Mois : novembre 2020

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60 éme anniversaire de l’accession de la République Islamique de Mauritanie, ce 28 Novembre 2020. Une fête de l’indépendance au goût amer pour les réfugiés négro_mauritaniens, installés au Sénégal, depuis 1989. Le souvenir de l’exécution de 28 soldats négro_mauritaniens le 28 Novembre 2010 a Inal est encore vivace dans les esprits. Ainsi, pour la mémoire de ces soldats, assassinés par le régime d’Ould Taya, les négro_mauritaniens du Sénégal vont observer, cette année encore, le recueillement pour dire plus jamais ça ! Pour les réfugiés, la seule chose qui vaille reste l’amélioration de leurs conditions de vie actuelles. négro_mauritaniens installés au Sénégal, Aujourd’hui, ces populations qui squattent le long de la Vallée du fleuve_Sénégal, réclament leur retour au bercail et le réglement du passif humanitaire, a glané le site de référence www.miroironeline.com.

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L’international sénégalais, El Hadji Dioufréagit suite au décès de Diego Maradona. Selon lui, c’est un monument du football mondial qui s’est effondré.

« C’est le prophète du football qui est parti », a déclaré l’ancien joueur de Liverpool qui dit avoir eu de bons rapports avec le défunt. « Il m’estimait beaucoup. Quand il m’a vu jouer, je ne sais pas comment il a eu mon numéro de téléphone mais, il m’a contacté pour me féliciter et m’encourager. Si je fais partie des 100 meilleurs joueurs du siècle c’est grâce à lui. Il s’est battu pour cela alors qu’il n’est pas un africain. C’est parce qu’il savait reconnaître et apprécier le talent de l’autre », a expliqué El Hadji Diouf.

Avant d’ajouter : « aujourd’hui, c’est le monde entier qui a perdu. Il procurait du bonheur à tout le monde. Il incarnait le respect. En plus, il était un vrai patriote ».

Deuil national de trois jours en Argentine. Stupeur et émotion à travers le monde. Diego Maradona, partout idôlatré, a rendu l’âme. Tout grand dribbleur qu’il était, Diego Armando Maradona n’a pu, cette fois_çi, échapper à la grande faucheuse, a glané le site de référence www.miroironeline.com.  » Le Pelé blanc « , ainsi qu’aimaient l’appeler certains admirateurs, était une légende du football argentin, une légende du football mondial. Diego Maradona est, ainsi, décédé, à l’âge de 60 ans, d’un arrêt cardio_respiratoire.

Diego Maradona, qui a rendu l’âme à Buenos Aires où il vivait depuis son opération, a réalisé son rêve d’enfant : remporter la coupe du monde en 1986, au Mexique. Avec l’Argentine, il sera décisif à dix reprises (cinq buts, cinq passes décisives) en sept rencontres. Mais c’est surtout son match contre l’Angleterre, en quarts de finale, qui forgera sa légende.
Dans ce duel rendu bouillant par l’affrontement des deux pays aux Malouines, le malicieux Peluso marquera d’abord de la main (geste qu’il a qualifié de « Main de Dieu ») avant de dribbler victorieusement toute l’équipe adverse. Ce but a été consacré comme le plus beau du XXe siècle. Diego Maradona a aussi été élu meilleur joueur de l’histoire des Coupes du monde par le Times, devant Pelé et Beckenbauer.

Une icône à Naples

Idole argentine, Diego Maradona l’est également à Naples, qui l’avait transféré pour un montant record à l’époque (7,5 millions de dollars). Accueilli par 75 000 personnes au San Paolo lors de l’été 1984, il va vite s’imposer comme l’un des meilleurs joueurs du monde. Entre 1987 et 1990, il est au sommet de son art. Il remporte le doublé Coupe-Championnat 1987, est sacré meilleur buteur de la Serie A 1988, gagne la Coupe de l’UEFA 1989 (avec une note de 10/10 de la Gazzetta en finale contre Stuttgart) puis encore un Scudetto en 1990.

