Mois : mai 2021

Après leurs camarades de Pikine-Guediawaye et du palais de justice Lat Dior de Dakar, les travailleurs de la justice de Saint-Louis ont marqué un arrêt de travail ce mardi 25 mai 2021. Et pour cause, ils n’ont pas toujours perçu leurs revenus complémentaires communément appelés fonds communs du premier trimestre de l’année 2021. Selon leur porte-parole, Me Tanor Diamé, cet état de fait a privé beaucoup de travailleurs de leurs salaires du mois d’avril. En effet, à l’en croire, le comité de gestion du fonds commun a accusé un retard de deux mois et des banques se sont faites rembourser les dettes échues sur les salaires des travailleurs. Ce faisant, ceux-ci ont passé un ramadan et une fête de korité sans argent. Cette situation est inacceptable clame_t_il. Par ailleurs, les travailleurs de la justice de Saint-Louis ont dénoncé la non organisation du concours des chefs de greffe depuis quinze ans. A la place d’un concours jugé plus démocratique, regrette le Sg chargé des relations extérieures de union nationale des travailleurs de la justice, le Ministère de la justice préfère nommer des chefs de greffe par intérim sur on ne sait quels critères objectifs. Sous ce rapport, les travailleurs d’ exiger l’organisation immédiate du concours des Administrateurs Des Greffes. D’ailleurs, fustige le greffier au tribunal de grande instance de Saint_Louis, sur toute l’étendue du territoire Sénégalais, il ne reste que sept Administrateurs des Greffes. Et ce corps, poursuit Me Diamé, tarde encore à prendre forme. Avant de vivement souhaiter la régularisation de la situation juridique des Administrateurs Des Greffes. De même que pour le plus grand nombre qui est à la retraite conclut_il à l’occasion de son face à face avec la presse.
A noter qu’aussi bien au Tribunal de grande instance qu’au Tribunal d’instance de Saint-Louis, toutes les audiences de mardi sont renvoyées en bloc. Une situation difficile pour les justiciables qui ont fait le déplacement pour se présenter au plus vieil palais du Sénégal ce matin. Selon le porte_parole du jour, cet engouement a fait réagir le représentant du bâtonnier Me Alioune Abatalib Guéye qui, s’indignant de l’état de précarité des travailleurs de la justice, a exigé de l’Etat la satisfaction de leurs revendications. L’avocat a par ailleurs profité de l’occasion pour solliciter du ministère de la justice, l’achèvement des travaux du nouveau Palais de justice de Saint-Louis qui est devenu une urgence.

 » Le lundi de la Pentecôte est célébré cette année dans les paroisses contrairement aux années précédentes. Les fidèles se rendent, d’habitude, au sanctuaire marial de Popenguine, A cause de la pandémie de la Covid-19, le modus operandi a changé. À la Paroisse Notre Dame de Lourdes de Saint_Louis, les fidèles ont organisé une procession du Foyer Don Bosco à la Paroisse en entonnant des chants. Juste avant une messe après un recueillement des fidèles au niveau de la grotte de la Vierge Marie. Sur le thème choisi cette année est « Avec Marie et Joseph, marchons sur le chemin de la sainteté et de la fraternité ». Une manière d’appeler tous les peuples à l’unité pour une paix durable.
Cette célébration a été également l’occasion pour exprimer leur souhait de voir leur église et le mur de leur cimetière être restaurés.
Des prières y ont été formulées pour que la pandémie de la Covid-19 devienne un mauvais souvenir au Sénégal et dans le monde. In fine, les fidèles, qui ont communié dans un bel ensemble la Vierge Marie, espèrent célébrer Marie à Popenguine l’année prochaine ‘ ».

Dans la Commune de Mbane, la marche vers l’émergence est en cours. Dans cette vaste commune rurale qui s’offre aux décideurs et autres partenaires comme un énorme cahier de doléances, toutes les initiatives de développement sont les bienvenues. Ainsi, l’inauguration d’un parc à bétail et d’un marché, au village de Niassanté, ainsi que le don de trois ambulances aux populations autochtones ont été accueillis comme un bol d’air.

Par opr.news

“Tous les sénégalais soucieux de transparence et du bon usage des deniers publics doivent être profondément outrés, abasourdis et choqués par l’annonce de l’acquisition d’un avion A320 NEO par Macky Sall.  

Il s’agit d’un énorme (et nouveau) scandale financier qui se succède aux précédents (Pétrotim, TER) et qui traduit l’irresponsabilité et l’inconscience d’un homme dont le magistère depuis 2012, rime avec gouvernance médiocre, corruption, et mauvais usage des deniers publics.

