Mois : juillet 2020
Tabaski 2020 : La Famille Abass Sall de Saint Louis Salue la Célèbration à l’Unisson et Invite les Gouvernants à Être à l’Ecoute des Populations
L’imam de la famille Abass de Saint_Louis s’est félicité de la célèbration, à l’unisson, de la fête de l’Aid El Kébir. Le guide religieux qui s’exprimait après avoir dirigé la prière à la mosquée sise au quartier Corniche, a invité les gouvernants à être plus à l’écoute des populations en s’évertuant à être accessibles. Ainsi, pense le guide religieux, leurs tâches n’en seront que plus faciles à gérer.
Tabaski 2020 : L’Imam Rathib de Saint Louis Invite les Fils de la Localité à Participer à sa Reconstruction
En marge de la prière de la Tabaski qu’il a dirigée à la grande mosquée du Nord, l’imam rathib de Saint_Louis n’a pas été bavard au sujet de l’arrêt des travaux de ce lieu de culte. Interrogé, lors de son face à face avec la presse, Serigne Cheikh Diallo a partagé son espoir de voir, un jour, le projet aboutir. Tout juste a_t_il espéré que le chef de l’État Macky Sall, qui a promis de restaurer la grande mosquée, donne un coup de fouet à ce dossier qui piétine a glané le site de référence www.miroironeline.com.
Réhabilitation de la Grande Mosquée de Saint Louis : L’Imam Rathib s’En Remet au Bon Vouloir de Macky Sall
A Saint_Louis, l’imam rathib a plaidé pour un retour des fils de la vieille ville en vue de participer à sa reconstruction, a glané le site de référence www.miroironeline.com. A l’occasion de son sermon, après avoir dirigé la prière de Aid El Kébir, à la grande mosquée du Nord, Serigne Cheikh Diallo a précisé que la cité tricentenaire a besoin de l’apport de tous ses fils pour reprendre des couleurs et, ainsi, redorer son blason. Le guide religieux qui s’est dit fondé à croire que personne autre que les saint_louisiens ne viendra travailler à l’émergence socio_économique de Saint_Louis, a rappelé qu’aimer sa cité, c’est l’aider à s’inscrire, durablement, sur la voie du développement.
Réhabilitation de la Grande Mosquée de Saint_Louis : Pourquoi les Travaux sont à l’Arrêt
Dans la cité tricentenaire de Saint_Louis, le retard noté au niveau des travaux de réhabilitation de la grande mosquée du Nord fait toujours parler. Sur place, le sujet est restée d’une brûlante actualité. Au surplus, depuis le lancement officiel des travaux, par le président Macky Sall, il y a quelques années, déjà, la question ne cesse de soulever des vagues dans la ville de Mame Coumba Bang. Mieux, le sujet refait surface, avec plus d’ampleur, à chaque veille de korité et de Tabaski. L’édition 2020 de la fête de l’Aid El Kébir ne fait point exception à la règle. Aujourd’hui, nombreux sont les observateurs, usagers et autres populations de la vielle ville qui se posent des questions sur l’arrêt des travaux. Selon nos sources, l’achèvement de ce projet bute sur la prise en charge des travaux supplémentaires provenant du changement de programme des travaux. Étant entendu que, le projet inital de réhabilitation de la dite mosquée est, finalement, passé à un projet intégralement neuf. Une nouvelle donne qui est venue bouleverser tous les plans, notamment ceux de l’entreprise en charge des travaux a glané le site de référence www.miroironeline.com. Surtout du fait de sa soudaineté et son imprèparation. La grande mosquée de Saint_Louis est un monument historique, classé et sa gestion relève du domaine public.Et le projet initial de réhabilitation s’est, préalablement, fondé sur le maintien de la structure du bâtiment existant. Or, après les sondages et études structurales, le bureau de contrôle technique a recommandé la démolition intègrale de l’ouvrage. D’autant que le bureau d’architecture et de la conservation a les coudées franches, pour procèder au contrôle technique et aux études géotechniques des travaux. La gestion du projet repose sur le principe de l’évaluation contradictoire par la mise en présence des parties, en cas de divergences ou de conflits.Seulement, jusqu’à présent, cette difficulté de taille subsiste