Au Napoli, il trouvera plus d’amour qu’au Barça (1982-1984), où il a joué deux saisons et passé des moments contrastés : 38 buts en 58 matches et un titre de meilleur joueur de Liga, mais également onze mois sans compétition (hépatite, fracture d’une cheville, suspension). Il restera évidemment dans le coeur des fans du Séville FC (1992-1993), où il a été décisif vingt fois en trente matches de Liga et Copa del Rey. Mais c’est du côté de Boca Juniors et d’Argentinos Juniors qu’il faudra aussi se tourner pour revenir sur le génie qu’il était très (trop ?) tôt. Sous le maillot xeneize, il a explosé à l’âge de 21 ans en remportant le titre de champion. Une confirmation, déjà, pour celui qui avait été appelé en équipe d’Argentine à 16 ans seulement et avait débuté à 15 ans et 11 mois par un petit pont sur sa première action avec les pros d’Argentinos Juniors. Un club formateur qui l’a vu inscrire 115 buts en 166 rencontres. Tout cela lui a permis d’être sacré meilleur réalisateur du championnat argentin cinq fois de suite. Record inégalé.

Des frasques extra-sportives

Cette grande carrière a été jonchée de frasques sur les terrains et en dehors. Car, à l’inverse de l’autre idole argentine Lionel Messi, Diego Maradona était tout sauf « lisse ». En mars 1991, il a été contrôlé positif à la cocaïne après un match joué avec Naples contre Bari. Suspendu quinze mois, il est rentré en Argentine où il a écopé de 14 mois de prison avec sursis pour possession de drogue lors d’un contrôle de police quelques semaines plus tard. A 34 ans, il a encore été contrôlé positif, à plusieurs types d’éphédrine cette fois-ci, à l’occasion d’un Argentine-Nigeria du Mondial 1994.

Sa dépendance aux drogues a sûrement eu une influence sur son comportement violent au quotidien. Excédé par le marquage du Brésilien Batista, il lui a adressé un coup de pied dans le ventre et pris un rouge qui a tristement terminé son Mondial 1982.

Deux ans plus tard, avec le Barça, il déclenchera une bagarre générale suite à des gestes fous sur Sola et Goikoetxea. En fin de carrière, Maradona ne sera toujours pas calmé. Lassé par des journalistes en février 94, il les menace avec une carabine à air comprimé, ce qui lui vaudra deux ans de prison avec sursis.

Passée aux côtés d’hommes politiques sud-américains parfois controversés (Castro, Morales, Chavez…), sa retraite ne redorera pas son image. Poursuivi par le Fisc italien et les tests de paternité, il passera plus de temps en cure de désintoxication et d’amaigrissement ainsi que sur les plateaux de télévision qu’au bord des terrains où sa carrière d’entraîneur ne sera pas à la hauteur de celle du joueur (moins de deux cents matches au total avec notamment la sélection argentine, Al Wasl ou Gimnasia la Plata). Au revoir  » Dieguito  » !

