Mois : février 2020
Langue de Barbarie : Les Randonneurs du Dimanche Appellent à un Retour au Calme !
Les différents clubs de randonneurs du dimanche matin de Saint_Louis se sont donnés rendez_vous sur la Langue de barbarie pour s’adonner à leur activité favorite à l’occasion du repos dominical. Avec, cependant, une particularité en ce jour spécial. L’objectif commun à ce beau monde étant de participer à l’effort de paix tant souhaitée dans cette partie de la capitale du Nord, aux lendemains des derniers affrontements entre les forces de l’ordre et les jeunes pêcheurs de Guet_Ndar et environs. Le trajet, en aller_retour, Guet_Ndar / Gokhou Mbaxx / Guet_Ndar a permis aux randonneurs de la vieille cité tricentenaire de véhiculer leur message de paix. En véritables apôtres de la paix, ces hommes et femmes, toutes les générations confondues ont, ainsi, pris leur bâton de pélerins en vue d’impulser une dynamique positive à la recherche de la paix sur la Langue de barbarie. Selon » ces amis du dimanche matin, c’est toute la ville de Saint_Louis qui a besoin du retour de la paix à Guet_Ndar. Pour ce faire, les randonneurs ont invité les pouvoirs et les populations à savoir raison garder tout en mettant la pédale douce en vue d’une pacification de cette partie de la ville de Mame Coumba Bang. D’autant que, c’est un secret de Poilichinelle, si Guet_Ndar éternue, Saint_Louis croit savoir le site de référence www.miroironeline.com.
Las d’être la vache laitiére des contrôleurs du commerce : les pharmaciens réclament les inspecteurs de la santé
Non, les pharmaciens ne sont pas des délinquants qu’on contrôle à tout bout de champ. Cette assertion est du Dr Assane Diop. Le président du syndicat des pharmaciens privés du Sénégal s’exprimait, ainsi, samedi matin, dans la cité de Mame Coumba Bang, à l’occasion du panel des pharmaciens de la région de Saint_Louis, sur le thème » relations conflictuelles entre pharmaciens et services du commerce : approche juridique, ébauches de solutions « , en présence d’élèments du service du commerce. En réalité, les échanges ont, surtout, tourné autour de la clarification du rôle de chaque segment du secteur de l’industrie pharmaceutique. Avec, toutefois, un focus sur les relations aux allures d’un » je t’aime moi non plus qui ne dit pas son nom » entre les pharmaciens et les contrôleurs du service du commerce. Les pharmaciens réclament une révision des textes qui réglementent l’industrie pharmaceutique en vue de coller au contexte. Aujourd’hui, l’ardent désir des détenteurs d’officines souhaitent, désormais, que leurs pharmacies soient contrôlées par les inspecteurs de la santé. Et non par les contrôleurs du service du commerce. A en croire les pharmaciens présents à cette rencontre, toutes » les visites effectuées » par les contrôleurs du commerce, débouchent, toujours,
sur des sanctions pécuniaires. De l’avis des » panélistes, cette situation qui n’a que trop duré, doit cesser. D’autant que les inspecteurs de la santé ont la compétence sur le contrôle du prix, sur la qualité, le respect des textes et lois qui régentent l’activité pharmaceutique au Sénégal. Au surplus, précisent nos interlocuteurs, l’ exercice de la pharmacie répondant à une mission de santé publique, l’activité ne doit plus, seulement, être considérée à l’aune de l’aspect commercial a glané le site de référence www.miroironeline.com.
