Mois : février 2020

Le Président Wade demande le rapatriement de nos 13 jeunes compatriotes qui vivent à Wuhan. Evidemment, il faut le faire avec précaution et ne pas exposer les Sénégalais au risque du coronavirus. Eux aussi ont droit à la santé.

Ce rapatriement doit être entrepris immédiatement car, si une maison brûle, on ne dit pas ‘’Je vais réfléchir’’.

Toutefois on doit prendre des précautions pour que des malades n’importent pas dans notre pays les microbes d’une épidémie dangereuse qui expose la population entière.

Dans ce cas les précautions à prendre sont très simples.

1. Envoyer une équipe médicale constituée de médecins sénégalais qui, avec leurs collègues chinois, sélectionnent ceux qui ne sont pas atteints pour un rapatriement immédiat, les autres, s’il y en a, devant être traités sur place dans les hôpitaux chinois jusqu’à leur guérison totale ;
2. Les autres étudiants doivent être mis en quarantaine dans un pays très chaud car, selon les spécialistes, le risque de propagation au Sénégal est faible du fait que nous sommes un pays chaud.

Nous ne devons pas laisser plus longtemps nos étudiants, leurs parents et amis dans l’angoisse.

Je lance un appel à tous les pays africains sans exception, mais particulièrement ceux d’Afrique de l’Ouest. Dans le cas où il y aurait des ressortissants d’autres pays africains bloqués à Wuhan, nos pays pourraient mutualiser leurs efforts et organiser un rapatriement collectif dans le respect des mesures traditionnelles de précaution, notamment la quarantaine en pays chaud avant la rentrée à leur domicile.

Popularité, compétence, inspiration, bonne foi et morale, voilà tant de valeurs auxquelles   l’ancien maire de Saint- Louis Bamba DIEYE est apparemment allergique. Ce dernier, éternel loser en quête d’identité,  a profité des évènements de notre très cher quartier de Guet Ndar pour faire une sortie errante dont lui seul a le secret dans le seul but d’embraser une situation qui ,désormais, a connu une issue heureuse.

Je comprends tout à fait sa frustration,  au vu de son impopularité ascendante dans sa propre ville . Pour rappel les voix aux dernières élections de ce pseudo-leader se comptaient sur une seule main dans son propre bureau de vote. Le slogan « Jëf toxël na wax » semble être la plus pertinente réponse à ses propos irrationnels.       

 Mais enfin, je dirai qu’il est mal placé pour nous parler de mensonge lui dont la communauté Saint-Louisienne ne cesse de récolter les fruits de sa gestion calamiteuse de la si belle et précieuse cité de Maam Coumba Bang. Rappelons que le seul mérite qu’il a, c’est de faciliter l’implantation des stations d’essence étrangères dans l’espace communal et dans des conditions que nous connaissons tous, durant son magistère.  Les quelques palmiers plantés et les bus amortis ne manqueront sûrement pas aux domou ndars en particulier à nos frères guet ndariens.  Ses concitoyens n’oublieront jamais le fait d’avoir fragilisé la jadis fructueuse coopération entre la ville de Saint-Louis et l’île de Tenerife (Espagne) obtenue par Feu Ousmane Masseck NDIAYE, ancien maire.

Je ne reviendrai pas sur le bilan du Président Macky Sall que notre camarade Babacar Gaye a si bien étalé. Il est loin d’être un transhumant. M. Gaye est resté fidèle dans son compagnonnage avec le Président SALL et la famille républicaine.

Je crois qu’il serait préférable pour Bamba Diéye champion incontesté des palabres oiseux de se rendre utile au lieu de mettre de l’huile dans le feu. Il est un véritable pompier pyromane. Notre cher et tendre Saint-Louis, réputée pour sa stabilité, n’a pas besoin de gens comme lui qui, armés que de dédain et d’orgueil, cautionnent la violence et ne voient pas plus loin que le bout du nez.

Triste DIEYE pour ne pas dire « Bamba » , ses intentions et sa bassesse ne rendraient sûrement pas fier son illustre homonyme qui n’a cessé de défendre les valeurs de paix, stabilité et  de non-violence.