Au moment où l’économie sénégalaise est en chute libre, asphyxiée par les effets dévastateurs de la pandémie de la Covid-19, où l’immense majorité des sénégalais tirent le diable par la queue, et où Macky Sall himself quémande sous tous les cieux l’annulation de la dette, il se paye le luxe d’acquérir un joyau, dont le prix public « catalogue » (hors remise) est de 110 millions de dollars (il suffit de convertir le montant en F CFA pour avoir le vertige). 

Le montant est astronomique pour un pays du Sahel classé parmi les nations les plus pauvres du monde (même avec une remise sur le prix catalogue, le cout de ce bijou est faramineux).

Macky Sall est un président hors sol, qui n’a aucun sens des priorités ; un « président » insouciant, déconnecté des réalités, qui méconnait gravement les obligations liées à sa charge.

De fait, la gouvernance sobre et vertueuse tant vantée en 2021, s’est muée en « bamboula », pillage et achats de prestige.

Les citoyens sénégalais soucieux du bon usage des deniers publics, exigent, sans délai, la publication du contrat d’acquisition de l’avion A320 NEO.

L’assemblée nationale a t-elle été informée des termes de cette dépense qui assèche les finances publiques qui sont déjà très mal en point ?

L’urgence est ailleurs et visiblement l’incompétent Macky Sall qui entraîne le Sénégal dans les abysses l’ignore.

Quel irresponsable à la tête du Sénégal : il demande l’annulation de la dette et assèche les deniers publics pour son confort personnel !”

L’ escale de Saint_Louis, dans le cadre de la tournée nationale de partage sur le nouveau code de la presse, a été mise à profit, par le président de la commission de distribution de la carte nationale de presse, pour, encore, expliquer les tenants et aboutissants de cette nouvelle trouvaille. Ils ont été plus d’une trentaine de journalistes et reporters de Matam, Louga, Dagana et Saint_Louis à suivre, pendant trois jours, dans la cité tricentenaire de Mame Coumba Bang, l’atelier de partage des dispositions du Nouveau Code de la Presse. Le métier de journaliste se pratique, désormais, dans un nouvel environnement encadré par la loi N° 2017-27 du 13 Juillet 2017, portant Code de la Presse. en raison des nouvelles dispositions. Ce nouveau code est extrêmement précis et touffu avec 62 pages et 233 articles. Il recouvre la définition du statut des journalistes et techniciens travaillant dans les médias les droits et devoirs des journalistes, ainsi que les régles encadrant l’aspect économique des entreprises de presse. Dés lors, le partage des dispositions de la loi portant Code de la Presse, est devenu, pour la Convention des Reporters du Sénégal et son partenaire privilégié, la Fondation Friedrich_Ebert_Stiftung, le meilleur moyen d’éclairer les journalistes sur les enjeux. La demande devenant, de plus en plus, pressante sur un accés à l’information sur les dispositions du code, il devenait urgent de passer à l’acte. D’où l’idée d’organiser une série de sessions de formation de mise à niveau sur le code de la presse. Il convient de signaler que des représentants du Synpics, du Cored et de la commission de distribution de la carte de presse ont rehaussé de leur présence, ce rendez_vous du donner et du recevoir.

A l’ Université Gaston Berger de Saint_Louis, les étudiants ressortissants de Nioro qui dorment, désormais, à la belle étoile, interpellent leurs autorités locales. Ces étudiants peinent à payer la location du logement loué à côté de l’Ugb. Face à l’insouciance de leurs autorités locales qui se hâtent, lentement, avant de leur apporter l’appui nécessaire pouvant leur permettre d’ évacuer le stress tout en leur épargnant l’humiliation, ces étudiants de Ugb, ressortissants du département de Nioro, ont décidé de sonner le tocsin.

Dans la Commune de Ross_Béthio, une vieille doléance vient d’être satisfaite. En finançant l’achat de 100 cartes professionnelles aux artisans de la localité, Faly Seck enlève, en effet, une épine du pied des professionnels du secteur. Dans cette partie du Walo, seuls quelques privilégiés détenaient, jusque là, ce fameux sésame.

