Mois : juin 2020

Abdoulaye FAYE coordinateur de la FENAB/ZONE Nord, technicien agricole à l’ASESCAW. Ross Béthio Email : sudgks@yahoo.fr

Depuis la sortie de Monsieur Ousseynou Ndiaye président de la filière riz sur les attaques aviaires avec l’utilisation du fenthion qui est légitime, les partenaires environnementalistes s’opposent à l’utilisation de ce produit qui est hautement toxique pour l’homme les animaux, les insectes et laissent des résidus dans longtemps dans les zones traitées.. Il faut comprendre les producteurs rizicoles qui voient les productions menacées. Face à cette situation, le paysan est impuissant. Il juge que tout est bon pour sauver sa production.
Alors il est possible de s’adapter à cette nouvelle technologie utilisée ailleurs en agriculture moderne. Elle peut-être une alternative pour lutter efficacement contre ces attaques aviaires qui anéantissent la production rizicole. Les drones sont largement utilisés dans le secteur agricole. Ils font presque tout pour les agriculteurs. C’est un outil capable de créer des emplois, il suffit de former des jeunes informaticiens et les orienter vers les OPs, Unions hydrauliques,et les grandes organisations de producteurs l’ASESCAW ,la FPA, l’UJAK etc. Mieux les DRDR via la DPV peuvent-être dotées de ces appareils afin de s’adapter au contexte actuel des nouvelles technologies.

Les deux avions dont disposent le Sénégal pour lutter contre des phénomènes naturels comme l’invasion des oiseaux granivores étant en panne, les autorités nationales s’en remettent à l’expertise mauritanienne pour faire face à la présente pression aviaire qui secoue le monde agricole du Nord. Le directeur régional du développement rural qui fait cette révélation, soutient que c’est la survenue du Coronavirus qui a cloué, au sol, l’aéronef mauritanien qui devrait, dans les prochains jours, s’attaquer aux dortoirs qui essaient le long de la frontière entre les deux pays frères a glané le site de référence www.miroironeline.com.l

Principales oubliées de l’aide alimentaire d’urgence à Saint-Louis, elles sont plus de 200 femmes d’émigrés de la Langue de Barbarie à se morfondre en attendant des lendemains enchanteurs. Les rigueurs de la vie, au quotidien, sont passées par là. Le commun des sénégalais les croit à l’abri du besoin et des contingences sociales du moment. Mais, par ces temps où le Covid_19 continue son petit bonhomme de chemin, ici et ailleurs, les femmes d’émigrés ont du mal à joindre les deux bouts. Au surplus, c’est la croix et la bannière, pour ces responsables de famille, d’entrevoir le bout du tunnel, par ces temps qui courent, a glané le site de référence www.miroironeline.com. Ayant un standing et un niveau de vie à sauvegarder, elles souffrent en silence, en essayant de colmater les brèches, à chaque fois que la situation l’impose. Et, puisqu’on les place dans la caste, trés sélective, des citoyens privilégiés et, socialement et économiquement  » bien assis « elles sont, bien souvent oubliées  » à l’occasion d’actions à utilité sociale. Ignorées lors de la dernière distribution de l’aide alimentaire d’urgence organisée à Saint-Louis, ces bonnes dames se rappellent aux bons souvenirs des autorités compétentes.