ndiébéne Gandiol en organisant une grande fête pour distribuer des cadeaux avec le Père Noël.
INSIDE est une association à but non lucratif qui œuvre à Ndiébéne Gandiol dans les domaines du tourisme, de la pêche et l’aquaculture, de la santé, de l’éducation, du développement durable et de la jeunesse.
Pour cette année, la quatrième Edition du Noël des Enfants de Ndiébéne Gandiol est placée sous le haut parrainage de Madame Ndèye Sali DIOP DIENG, Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants, et à Madame Aïssatou Cissé, Conseillère Spéciale du Président de la République pour la Promotion et la Protection des Droits des personnes vulnérables.
L’évènement se tiendra le samedi 04 Janvier 2020 au lycée de Tassinere et prévoit d’offrir des cadeaux à cinq cent vingt-deux (522) enfants.
Crise de l’Electricité, Querelles de Leadership à l’Apr, Attaques d’Adversaires Politiques… : Le Walo Soutient le Ministre Mouhamadou Makhtar Cissé
DECLARATION DU 21 DECEMBRE 2019
L’actualité de ces derniers jours est marquée par la cabale contre Monsieur le Ministre du Pétrole et des Energies Mouhamadou Makhtar CISSE qui devient ainsi injustement la cible d’attaques crypto personnelles infondées de la part de personnes tapies dans l’ombre.
Malheureusement pour eux, le peuple sénégalais dans un esprit de pragmatisme et de lucidité qu’on lui connaît, juge les hommes selon des critères objectifs et pratiques. Dans ces conditions, Nous comprenons parfaitement que la confiance du peuple et celle du Président Macky SALL renouvelée plusieurs fois puisse déranger certaines personnalités politiques aux agenda inavoués, pour mener à distance une campagne de diabolisation et tenter ainsi vainement de jeter le discrédit sur un homme dévoué, loyal et serviteur de la nation.Nous avons aussi remarqué que des néo opposants opportunistes, se prenant pour des spécialistes en tout essaient de s’y greffer. C’est de bonne guerre et ceci n‘a rien de surprenant. Ils sont nourris et armés par ceux de l’intérieur que les résultats et la loyauté de Mouhamadou Makhtar CISSE dérangent. Ils échoueront car c’est le sort des comploteurs de mordre la poussière.
Il est important de rappeler les résultats probants, ayant un impact direct sur le vécu quotidien des populations obtenus par Mouhamadou Makhtar CISSE sous la confiance et les orientations du Président Macky SALL .
Nous citerons entre autres :
Nous, responsables politiques et coutumiers du Walo,
Ont signé :
du département de Dagana
Fait à Richard TOLL le 21 Décembre 2019
Armée Le Contingent 2019 3 Arrive avec 1130 Garçons et 68 Filles
Face aux Dérives Autoritaires du Pouvoir en Place au Sénégal : La Plateforme Noo Lank Verrouille son Niet Catégorique
Les sénégalais ont constaté pour le déplorer l’attentat perpétré, ce vendredi 20 décembre 2019, contre l’Etat de droit et qui donne encore une fois une face très hideuse à la démocratie sénégalaise. De dignes citoyens venus manifester pacifiquement leur refus de toute hausse sur les tarifs de l’électricité, et la libération des ‘’otages du palais’’, conformément au droit que leur confère la Constitution du Sénégal, ont été rudoyés, à la face du monde.
En violant cette loi fondamentale par un arrêté illégal, le préfet de Dakar est tenu responsable par le Collectif Noo Lànk, de toutes les violences perpétrées sur d’honnêtes citoyens totalement désarmés, et condamne fermement les arrestations arbitraires et déshumanisants de ses camarades lors de cette manifestation pacifique à la Place de l’Indépendance. Il s’agit de : 1. Daouda Gueye, FRAPP 2. Ben Taleb Sow, FRAPP 3. Alioune Badara Mboup, FRAPP 4. Aliou Sané, Y’en à marre 5. Thiat, Y’en à marre 6. Cheikhou Camara, Y’en à marre 7. Tiger, Y’en à marre 8. Saliou Ndiaye arrêté à Thiès, Y’en à marre 9. Pr Malick Ndiaye, UCAD 10. Thierno Bocoum, AGIR 11. Cheikh Sadibou Diop, ALERTE 12. Ardo Gningue, Sénégal va mal 13. Abdourahmane Samaké, One Million March 14. Cheikh Tidiane Gaye, FRAPP 15. Ousmane Seck, PASTEF 16. Birane Diop, Khalifiste 17. Hamidou Sora Sow, Nittu deug 18. Fallou, Nittu deug 19. El Hadji Kani Diallo, Nittu Deug 20. Thierno Sall, Nittu deug 21. Alioune Badara Seye, Nittu deug 22. Edouard, PASTEF 23. Ibrahima Guèye dit Naay leer, Gilets Rouges 24. Baba Top, Gilets Rouges
25. Mouhamed, Gilets Rouges Et tant d’autres sénégalais… Il est même difficile de faire le décompte tellement les arrestations ont été systématiques et en violation totale de l’Etat de droit.