Papa Ibrahima Faye

Responsable APR Saint- Louis – membre du SEL

Après Kédougou, Thiés, autant de localités à fort potentiel en ressources minières, la caravane de l ‘Itie a fait escale à Saint_Louis  » qui a beaucoup de perspectives  » d’ après Eva Marie Colle Seck. La présidente de l’Itie qui a constaté de plus en plus de transparence dans les industries extractives d’annoncer les premiers éléments d’exploitation du pétrole et du gaz à l’horizon 2022 à Saint_Louis. » Nous avons eu l’honneur de recevoir aujourd’hui, aussi, le comité national mauritanien. Parce qu’il y a un travail commun qui va se faire entre le Sénégal et la Mauritanie en matière de pétrole et de gaz. Dans la foulée, a glané le site de référence www.miroironeline.com, la présidente de l’Itie n’a pas manqué d’expliquer que  » 99,9% de tout ce qui se fait dans ce domaine_là et nous avons pu recenser 122,2 miliards de Fca qui ont pu être versés par les industries extractives. Et, cela a permis une contribution au budget du Sénégal de plus de 4% « . » Ce que nous avons pu remarquer, au Sénégal, il y a eu à peu près 999 milliards de Fcfa qui ont pu être résorbés par les services qui ont pu être apportés par des entreprises autour de l’extraction  » a_t_elle certifié. Faisant toujours face à la presse, à l’issue du comité régional organisé pour l’occasion, Eva Marie Colle Seck a laissé entendre que  » le contenu local doit permettre aux localités où il y a des industries extractives, de faire en sorte que ce qui est dit dans la constitution : les ressources reviennent au peuple soit une réalité. Notre rôle, au niveau de l’Itie, c’est la transparence, c’est de faire passer les informations, c’est de pouvoir dire, au niveau de toute la chaîne de valeur, comment les choses se passent, permettre un débat public fécond et, aussi permettre aux populations de pouvoir vivre de ce que nous pouvons exploiter de notre pays. Nous préfèrons que les populations soient moins stressées, aient la bonne information, nous allons dialoguer avec elles pour qu’il y ait une bonne compréhension. Le président Macky Sall a choisi la transparence en prenant l’option d’adhérer à l’Itie  » a précisé la présidente de l’ Itie.

Trouver une solution définitive au lancinant problème de la pêche entre le Sénégal et la Mauritanie, c’est le souhait le plus ardent  » des sociétés civiles  » des deux pays. Selon certains de leurs responsables présents à Saint_Louis, à l’occasion d’une invitation de l’Itie, vu le contexte, les deux États ont obligation de trouver un compromis pour toutes les questions relatives à la pêche. A l’instar des accords que les autorités des deux pays ont paraphés au sujet du gaz et du pétrole.

A Saint_Louis, la chasse aux sorcières a démarré huit jours après le mardi noir qui a été marqué par des affrontements entre les forces de l’ordre et les pêcheurs de Guet_Ndar et de la Langue de barbarie. Les sieurs Yamm Diéye et Macoumba Dièye sont retenus, depuis ce mercredi matin. Leur seul tort, c’est d’avoir répondu à l’appel d’un commissaire de la police centrale. Selon nos sources, deux autres responsables de pêcheurs, en l’occurrence Moustapha Dieng et Oumar Ndiaye ont été, aussi, appelés. Toutefois, ces derniers n’ont jugé opportun de faire le déplacement d’ autant qu’il ne s’est agi qu’un appel téléphonique. D’ailleurs, nous a_t_on renseigné, dans la foulée, le président de l’Urpas Macoumba Diéye, l’un des deux responsables de pêcheurs arrêtés n’était pas appelé par les limiers. C’est juste par pure solidarité à son camarade d’infortune Yamm Dièye qu’il s’est retrouvé alpagué. Il convient de noter qu’aux lendemains de ce fameux mardi noir, trente trois jeunes, mis aux arrêts pendant les échauffourées entre les manifestants et les forces de l’ordre, ont été condamnés à la maison d’arrêt et de correction de la rue Adamson, sise au quartier Nord de l’île de Ndar. Aujourd’hui, bon nombre D’observateursavertis s’interrogent sur la pertinence de telles arrestations d’autant que les choses sont entrain de revenir à la normale. Au niveau de la Langue de barbarie, le calme est de retour avec la distribution des licences de pêche mauritaniennes tandis que les forces de l’ordre se retirent progressivement.

Sous la tutelle du Ministère de l’Agriculture et de l’Equipement Rural (MAER), le Projet de Développement Inclusif et Durable de l’Agribusiness au Sénégal (PDIDAS) contribue à l’atteinte des objectifs du Programme d’Accélération de la Cadence de l’Agriculture Sénégalaise (PRACAS), volet agricole du Plan Sénégal Emergent (PSE). Il cherche à favoriser l’investissement privé dans les chaînes de valeur horticoles à fort potentiel de valeur ajoutée, de compétitivité, de création d’emplois et de stimulation des exportations agricoles.
Dans cette perspective, l’Etat du Sénégal, appuyé la Banque Mondiale et le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) a consenti au Projet un financement d’un montant de 43 milliards de francs CFA.
Depuis son démarrage, le PDIDAS, avec ses Agences d’Exécution (APIX, SAED et ASERGMV) et l’appui de la Firme de Facilitation des Investissements (FFI), a cherché à atteindre ses objectifs, en mettant en place un modèle d’attribution des terres qui sécurise aussi bien les petites exploitations familiales que les investissements privés au niveau des neuf communes cibles dans les régions de :
– Saint-Louis : Département de Dagana (les communes de Ngnith, Diama, Ronkh, Mbane) et Département de Saint-Louis (les communes de Fass Ngom, Ndiébène Gandiol, Gandon).
– Louga : Département de Louga (les Communes de Keur Momar Sarr et Syer).