Mpal : Serigne Ousmane Ngom Nouveau Khalif Général de la Famille Mame Rawane Ngom
Enterré, samedi, dans la cité religieuse de Mpal, après son rappel à Dieu, la veille vendredi, le défunt Khalif de la Famille Mame Rawane Ngom de Mpal, El Hadji Lamine Ngom, repose, désormais, auprès de son illustre devancier, le guide religieux Mame Rawane Ngom. Le Khalif Général des Tidianes Serigne Babacar Sy Mansour a rehaussé de sa présence la cérémonie marquée par la pure tradition religieuse. Conformément aux us et coutumes de la famille d’El Hadji Mame Rawane Ngom, le choix du nouveau Khalif s’est fait tout naturellement, dans la sérénité et, en tenant compte de toutes les convenances protocolaires, à l’aune de la discipline telle qu’enseignée par le Grand Khalife de la cité religieuse, le vénèré El Hadji Mame Rawane Ngom. Au finish, Serigne Ousmane Ngom est propulsé Khalif de la Famille Mame Rawane Ngom de Mpal. Toute la rédaction du site de référence www.miroironeline.com présente ses condoléances à la famille de Mawane Mame Rawane Ngom de Mpal et souhaite longue vie et plein succès au nouveau Khalif Serigne Ousmane Ngom dans la perspective de sa noble et exaltante mission.
L’ Ong Radi (Réseau Africain pour le Développement Intégré)forme 200 membres des Cge de la langue de Barbarie
La session de formation consacrée aux membres des Cge de la Langue de barbarie s’est effectivement tenue du 6 au 8 Février 2020 au Crfpe de Saint Louis, sis au Quartier Gokhou Mbaxx. Elle a regroupé 200 membres des Cge, les 5 inspecteurs de l’Ief, les intervenants externes ainsi que les superviseurs de Radi.
A la cérémonie d’ouverture présidée par l’Ief, suite au rituel de la prière pour bénir la rencontre, le directeur du centre a prononcé des mots de bienvenue tout en présentant les commodités de la maison. A sa suite, le représentant du Radi a pris la parole pour revenir largement sur les réalisations en cours et sur les ambitions du projet. Le point focal, quant à lui, a décliné le chronogramme de la formation en insistant sur les contenus et sur l’espoir de voir ce groupe s’engager au même titre que les groupes précédents. Il revenait enfin à l’Ief de repréciser le contexte et la justification, de formuler des recommandations pour un bon déroulement des travaux et de déclarer ouverte la session. Cette formation a été bien appréciée par l’autorité académique, les représentants du partenaire Rradi ainsi les bénéficiaires que sont les communautaires. Ces derniers ont pris l’engagement de réinvestir les acquis dans le milieu.
Des visites de contrôle, de suivi et d’accompagnement seront effectuées par l’Ief et le représentant local pour constater l’effectivité des résultats sur le terrain a glané le site de référence www.miroironeline.com.
Projet de protection côtière de Saint_Louis : Le budget 2020 validé
Le constat est unanime sur le phénomène d’érosion côtière qui sévit sur la Langue de barbarie. Voilà qui explique la mise en branle, d’un projet d’érection d’un mur de protection, qui est une mesure urgente eu égards à l’acuité de la problématique. Avant ce projet qui doit s’étaler sur 18 mois, l’Etat du Sénégal est d’abord intervenu en 2017 pour faire un projet de protection. A la suite de ce projet, le gouvernement sénégalais, accompagné par l’agence Française de Développement (Afd), compte ériger un mur de protection, en enrochement, qui va s’ériger sur 2150 mètres linéaires pour ce qui est du volet structurel technique. Mais le projet s’articule autour de trois composantes qui sont la communication, la sensibilisation, le suivi scientifique et la formation. Il convient de noter que, parallèlement à ce projet, initié pour parer au plus pressé, la réflexion est menée, en haut lieu, sur une solution durable. D’ailleurs le projet qui est entrain d’être élaboré au niveau de l’Agence de Développement Communal (Adm) en est à sa phase de modèlisation hydrodynamique qui permettra d’étudier le comportement cyclique de l’érosion côtière. A ce niveau, un suivi scientifique est mis en place, mené par l’Ird mais aussi par certaines universités sénégalaises que sont l’université Cheikh Anta Diop de Dakar et l’université Gaston Berger de Saint_Louis a glané le site de référence www.miroironeline.com. La langue de barbarie qui longe les quartiers Gokhou, Santhiaba ou Ndar_Toute, Guet_Ndar, Hydrobase et le littoral du Gandiolais subit, ces dernières années, les conséquences fâcheuses de l’érosion côtière. L’ avancée de la mer caractérisée par les hautes dévastatrices continuent de hanter le sommeil des populations autochtones. Telle une ritournelle, le phénomène, de façon cyclique, vient, troubler la quiètude de cette partie de la vielle ville. Pour répondre aux sempiternels appels au secours des populations impactées, les autorités étatiques ont toujours inventé une solution de sortie de crise en vue de différer » la révolte silencieuse » née de la panique générale engendrée par la destruction de dizaines de concessions situées en bordure de mer.