Certains camarades ont été pris par des personnes déguisées en tenue de Baye Fall ou vendeurs à la sauvette sans aucune sommation, comme l’exigent les règlements en vigueur lors des manifestations non autorisées. S’agit-il de nervis armés pour la circonstance, par le pouvoir et couverts par la Police nationale ? Ou s’agit-il de la nouvelle trouvaille d’un régime liberticide et démocraticide ?
En tout cas, ces pratiques sont indignes d’une longue tradition démocratique comme le Sénégal, et déshonore notre Police nationale dont le « professionnalisme » est chanté sur tous les toits.
Le Collectif Noo Lànk refuse de se laisser distraire et engage les Sénégalais à poursuivre la lutte jusqu’à l’abandon par l’Etat de la hausse du prix de l’électricité.
La plateforme a également noté avec amertume la politique du « deux poids-deux mesures » consistant à libérer uniquement le Dr Babacar Diop et les étudiants, pour retenir encore dans les liens de la détention Guy Maris Sagna, Ousmane Sarr et Leuz Nittu deug.
Pourtant, ils ont été arrêtés en même temps et sur les mêmes lieux. Par cette injustice, l’Etat cherche à diviser et à casser la dynamique nationale sur la revendication relative à baisse des prix de l’électricité.
Le Collectif Noo Lànk ne s’y trompe pas et appelle toutes les parties prenantes à maintenir leur engagement jusqu’à la libération totale des ‘’otages du palais’’ et l’annulation de la hausse des prix de l’électricité. Le Collectif Noo Lànk avisera dans les plus brefs délais de la suite de son combat.
L’ Observatoire National de la Parité Fonde beaucoup d’Espoirs sur le Comité de Suivi de l’Egalité Homme_Femme de Saint_Louis
Egalité Homme -Femme : La Région de Saint Louis Dotée d’un Comité de Suivi
Oumar Sarr (Sénégal): «Le problème de fond du PDS, c’est Karim Wade»
Au Sénégal, c’est la crise au Parti démocratique sénégalais d’Abdoulaye Wade. Le PDS se déchire depuis l’élection présidentielle de février 2019. La candidature de Karim Wade, fils de l’ancien président, condamné pour enrichissement illicite et en exil au Qatar depuis 2016, avait été retoquée. Le parti n’avait donc pas présenté de candidat. Mais cette stratégie du « Karim sinon rien » l’a profondément divisé. Longtemps numéro deux de la formation, Oumar Sarr en a été écarté. Et d’autres piliers du parti libéral ont quitté le navire. Pour Oumar Sarr, le PDS est aujourd’hui mort, et cela à cause de Karim Wade. Oumar Sarr est l’invité de Charlotte Idrac.
Rfi : Oumar Sarr, est-ce que vous considérez que vous êtes toujours membre du PDS ?
Oumar Sarr : Oui, formellement, je suis membre du PDS. Mais comme vous le savez, il y a eu une note circulaire signée par le président Wade disant qu’Oumar Sarr s’est auto-exclu. Bien sûr, nous avons pensé que cette note est nulle et non avenue, illégale en tous points de vue. Une personne, la plus importante soit-elle, ne peut pas rayer quelqu’un d’un parti. Il faut des instances, il faut des structures… Ce sont les statuts qui le disent, c’est le règlement intérieur qui le dit. Donc je ne sais pas dans quel monde ils sont. Je pense quand même qu’ils marchent sur la tête Depuis déjà plus d’un an, il n’y a plus de direction du PDS qui se réunit. Le PDS est un peu perdu dans les vagues.
Dans cette note que vous évoquez, signée par Abdoulaye Wade, vous êtes accusé «de saper l’unité du parti» ou encore«d’actes de défi». Comment est-ce que vous avez réagi à cette note ?
Cela m’a fait d’abord rigoler. Je me suis dit que, vraiment ces personnes ne se prennent plus au sérieux. Nous, on a supposé que c’est Karim Wade qui l’a écrit et que c’est son père qui l’a signée. Nous avons, bien sûr, réfuté totalement cette circulaire, illégale en tous points de vue.