En présence du Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement Rural, des acteurs impliqués dans l’exécution du Projet, l’Unité de Coordination du Projet (UCP) ont présenté quelques-unes des réalisations du PDIDAS lors de cette mission. Il s’agit principalement des travaux d’irrigation effectués autour du Ngalam et des Trois Marigots, de la mise en place des bureaux fonciers et des aménagements hydro-agricoles de l’Opération Pilote de Ngnith.
Cette visite du MAER qui a eu lieu le mercredi 5 février 2020 dernier, dans les communes de Gandon, Diama et Ngnith a été également l’occasion de faire le point sur l’état d’avancement du projet et d’apprécier ensemble le niveau de mise en œuvre des activités du PDIDAS.
La tournée a fait également l’objet de visite de terrain des aménagements hydro-agricoles de Ndialakhar et de Ndiol dans la commune de Gandon puis du Bureau Foncier de Diama et de l’Opération Pilote de Ngnith.
Sur le volet foncier, neuf (9) Bureaux Fonciers dont celui de Diama qui a été visité ont été construits et équipés dans les 9 communes d’intervention. Ce modèle d’infrastructure et de service de gouvernance foncière est typique dans la sous-région et il est dédié au pilotage des activités des ressources foncières de la collectivité territoriale.
Grâce à son effectivité et avec une grande campagne de sécurisation foncière, 13 413 parcelles à usage agricole couvrant une superficie de 48 143 ha ont été régularisées dans les zones d’intervention du PDIDAS.
Ces résultats portant aujourd’hui les superficies sécurisées à 67 467 ha, ont permis au PDIDAS de contribuer à hauteur de 34% à l’objectif de Mise à disposition Accélérée du Foncier du Plan Sénégal Emergent II, fixé à 200 000 ha à l’horizon 2024.
Cette vision qui, s’inscrit dans la dynamique d’un développement local durable du terroir contribue fort heureusement, à l’atteinte des objectifs du Programme d’Accélération de la Cadence de l’Agriculture Sénégalaise (PRACAS), volet agricole du Plan Sénégal Emergent (PSE).
Sur ce registre, le PDIDAS, à travers son Agence d’exécution l’APIX SA, a facilité déjà la signature de trois accords-cadres entre Investisseurs, Communes et Communautés avec une prévision de 1600 emplois et un volume d’investissements de plus de 6 milliards FCFA dans la seule zone de Ngnith. Il faut aussi noter qu’un deuxième Dossier d’Appel à Projet est prévu dans les prochaines semaines toujours dans le cadre de la promotion de l’investissement privé.
Sur le volet irrigation, le PDIDAS a déjà injecté 7 milliards de francs CFA dans des travaux d’aménagements hydro-agricoles dont le curage, le faucardage et la construction d’ouvrages de franchissement et régulation. La demande en infrastructures d’irrigation étant encore très forte dans la vallée du fleuve Sénégal, la valorisation du potentiel en eau est sans conteste une réponse pertinente aux difficultés liées à l’accès et à l’exploitation de la terre. En outre, elle va générer de réelles opportunités d’investissements dans les chaines de valeur agricole par les acteurs du secteur privé.
Ces travaux exécutés avant les délais d’expiration permettront également d’assurer l’irrigation des offres foncières sur 3 400 ha avec une pérennisation du service de l’eau pour un potentiel de 9 300 ha dans cette zone.
Il a été également procédé lors de cette visite, d’une remise de financements parmi les 11 sous projets déjà financés à de petits producteurs (avec 63% de femmes) à hauteur 508 millions dans le cadre du programme de Fonds à Frais Partagés du PDIDAS.
La cérémonie a été clôturée par une remise d’outils de gestion foncière tels que des Plans d’Occupation et d’Affectation des Sols (POAS) aux maires des communes cibles du Projet, des Accords-cadres et cahiers de charges signés entre les populations, les investisseurs et la Commune de Ngnith ainsi qu’à des titres d’affectation dans le cadre de l’activité de régularisation foncière du Projet.
Avec près de 15 milliards de francs CFA injectés uniquement dans la région de Saint Louis, le PDIDAS constitue aujourd’hui un levier important du développement économique de la région a glané le site de référence www.miroironeline.com .