Licences de pêche mauritaniennes: *L’ arbre qui cache la forêt*?
Par Abdou Karim Sall, Etudiant à la Faseg, Spécialisé en Analyse et Politique Economique, Vice_président de l’Association des Etudiants de Guet_Ndar
On disait que l’intérêt de la Mauritanie ne s’y trouvait pas jusqu’à ce qu’elle soit » le foutoir » qui a causé la manifestation du 04 Février 2020, montrant un revirement de 180 ° sur la nébuleuse question de l’octroi et de la gestion des licences de pêche. Quel est l’élément nouveau que nous ne maîtrisons pas et qui a obligé la Mauritanie a joué l’équilibre de Nash ? « Ce concept d’équilibre décrit un résultat stable obtenu lorsque les personnes ou les institutions font des choix rationnels en se basant sur la manière dont elles pensent que les autres agiront « . Est ce que c’est l’intérêt caché de nos frères mauritaniens qui les pousse à bonifier nos relations de fraternité ? Ou est ce que ce sont ces mêmes intérêts qui étaient menacés jusqu’à les pousser à passer l’éponge sur les amendes qui les avaient obligés à repartir avec les licences allant même jusqu’à nous menacer de les éliminer si nous ne les payons pas ? Aujourd’hui à la surprise du monde de la pêche, nous assistons à une scène comique, comme quoi, que les licences ne seront plus soumises à un paiement de redevances et qu’il aura une augmentation de 25% sur le nombre d’attributions. Nous savons que les Etats n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts à défendre. Maintenant nous aimerions bien savoir quelle est la proposition compensatoire qui a renversé la balance ? Est ce que c’est lié au pétrole ? Ou bien c’est la Mauritanie qui est consciente de la force de travail que lui fournissent les braves pêcheurs guet ndariens pour qu’elle puisse jouir de l’usufruit de 6% des captures, prélevé sur chaque pirogue sachant qu’elle ne dispose pas de main d’oeuvre qualifiée qui puisse lui permettre d’exploiter ses propres ressources. Sans comptabiliser les amendes qui s’y ajoutent, dûes à la capture de 2% des espèces de poisson interdites comme le mulet. Etant des fils de Guet_Ndar, nous savons tous que le besoin d’aller pêcher dans les eaux mauritaniennes est periodique et ne dépasse pas 4 mois d’activités au maximum. C’est la raison pour laquelle, le ministre a dit qu’il voulait des licences de 3 mois. Malheureusement, on lui a octroyé des licences qui durent un an. Ce qui veut dire que pour les 9 mois où nous pêchons dans noss côtés, la Mauritanie continuera à bénéficier de ce fameux 6% sur nos propres ressources et que les amendes sur les interdictions continueront aussi à s’appliquer sur les détenteurs de licences. Nous avons bien servis d’appât et cette fois_çi, Gazhouani a attrapé un gros poisson. Je vais terminer mes séries d’interrogations en paraphrasant le président Senghor : la raison n’est elle pas mauritanienne et que l’émotion est sénégalaise?