 » De prime abord, nous réitérons notre hommage mérité à notre défunt Maire. Qu’il plaise à Allah, le Sublime de lui accorder une bonne audience et lui renouveler sa Miséricorde. Qu’aucun humain, profitard ne puisse égratigner ses œuvres et ses bienfaits. Nos encouragements et notre soutien au Maire Madiop Diop, choisi par ses pairs pour continuer l’œuvre humaine de développement de notre commune. Dans ce contexte de pandémie du COVID-19, la relance des économies a fait récemment l’objet d’une conférence internationale à Paris. La participation de notre pays a été plus que symbolique car étant le premier pays porteur de l’initiative d’annulation ou de restructuration de la dette compte tenu de l’impact de la pandémie sur nos économies. Pour la première fois, depuis un quart de siècle, l’Afrique est entrée en récession de (-2,1%) avec un endettement de 1400 milliards de dollar. Le Président de la République a engagé un large plaidoyer pour la relance de nos économies fortement affectées par la COVID-19. Corrélativement à l’idée de la relance économique, la lancinante question de l’emploi des jeunes se pose avec acuité. Voila autant de raisons pour la cristallisation des énergies au niveau nationale et locale pour soutenir durablement nos populations. Parallèlement à ces grands défis, il semble évident de renforcer les dynamiques de l’économie locale afin de soutenir les politiques publiques initiées par Président de la République dans ses ambitions de faire émerger notre pays. Notre commune a elle seule porte et doit soutenir sur ses frêles épaules l’ambition de réaliser l’autosuffisance en riz du Sénégal, un axe majeure du Programme Sénégal émergent (PSE). Cette ambition doit être mobilisatrice et doit rassembler tous les acteurs. C’est le moment plus que jamais de nous approprier cette perspective de développement de notre agriculture. Le défi de téritorialisation des politiques publiques, si nécessaire à une démarche inclusive avec les acteurs, nous engage aussi à la correction des incohérences territoriales notées dans notre commune depuis très longtemps. C’est pour cela que nous nous sommes, d’une part, engagés avec les communes de DIAMA, de RONKH et de GNITH à une démarche d’inter-communalité (d’ailleurs une première rencontre à été organisée ce mois Mai 2021 à ronkh) et d’autre part dans les dispositions à mener le plaidoyer qui sied pour la corrections des incohérences territoriales qui minent notre développement. Devant ces défis de développement et de survie de notre communauté, nous avons consacré ce 22 mai 2021, le Cadre Unitaire des Forces Vives de la commune de Ross-Béthio (Cf. listes des signataires). Loin d’être une structure, ce cadre est une convergence de vue, une dynamique d’actions, un creuset de ressources orientées exclusivement vers le développement de la commune de Ross-Béthio. Il est un consensus politique local, en référence à notre tradition de dialogue et de respect mutuel, au delà des frictions partisanes, des désaccords politiques et des idéologies. Il réunit et fédère les ambitions et expériences d’une trentaine d’années de générations qui se sont gracieusement offertes aux impératifs de développement de leur localité. Ainsi, nous acteurs politiques de la commune de Ross-Béthio : Avons mis en place un cadre de réflexion sur l’assise foncière et les ajustements nécessaires afin de corriger les incohérences territoriales relatives à la délimitation de la commune ;Avons décidé de travailler autour d’un projet politique pour le développement de notre localité en phase avec les politiques publiques initiées par le Président de la République ;avons décidé de réitérer notre engagement à mettre en oeuvre des stratégies et politiques pour une bonne prise en charge de la question de l’emploi des jeunes ;manifestons notre ambition avec l’ensemble des acteurs économiques de notre terroir pour porter le plaidoyer de notre agriculture afin de la hisser au stade de la réalisation l’autosuffisance en riz telle que prônée par notre référentiel de développement économique ;appelons les autres mouvements et leaders aux antipodes de la dynamique unitaire des fils de la commune à la nécessité d’un rassemblement des forces vives de la localité en prenant en témoin les populations de notre commune ainsi que les autorités politiques de notre département en particulier et du pays, en général ;Forts des ressources humaines et potentialités de notre commune, nous réitérons la mobilisation de toutes les franges de notre population à savoir, les jeunes, les femmes, les opérateurs économiques, les artisans, le personnel médical, les enseignants, la diaspora, les hauts cadres de la fonction publique, comme du secteur privé. C’est dans ce sillage seulement que nous pouvons arborer les paisibles sentiers du développement de notre localité dans la paix et la concorde. Au delà de notre regroupement, il apparait que plus jamais nous ne laisserons notre commune être utilisé comme levier d’ascension politique pour certains politiciens opportunistes. Il est clair que cette dynamique est la preuve évidente de notre amour sans faille pour notre localité « .