Vous évoquez Karim Wade. Pour vous, c’est lui ? C’est Karim Wade, le problème de fond du PDS ?
Oui, absolument. Lors de l’élection présidentielle de 2019, Karim Wade était notre candidat. Je rappelle quand même qu’il était en prison quand nous l’avons élu. Le congrès du PDS l’a élu candidat. Nous nous sommes battus, nous l’avons libéré. Et après, il a maintenu sa candidature, sachant bien qu’il n’allait jamais, jamais, revenir pour être candidat. Moi-même, on m’a désigné comme directeur de campagne, soi-disant. Directeur de campagne d’un candidat fictif. Il (Karim Wade) n’est pas venu et ensuite cela a créé une crise importante du parti. Parce que, s’il savait dès le départ qu’il n’allait pas venir, on aurait pu – nous, à l’intérieur du PDS -, trouver une solution alternative. Donc, il nous a caché la vérité, et il manipule vraiment son père. Toutes les décisions qui sont prises aujourd’hui par son père sont en réalité pré-signées par Karim Wade.
Karim Wade reste silencieux. Que veut-il, à votre avis ?
En réalité, je pense qu’il est plus intéressé par les affaires que par la politique. Parce qu’il ne veut pas d’amnistie, comme il dit, il veut la reprise de son procès. Si c’est un homme politique qui veut être candidat à une élection quelconque, l’amnistie suffit largement, mais apparemment, il veut autre chose. Il ne sait pas faire la politique.
En plus, on n’hérite pas d’un parti comme le PDS qui a une histoire. Le PDS existe depuis 1974. Il ne faut pas venir comme cela et dire : ‘’Mon père est vieux, je le remplace’’ et créer une espèce de fan-club Karim Wade – et dire que c’est cela, le parti. Donc, nous pensons que, ce qui l’intéresse, aussi, c’est de prendre éventuellement en otage le PDS pour l’utiliser plus tard pour ses affaires.
Après la présidentielle de février 2019, vous avez participé au Dialogue national, à son ouverture en mai dernier, sans l’aval d’Abdoulaye Wade, patron du PDS. Pourquoi cette initiative ?
Quinze jours avant, j’ai discuté avec le président Wade. Le président Wade avait donné son accord total sur le Dialogue national. Il m’avait mandaté pour y aller. Le soir vers 20 heures, il y a eu un communiqué du PDS et dans le communiqué on disait que le PDS n’allait pas au Dialogue national.
Je savais déjà que Karim Wade ne voulait pas de ce Dialogue national. Il voulait comme préalable que le président Macky Sall se prononce sur la révision de son procès. Et voilà qu’à cette occasion, on prend une mesure non concertée. Cela n’a jamais eu lieu. C’est vraiment la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Je me suis dit : je vais prendre mes responsabilités et aller au dialogue national, expliquer aux militants, aux populations du Sénégal, pourquoi je suis allé au Dialogue national.
En août dernier, vous avez lancé le mouvement Sukhali Sopi, avec d’autres ténors du PDS, Amadou Sall ou Babacar Gaye. Où en est-on de cette alliance ?
Vous voyez un peu partout dans le département au nord ou au sud du Sénégal, des responsables, des sections entières qui se déclarent aujourd’hui membres de Sukhali Sopi. Nous ne pouvons pas, aussi, rester comme cela les bras croisés ! Le PDS n’existe plus en réalité ! Il n’a plus aucune activité ! Donc nous ne pouvons pas mourir avec ce PDS-là et nous allons démontrer que la plupart des militants et responsables du PDS sont avec nous. Nous allons le démontrer dans les élections à venir.
Les élections locales ?
Les élections locales, qui normalement devraient avoir lieu au plus tard fin mars 2021.
Et donc, éventuellement, l’ambition serait de présenter des candidats sous la bannière Sukhali Sopi ?
Oui, absolument. Aujourd’hui, on ne se voit pas être les candidats PDS du fan-club de Karim. Nous pensons incarner le PDS en ce qu’il a de plus sain, de plus combatif. Donc si la coquille PDS n’est plus utilisable, il faudra bien définir une autre stratégie et probablement à être carrément un parti.
Donc la guerre est réellement déclarée avec Abdoulaye Wade et les Karimistes ?
Le président Wade, nous le respectons. Nous allons toujours continuer à le respecter. C’est notre mentor, en quelque sorte. Mais le fan-club Karim n’est pas le PDS, pour nous. Nous pensons que nous l’incarnons mieux. Nous ne pouvons pas, ni arrêter, ni reculer. Nous allons continuer.