*Libérer Makka*
*Libérer Yam*
Abdou Karim Sall, Vice_président de l’Association des Etudiants de Guet_Ndar
Grosse colère des pêcheurs de Félés_félés à Guet_Ndar : Polémique autour des 100 Nouvelles Licences Mauritaniennes
Au quartier des pêcheurs de Guet_Ndar et sur toute la langue de barbarie ou » langue des braves » , l’annonce du rajout de cent nouvelles licences de pêche mauritaniennes aux quatre cents déjà engrangées, annuellement, suscite une vive polémique. Dans cette partie de la ville de Mame Coumba Bang, si l’on magnifie les démarches louables entreprises par le président Macky Sall en faveur des professionnels de la pêche, il n’en demeure pas moins que des voix s’élèvent pour clouer au pilori la tournure prise par le chapitre consacré à la négociation des licences de pêche lors de la visite du chef de l’Etat sénégalais en Mauritanie. Et c’est le secteur des félés_félés ou filets flottants qui grince les dents. Ici, la déception est grande de voir les nouvelles licences de pêche mauritaniennes échouer dans l’escarcelle des sennes tournantes. Principale bénéficiaire des traditionnelles quatre cents licences de pêche mauritaniennes, cette catégorie de pêche se voit, en effet, octroyer cent nouvelles au lendemain de la visite du président Macky Sall chez son homologue mauritaniens Cheikh El Ghazouani. Cette nouvelle n’est pas pour plaire aux autres catégories de pêche à Saint_Louis, notamment aux professionnels qui s’activent autour des félés_félés ou filets flottants. Ces derniers n’ont eu de cesse, ces dernières années, de réclamer, en vain, leur part des licences de pêche mauritaniennes. Revendiquant d’être majoritaires à Guet_Ndar et partout où la pêche se pratique au Sénégal et dans la sous_région, nos interlocuteurs, d’inviter les autorités compétentes à procéder aux correctifs nécessaires en vue de ne pas réveiller les démons de la division sur la langue de barbarie. A les en croire, le secteur de la pêche n’a pas besoin d’une nouvelle tension après celle qu’il a vécue il y a une quinzaine de jours. Surtout qu’à Guet_Ndar et environs, la coutume voudrait que tout le monde soit servi. Le gouvernement ne doit pas, par conséquent, travailler à renforcer la catégorie qui dispose, déjà, de licences tout en omettant ceux qui n’en ont pas. Au surplus, les professionnels de la pêche des félés_félés laissent entendre qu’à l’état actuel des choses, leur cas doit être traité en priorité par les pouvoirs publics. Étant les plus impactés de la filière pêche avec l’exploitation du gaz et du pétrole, ces spécialistes de filets flottants qui voient, ainsi, leur zone de pêche menacer par les futurs pineplines et autres gazoducs, alertent sur l’acuité de la question. Une raison suffisante, selon certains s’entre_eux qui ont fait face à la presse, pour que le secteur des félés_félés ou filets flottants bénéficie d’une partie des licences de pêche mauritaniennes dans l’optique de continuer à pêcher a glané le site de référence www.miroironeline.com.
L’Ecole Supérieure Polytechnique s’Offre aux Terminalistes du Lycée Ameth Fall de St Louis
L’ Ecole Supérieure Polytechnique de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar a encore, comme à l’accoutumée, entrepris une tournée nationale dans les établissements scolaires en vue de distiller la bonne parole. L’Esp de l’Ucad annonce, ainsi l’ouverture des dépôts de candidatures pour une participation massive des élèves du Sénégal au concours qui ouvre les portes de cette école d’excellence. Cette année, 45 centres d’examen sont prévus pour les épreuves de sélection du samedi 13 Juin prochain. Cette tournée d’information et de sensibilisation permet de rappeler que L’Esp est la première école d’ingénieurs en Afrique de l’Ouest Francophone avec 6 départements : génie chimique et biologie appliquée, génie électrique, génie civil, génie informatique, génie mécanique, gestion. Fidèle à son slogan » une école, 3 diplômes en 5 ans « , L’Esp a formé plus de 30.000 diplômés au niveau de toutes les compétences, depuis sa création en 1964. Toutes les commodités pour asseoir un environnement favorable à des performances académiques sont garanties. En marge de la rencontre avec les filles du lycée Ameth Fall de Saint_Louis, qui est le point de départ de la tournée nationale, la délégation de l’Ecole Supérieure Polytechnique de Dakar a délivré un cri de cœur pour qu’un accent particulier soit mis sur le choix des filières scientifiques. D’autant, ainsi que cela a été notifié, qu’ un scientifique est un polyvalent qui va participer, activement, au développement économique et social de son pays. N’empêche, L’Esp donne, également, la possibilité aux élèves de terminale L2, de faire des études technologiqueset scientifiques de trés haute facture a glané le site de référence www.miroironeline.com.