et persiste entre le bureau d’architecture et de la conservation et l’entreprise en charge des travaux de restauration. Ce, suite au changement de programme de construction qui a entraîné le chamboulement dans l’économie du marché. Outre ces aspects techniques et leurs effets collatéraux qui plombent la poursuite des travaux de la grande mosquée de Saint_Louis, s’ajoute le retard dans le décaissement des fonds destinés aux travaux. A titre d’exemple, le dernier paiement date du mois de Mai 2019 pour une facture certifiée en Mai 2018. Depuis lors, poursuivent nos informateurs, aucun epaiement n’a été enregistré, en dépit de l’état d’avancement » satisfaisant » des travaux. Et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Les démarches entreprises par les plénipotentiaires de l’entreprise en charge des travaux, pour aplanir les difficultés, sont restées vaines. Au niveau local, dans la capitale du Nord, comme dans les arcanes du Palais de la République, avec l’entourage du chef de l’État, les sollicitations pressantes des responsables de l’entreprise sont restées des lettres mortes parce que n’ayant rencontré aucune oreille attentive. Autrement dit, l’impression qui se dégage, avec des forces tapies dans l’ombre qui font tout pour saper la dynamique positive de réhabilitation de la grande mosquée de Saint_Louis, rappelle, à bien des égards, le modus operandi usité pour » enterrer » les projets déjà ficelés ou financés qui n’aboutissent jamais. Comme la mosquée et le dara moderne de Guet_Ndar, la place Faidherbe, le tribunal sis à la descente du pont Faidherbe, dans le faubourg de Sor, la Maison de Lille, l’Agropole de Mpal et la liste est loin d’être exhaustive.
Tabaski 2020 : Le Prix des Béliers Flambe à Saint Louis
A Saint_Louis, difficile de trouver un bélier pour les chefs de famille en cette veille de Tabaski. Le prix du mouton connait une hausse vertigineuse au grand dam des populations qui ne savent plus avec quel berger marchander. Sur place, les prix oscillent entre 120 et 400 mille Fcfa pour les moutons de qualité » acceptable « . Ce qui place certaines couches vulnérables, fortement impactées par le Coronavirus, dans une situation inconfortable a glané le site de référence www.miroironeline.com.
Avec le Départ du Pr Felwine Sarr au Pays de l’Oncle Sam : L’ Ugb Perd un Crack.
» Depuis quelques jours, je suis arrivé à Durham en Caroline du Nord. Je rejoins l’Université de Duke ou j’ai obtenu un poste de Distinguished Professor of Humanities dans le département de Romance Studies. J’y occupe la chaire Anne-Marie Bryan. C’est un département d’humanités dites writ large. J’y enseigne dès cet automne, la philosophie Africaine contemporaine et diasporique ; au printemps, je donnerai un cours intitulé, music history and politics dans lequel je me propose d’explorer les dynamiques politiques et sociales des nations africaines depuis les indépendances, à travers l’archive musicale, et un troisième cours sur le soin et la guérison dans le roman contemporain Africain « .
» Après 13 ans de bons et loyaux services à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, c’est une nouvelle aventure qui commence pour moi. J’élargis mon champ disciplinaire aux humanités et continue à construire une expérience à la croisée des sciences humaines et sociales. Je me déplace et change de lieu à partir duquel je fais l’expérience du monde. Les chantiers entrepris sur le Continent se poursuivront, notamment les Ateliers de la pensée et l’école doctorale des Ateliers qu’Achille et moi organisons. Je continuerai à donner mon cours d’épistémologie à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, que je ferai en ligne, et le travail d’encadrement des doctorants de l’UGB se poursuivra « . » Pour ce qui est de l’économie, mon intérêt se porte désormais dans l’élaboration des fondements d’une économie du vivant. Je participe à un programme de recherche ici à Duke dirigé par Jocelyn Olcott, qui a pour ambition de faire du care le paradigme fondamental de l’économie « .
