Mois : novembre 2020

Après l’échec de la première tentative d’installation de la coopérative de l’ arrachide irriguée dans la Vallée du fleuve_Sénégal, il y a quelques semaines, l’assemblée générale de dimanche dernier a été la bonne, a glané le site de référence www.miroironeline.com. Au finish, de l’avis de bon nombre d’observateurs, cette filière naissante a de beaux jours devant elle dans cette partie du pays. Surtout dans le contexte national marqué par l’objectif d’atteinte de l’autosuffisance alimentaire. Sur place, la culture du riz et d’autres spéculations comme la tomate, la patate douce, l’oignon, les produits horticoles et les autres sont, certes, bien implantés. Mais il n’en demeure pas moins que l’arachide a bien sa place sur les étendues de terre du Delta et la Vallée du fleuve_Sénégal. Toutefois, les promoteurs de l’arrachide irriguée souhaitent être accompagnés par le pouvoir central et les banques. Au surplus, nos interlocuteurs n’ont eu de cesse, à l’occasion de leur conclave de Ross_Béthio, de faire un focus sur le manque d’eau et les moyens.

Dans la vallée du fleuve_Sénégal, les riziculteurs réclament le déclenchement des fonds de calamités ainsi que les fonds covid pour leur permettre de sortir de la précarité du monent. A l’occasion de leur assemblée générale, ils ont fait état d’une perte sèche de 5 mille 139 hectares sur la présente saison agricole alors que le recensement des dégâts causés par les rats et les insectes_suceurs suit son cours, a glané le site de référence www.miroironeline.com. Ces agriculteurs se sont réunis à l’effet de discuter de la dernière sortie du ministre de l’agriculture qui n’a annoncé qu’une perte de 200 hectares.

Scandant des slogans hostiles aux pro_dipas, les employés, partenaires sociaux, bref les populations de Richard_Toll et du Walo. ont battu le pavé pour dire non à la délivrance des Dipas. Aujourd’hui, ces populations sénégalaises continuent de dénoncer les activités frauduleuses de bandits à col blanc, tapis dans les arcanes de l’administration. Autrement dit, les populations qui sont directement impactées par les effets induits des produits de la Css, invitent, ainsi, les autorités compétentes à régulariser le secteur en vue de préserver le tissu économique loca, a glané le site de référence www.miroironeline.com.

Dans la zone de Gnith, les producteurs de pastèque, en dépit de leur bonne volonté et un accompagnement poussé de partenaires comme la Saed, Syngenta, la Drdr, la Dpv, restent confrontés à certains goulots d’étranglement. Comme le manque d’eau et le déficit de matériel agricole, sans oublier l’épineuse question du foncier. Chemin faisant, ces producteurs de pastèque ont réclamé un appui plus conséquent des autorités compétentes Au surplus, ces cultivateurs qui continuent de lorgner les 26.500 hectares de terre octroyés à la firme britannique spécialisée dans l’agro_bussiness, West Africa Farm, ont sollicité l’arbitrage du chef de l’Etat, a glané le site de référence www.miroironeline.com.

Le débat est posé ! La constante est que malgré les risques et autres aléas de la traversée du Grand Bleu, les jeunes ambitionnent, toujours, vaille que vaille, de rallier  » l’Eldorado « , au péril de leur vie. Certes le désespoir est grand et les difficultés presqu’ insurmontables. Mais le jeu en vaut_il la chandelle ? Est_ce_que nos États aphones, qui brillent par leur incurie et incompétence face à un tel Phénomène, ont le droit de  » s’en laver les mains  » ? Quel est le rôle des parents dans  » l’irresponsabilité  » des jeunes, de leur progéniture ? Autant de questions qui méritent un diagnostic sans complaisance de la situation, dénué de toute influence de quelque bord que ce soit, en vue d’espérer circonscrire cette aventure macabre. Mais dans un pays où, du matin au soir, on parle, commente, discute sans déboucher sur du concret, sans chercher de solutions définitives, difficile de juguler un tel mal….de mer ! Ce qui nous amène à nous demander si le commun des sénégalais a bien perçu le message fort du  » ressuscité de Rfi  » qui n’a eu de cesse de nous rappeler, du temps de son régne à la tête du pays de la Téranga, qu’  » il faut travailler, encore travailler, toujours travailler « . Or, à travers la périlleuse aventure du  » Barça ou Barsakh  » les jeunes, d’ici et d’ailleurs, vont chercher du travail de l’autre côté de l’Atlantique, a glané le site de référence www.miroironeline.com. Comment faire pour que ces bras valides restent travailler au Sénégal, en Afrique ? Top chrono, le compte à rebours a démarré !

 » Nous sommes réunis aujourd’hui au Quai de pêche de Goxu Mbaxx pour alerter, tirer la sonnette d’alarme et sensibiliser sur l’hécatombe de la migration clandestine.
En effet, de plus en plus, ces temps-ci les pêcheurs découvrent des corps sans vie de jeunes qui périssent en mer.
L’Association des Pecheurs Artisanaux à la Ligne de Saint Louis communément appelé « Commission Galu Nghett » s’insurge face à cette situation dramatique. La pêche artisanale est condamnée à mourir si l’on ne fait rien.
Les pêcheurs souffrent !
La prolifération de bateaux de pêche Chinois et Européens qui nous font concurrence, la raréfaction du poisson, l’accaparement des aires de pêche dû à l’exploitation du gaz et du pétrole sont autant de facteurs qui font que les pêcheurs prennent les chemins de l’émigration clandestine.
Nous lançons un appel à l’Etat pour sauver la pêche artisanale, premier secteur pourvoyeur d’emploi et de devises ;
Nous exigeons l’arrêt des licences octroyées à ces bateaux Chinois, Européens qui ratissent nuit et jour nos côtes et l’audit du pavillon Sénégal.
A ces jeunes qui sont tentés de prendre les pirogues, nous les appelons à la retenue et à l’abandon de cette pratique dangereuse ;
L’Etat doit aider notre jeunesse à croire en elle-même, « Deuk thi deuk bi, Tekki thi deuk bi »
Nous sommes plus que jamais déterminer à lutter contre ce phénomène.
Des actions de sensibilisation auprès des acteurs de la pêche sont déjà enclenchées pour, qu’ensemble, nous puissions juguler ce phénomène, « Barça ou Barsakh ».
« A ces disparus, nous prions pour le repos de leurs âmes » « .