Lcoft Ex Lycée Faidherbe : La Célèbration de l’Année du Centenaire en QuestionS
Premier établissement d’enseignement secondaire de l’Afrique Occidentale Française, qui ouvrit ses portes le 10 Novembre 1919 dans les anciens locaux de l’école primaire des sœurs de Saint_Joseph de Cluny, le lycée Faidherbe, actuel lycée Cheikh Oumar Foutiyou Tall fête, cette année, ses cent bougies. Créé par décret le 20 Juin 1919, l’établissement scolaire a vu se succèder des générations, écrivant, chacune une page de l’histoire de lycée et, par extension, du Sénégal. Entre autres pensionnaires qui ont fait les beaux jours de ce lycée prestigieux, les actuels dirigeants du lycée, qui ont fait face à la presse, de citer : l’ancien président de la République du Sénégal Abdou Diouf, Me Babacar Sèye, Alioune Diop qui a créé la maison d’édition » Présence Africaine « , feu Cheikh Béthio Thioune, Valdiodio Ndiaye. Ces cent ans vont être célèbrés autour d’un programme étalé sur la durée de l’année scolaire 2019/2020. Il est surtout question de tout mettre en œuvre pour impliquer tous ceux qui sont passés par le lycée Faidherbe, aujourd’hui, rebaptisé lycée Cheikh Oumar Foutiyou Tall. Mieux l’objectif visé, à travers ce programme, c’est de perpétuer et valoriser ce patrimoine historique et culturel. Le rôle éminemment positif, joué par le lycée Cheikh Oumar Foutiyou Tall au niveau du secteur de l’éducation, au fil des années, va être revisité à l’occasion des festivités marquant ce centenaire. Présenter en modèles de réussite pour les apprenants, les sommités et autres personnalités qui ont fait leurs humanités au sein du lycée centenaire, est aussi l’ambition des initiateurs de ce rendez_vous du donner et du recevoir. L’occasion faisant le larron, les temps forts de ce centenaire vont servir de tribune pour lancer un appel aux décideurs en vue de la rénovation du lycée qui ressent les contre_coups du poids des âges. » La célèbration de l’année du centenaire du lycée Cheikh Oumar Foutiyou Tall » ainsi que l’ont intitulée ses concepteurs, qui a démarré le 7 Décembre 2019, avec la salle des professeurs baptisée salle Abou Touré, ancien proviseur dans ce lycée, va être rythmée par 8 activités majeures à dérouler sur toute l’année scolaire a glané le site de référence www.miroironeline.com.
Ugb : Le Colloque sur la Culture du Fleuve a Vécu
A l’heure où les liens affectifs culturels historiques sont entrain de disparaître au niveau des localités, bien pourvues en zones lampsar, comme Saint_Louis, des professeurs et chercheurs du continent noir et de l’hexagone invitent à une introspection. Dans la cité tricentenaire de Saint_Louis, ancienne capitale de l’Afrique Occidentale Française, fief de la déesse des eaux, où se côtoient le fleuve et la mer, le phénomène de rejet affectif est encore plus accru. En plus de la dégradation de la berge du fleuve ou en bordure de la mer, du fait des coups de boutoir des populations, la désaffection affective assimilable à une indifférence coupable interpelle les experts en sciences des eaux, les sociologues et autres amis et défenseurs de l’environnement.