» Le programme de recherche que je conduis à Duke et sur lequel je vais travailler ces prochaines années, s’intitule Ecologies of Knowledge. J’y repose la question de ce qu’est un savoir, j’y explore les épistémologies du non-logos, les savoirs inscrits dans les textes oraux, les arts, les corps, et toute la topographie du discours social. Il est important non seulement d’élargir la géographie des savoirs, mais pour les sociétés africaines de réinvestir des archives cognitives et des pratiques discursives à travers lesquelles elles ont transmis et enrichi un capital culturel dans le temps. Ma conviction est que ces archives réinvesties, enrichiront notre connaissance et sont fécondes pour les temps à venir. Mon terrain de recherche de prédilection sera l’Afrique de l’Ouest « .
« Je rejoins au département de Romance Studies, l’historien Laurent Dubois, le sémioticien argentin Walter Mignolo, Deborah Jenson, Esther Gabara, Ranji Khanna, Anne Gaelle Saliot, Richard Rosa et tant d’autres, qui m’ont chaleureusement accueilli. Valentin Yves Mudimbé a enseigné dans ce même département il y a quelques années. Aujourd’hui à la retraite, il vit toujours à Durham. Je me suis promis d’honorer une promesse de visite que je lui avais faite il y a quelques années, et de contribuer au bout du mat de son travail, aidé des archives du tout-monde, à l’œuvre de réinvention que nous nous sommes assignés « .
Auto Emploi : L’ Anpej Forme 120 Jeunes des Régions de Saint Louis et Matam
Le Directeur de L’Anpej a procédé à la remise de 120 d’attestations à certains jeunes des régions de Saint_Louis et Matam, dans la capitale du Nord, dans le cadre du projet de renforcement de l’auto_emploi des jeunes, fruit du partenariat avec l’Oim et la coopération espagnole, a glané le site de référence www.miroironeline.com.
Ainsi, ces 120 jeunes, dont certains seront financés, vont pouvoir, désormais, » volet de leurs propres ailes « . Sur les 200 mille jeunes qui arrivent, annuellement, sur le marché de emploi, le secteur public_privé ne parvient à en absorber que 30 à 35 mille selon le Dg de L’Anpej. En stimulant chez ces jeunes, l’esprit entrepreunarial, la tutelle leur permet d’appréhender l’avenir, assombri par tant d’appréhensions, avec l’espoir nécessaire d’entrevoir le bout du tunnel
UN COMMERÇANT SÉNÉGALAIS DU NOM DE DJIBRIL ALY DIALLO TUÉ PAR BALLE EN CÔTE D’IVOIRE…….
Un sénégalais du nom de Djibril Aly Diallo a été tué par balle dans sa boutique ce samedi 26 juillet 2020 à Guiglo en Côte d’Ivoire .
Plus connu sous le surnom de Demba, il a succombé à ses blessures lors de son évacuation à l’hôpital. Originaire de Thioubalel dans l’île amorphile,dans le département de Podor.
Djibril Aly Diallo est agé de 45 ans et était marié et père de deux enfants, une fille et un petit garçon.
La victime de nationalité sénégalaise a malheureusement été enterré ce dimanche 26 juillet à Guiglo en Côte d’Ivoire sans autopsie.
Il a fait 10 ans en Côte d’Ivoire où il gérait une boutique.
BAYE DIAGNE
Pour le Bien être des Jeunes Filles mère en Milieu Rural Marie Stopes Forme ses Relais
Dans le cadre du projet » La Famille Idéale « , l’Ong Marie_Stopes forme10 relais de Linguère et 10 autres qui viennent de Richard_Toll a glané le site de référence www’miroironeline.com. L’idée, c’est de les renforcer pour mieux prendre en charge les préoccupations des jeunes filles, âgées entre 15 et 19 ans, qui vit en milieu rural et qui a un enfant au moins.