L’histoire de cette dame, agent dans l’agence Senelec de Saint_Louis interpelle au plus haut point. Depuis la survenue des malheureux évènements de mardi dernier, la dame est réveillée, la nuit, par les images terribles du saccage de son lieu de travail. La violence des attaques, le crépitement des pierres et cailloux au contact des vitres, la clameur de la foule emportée par sa folie passagère bourdonnent, aujourd’hui encore, dans ses oreilles, tel un essaim d’abeilles. Et l’on présume que le traumatisme de cette dame est loin d’être un cas isolé. C’est dire qu’à l’agence Senelec de Saint_Louis, c’ est toujours la psychose et les agents continuent de subir les contre_coups de l’onde de choc. Le traumatisme est perceptible à chaque coin de la boîte et les stigmates encore visibles. C’est dans ce contexte que le syndicat_maison a dépêché une mission en vue d’apporter un réconfort moral aux agents de la capitale du Nord. En attendant, peut_être, l’arrivée de psychiatres et autres psychologues ?

Remous au sein de la section communale de l’Apr, à Saint_Louis. Les responsables des partis alliés et autres transhumants sont très remontés contre la direction du parti à Saint_Louis croit savoir le site de référence www.miroironeline.com. Ces derniers dénoncent l’ostracisme dont ils disent être victimes dans leur nouveau parti où ils n’ont aucune responsabilité. Ces néo_apéristes ne comprennent pas pourquoi, après avoir déposé leur baluchon au parti du président Macky Sall, ils sont relégués au second plan, réduits au simple rang de faire-valoir. A les en croire, la frustration qu’ils vivent les oblige a, presque, regretté leur choix de rallier les rangs de l’Apr. Aujourd’hui,, selon certaines indiscrètions, l’idée d’élargir la base affective du Pr Mary Teuw Niane ou de rejoindre le clan Abc leur taraude l’esprit.  » Le Pr Mary Niane comme Me Alioune Badara Cissé étant, toujours dans l’attelage de l’Apr, ce serait juste une bouderie sans frais d’autant que nous allons rester à l’Apr. Tout juste, nous souhaitons être respectés  » ont réclamé nos interlocuteurs. Selon nos sources, la situation à l’Apr Saint_Louis est tendue au point que le secrètariat éxècutif de la convergence des cadres républicains a été reportée sine die. Les responsables apéristes ont argué le rappel à Dieu du guide religieux de la famille de Chérif Adramé pour diffèrer la rencontre  » en vue laisser passer l’orage « .

 » C’est parce qu’on a fait état de nos sentiments, la veille, dans notre groupe wattshapp. Ils mettent tout en œuvre pour nous attirer à l’Apr pour nous traiter, ensuite, comme des, chiffons, des moins que rien. Nous ne sommes même pas invités lors des réunions. C’est de l’arrogance caractèrisée  » ont_ils, signalé, sans prendre de gants. Certains apéristes de la première ne sont guère mieux lotis. Interrogés, ils dénoncent l’injustice dont ils sont sujets ainsi que leur mise à écart à l’occasion des événements d’envergure concernant le parti. La goutte d’eau qui a fait débordé le vase, c’est la finale de la coupe du maire, organisée, avec faste, ce week_end. Une short_list, dont les heureux choisis ont été triés sur le volet, ont eu l’honneur de recevoir leur sms d’invitation. Et, à en croire ces apéristes,  » les arrivistes et les retraités font, désormais la pluie et le beau temps aux côtés du responsable Mansour Faye. Ils bénéficient des postes à pourvoir sans compter les privilèges liés à leur proximité avec la seule constante de l’Apr Saint_Louis  » ont_ils tonné, amers. Avant de marteler :  » si la situation a atteint un tel niveau de pourissement, c’est que le ministre_maire Mansour Faye a, toujours, brillé par ses erreurs de casting. C’est à croire qu’il est  » aveuglé  » par des forces obscures  » se sont_ils demandés.

A Guet_Ndar et environs, les pêcheurs peuvent, désormais, afficher la mine heureuse. Les licences de pêche sont, enfin, en vigueur. Ces licences, validées tous les trois mois, sont déclinées en dix points. Et ces  » dix commandements  » ont été, clairement, expliqué aux professionnels de la pêche. Ce, dans l’optique d’éviter les sempiternelles course_poursuites, en haute mer, entre garde_côtes mauritaniens et pêcheurs de Guet_Ndar. De même, cette trouvaille, déclinée en dix points dans le protocole, devrait, en principe, reléguée aux oubliettes, la troublante question des amendes.

Résilience des jeunes à la violence et la criminalité au Sénégal et au Burkina Faso, c’est autour de ce thème d’une redoutable actualité que des Chercheurs de l’université Gaston Berger et autres experts, réunis au sein du laboratoire Cerrad, réflèchissent, depuis de longs mois. Il est surtout question de ne pas se limiter au simple constat, mais bien de s’intéresser au cas des jeunes qui n’ont jamais été sujets à ce type d’attitude.