Le doute est le sentiment le mieux partagé par les professionnels de la pêche de Guet_Ndar et ses environs, par ces temps qui courent. Les acteurs de la pêche de cette partie du pays émettent, en effet, de sérieuses réservés, suite aux résultats de tests réalisés, pour en avoir le coeur net sur l’infection de pêcheurs, notamment, ceux de Thiaroye sur mer, aux larges de nos côtes. A l’occasion d’un point de presse, organisé au quai de pêche de Guet_Ndar, et surtout animé par les usagers de filets dormants ou monofilament, directement incriminés par les résultats_, d’enquête, nos interlocuteurs n’ont pas manqué de se demander, si ces allégations sont plausibles, pourquoi les pêcheurs de Guet_Ndar, qui travaillent,au quotidien, avec cet outil, ne sont pas contaminés ? Soupçonnant un plan ourdi au sommet, avec une stratégie savamment orchestrée au niveau de la tutelle  » pour noyer le poisson dans l’eau « , ces hommes et femmes ont invité  » ces dénigreurs  » a baissé pavillon d’autant que leur deal est éventré. En fait, ont laissé entendre ces professionnels de la pêche, les filets dormants ont, toujours, été la préoccupation première des autorités qui ont tout tenté, il y a quelques années, pour les  » effacer  » du circuit, a glané le site de référence www.miroironeline.com. Sous ce rapport, ces acteurs de l’activité_pêche, qui ne souhaitent, surtout pas, être les dindons de la farce, ont plaidé, plutôt, pour qu’une attention toute particulière soit accordée à la pêche, à grande échelle et avec des moyens  » non contrôlés « , des armateurs étrangers qui mouillent dans les eaux sénégalaises. A les en croire, en s’attaquant, ainsi, à ce qu’ils croient être la racine du mal, les experts et autres autorités assermentées vont s’approcher de  » la vérité « .

L’ assemblée générale départementale de Saint-Louis pour la relance dès activités du Pds, dans la capitale du Nord, a été saisie, pour les émissaires de Me Abdoulaye Wade, pour clarifier la situation du parti dans cette partie du pays. A l’occasion de cette rencontre coordonnée par Mayoro Faye et présidée par le président Doudou Wade, représentant les Secrétaire général national, Me Abdoulaye Wade et le Président et candidat Karim Wade, les  » bleus  » de Saint_Louis ont donné l’impression d’avoir tourné  » la page Baraya « . Les militants venus des quatre coins du département de Saint_Louis et la forte délégation diligentée par les instances du Pds, nullement préoccupés par l’absence d’ Ameth Fall Baraya, ont surtout échangé autour de la relance des activités, de la vente des cartes et des préparatifs des futures joutes électorales, a glané le site de référence www.mirouroneline.com. Face à la presse, le chef de la délégation a clairement expliqué que, désormais, Mayoro Faye va prendre les rênes du Pds pour ratisser large autour des idéaux du Pds. Doudou Wade, de préciser, en substance, que c’est dans ce dessein qu’il faut comprendre la présence des membres de la délégation du Pds qui ont choisi de rehausser la rencontre initiée par Mayoro Faye. Il convient de rappeler, qu’au moment où les libéraux tenaient leur assemblée générale au siège du Pds, sis au quartier Hlm, à un jet de pierre de la mosquée mouride, Ameth Fall Baraya organisait, quant à lui, une rencontre dans son quartier général situé sur l’avenue Général De Gaulle, à quelques encablures du marché de Sor.
Au finish, les cinq communes du département de Saint_Louis que sont Ndiabene Gandiol, Mpal, Fass, Gandon et Saint-Louis ont décidé de reprendre le travail de terrain, autour du nouveau coordonnateur Mayoro Faye, afin de reconquérir l’ensemble du département pour le compte du Pds. Le tout, en préparant le retour triomphal de Karim Wade, candidat à la présidentielle de 2024.

Mame Latyr Fall Coordonnateur Régional du Forum Civil à Saint_Louis

Depuis des mois les habitants de Saint-Louis sont pris en otage par des travaux sur l île de Saint-Louis. Le bon sens étant la chose la mieux partagée, personne n a besoin d être expert pour reconnaître que ces travaux ont été programmés d une manière anarchique.
La circulation dans l île est devenue un vrai parcours du combattant, certains commerces sont devenus inaccessibles, la rentrée des classes risque de faire empirer la situation.
Si nous pouvons comprendre la nécessité de refaire les canalisations et certaines ruelles avec la forte poussée démographique une programmation rationnelle des travaux était nécessaire.
Notre émergence ne pourra se faire sans une administration performante qui respecte avant tout le citoyen contribuable « .