Mois : mai 2021
Nouveau Code de la Presse au Sénégal : Les Reporters de l’ Axe Nord en Immersion pour une Parfaite Maîtrise
Ils sont plus d’une trentaine de journalistes et reporters de Matam, Louga, Dagana et Saint_Louis à suivre, pendant trois jours, dans la cité tricentenaire de Mame Coumba Bang, l’atelier de partage des dispositions du Nouveau Code de la Presse. Le métier de journaliste se pratique, désormais, dans un nouvel environnement encadré par la loi N° 2017-27 du 13 Juillet 2017, portant Code de la Presse. en raison des nouvelles dispositions. Ce nouveau code est extrêmement précis et touffu avec 62 pages et 233 articles. Il recouvre la définition du statut des journalistes et techniciens travaillant dans les médias les droits et devoirs des journalistes, ainsi que les régles encadrant l’aspect économique des entreprises de presse. Dés lors, le partage des dispositions de la loi portant Code de la Presse, est devenu, pour la Convention des Reporters du Sénégal et son partenaire privilégié, la Fondation Friedrich_Ebert_Stiftung, le meilleur moyen d’éclairer les journalistes sur les enjeux. La demande devenant, de plus en plus, pressante sur un accés à l’information sur les dispositions du code, il devenait urgent de passer à l’acte. D’où l’idée d’organiser une série de sessions de formation de mise à niveau sur le code de la presse. Il convient de signaler que des représentants du Synpics, du Cored et de la commission de distribution de la carte de presse rehaussent, de leur présence, ce conclave.
En Donnant aux Établissements Franco_arabes de la Région leurs Lettres de Noblesse : La Scofi Saint_Louis Montre la Voie à Suivre
La Scofi a mis à profit la cérémonie de remise de prix aux lauréats du concours de production d’écrits dans les établissements franco-arabes de la région de Saint-Louis,
organisée à Pikine Tableau_Walo, pour plaider la cause des établissements franco-arabes. Étant entendu que les établissements franco_arabes et les établissements classiques sont logés à la même enseigne, les
animatrices de la Scofi ont jugé opportun de donner leur chance aux apprenants de ces écoles. Qui plus est, ce sont des élèves qui brillent par leurs excellents résultats. Aujourd’hui, vu l’importance des établissements fraanco_arabes dans ce système, qui polarisent des enfants qui font partie de la communauté éducative, il a fallu changer de fusil d’épaule, relooker la stratégie en vue de les intégrer. L’occasion faisant le larron, la Scofi d’inviter les autorités compétentes d’emboucher la même trompette. D’autant qu’une telle trouvaille contribue à pousser les potaches à rester dans le créneau du franco_arabe quand bien même l’envie de jeter l’éponge pour rallier l’enseignement général leur prend une fois un diplôme supérieur décroché. Chemin faisant, le comité des femmes enseignantes qui s’occupent de l’éducation des filles dans la région de Saint_Louis, a procédé à une distribution de kits scolaires et hygiéniques aux filles vivant dans des situations de vulnérabilité. Ce faisant, le comité régional des enseignantes pour la promotion de la scolarisation des filles de Saint-Louis plus connue sous le nom de Scofi contribue à la protection des jeunes filles dans l’optique d’éviter la déperdition scolaire. Après un concours qui a été mis en œuvre par le comité régional de la Scofi qui a « osé ‘ commencer ce travail de détection de l’ excellence dans le franco_arabe, ces jeunes, venus des onze écoles élémentaires de la région, ont pu, ainsi, communier dans un bel ensemble. Pour rappel, la Scofi a pour mission d’accompagner le ministère pour la réalisation de ses projets et programmes dans le système éducatif.
Pour l’ Émergence Socio_éco’omique du Pays : Le GRDS Invite à une Introspection
L’idée nous est venue d’un leader, d’un homme charismatique, courageux et brave. Loin de nous, l’idée de faire une politique malsaine où les gens passent la majeure partie de leur temps à se rabaisser, à s’insulter, à se mettre des bâtons dans les roues.
Cette alliance n’a pas pour but de diviser, de disloquer ou de venger qui que ce soit. Nous nous sommes juste rendu compte qu’il est grand temps que le peuple se réveille pour penser au développement réel de ce pays avec des convictions véridiques.
Nous appelons toutes personnes, tous Sénégalais qui croient en ce pays. Tous Sénégalais qui rêvent de voir un jour notre pays devenir le plus beau aussi bien sur le plan économique, financier et social. Nous appelons les personnes qui croient fermement que le Sénégal peut devenir le meilleur sur le plan culturel…
Nous devons réfléchir ensemble sur les stratégies de développement pures dépourvues d’intérêts malsains et nous devons nous poser la question de savoir : Pourquoi-pas nous ? Les tramways ? Les grandes routes ? pourquoi-pas Nous ? Une agriculture florissante ? Pourquoi- pas nous? Un élevage développé? Pourquoi pas nous? Un enseignement de valeur? Pourquoi pas nous ? Un accès au soin ? Pourquoi pas nous ? etc, etc….
Qu’est ce qui nous empêche d’y croire ? Qu’est- ce qui nous empêche de croire en nos valeurs, de croire que nous sommes Sénégalais et fiers. Des wolofs, des pullars, des sérères, des diolas, des bambaras. Que nous sommes une culture ? Nos aïeux ont tellement prié pour ce pays, qu’attendons-nous pour être un bloc solide et penser comme un seul homme à rendre cette cité attrayante ? Qu’attendons- nous pour relever l’économie et quelles sont les raisons qui empêchent ce secteur d’émerger ? Quelles sont les secteurs qui peuvent apporter une forte croissance économique? Qu’est-ce qui peut attirer les investisseurs dans notre pays? Réfléchissons ensemble.
Ces stratégies de développement, nous souhaitons les mettre en valeur avec l’homme qui au fond de sa cellule ne pense qu’au Sénégal. Un homme d’une prouesse, d’une bravoure hors paire qui ne souhaite, qui ne rêve que de voir le pays tant aimé de son père Abdoulaye Wade devenir un Etat puissant.
Pour conclure, nous vous invitons à renaitre avec le Groupe de Réflexion pour le Développement du Sénégal pour construire le Sénégal de demain. Nous lançons un cri à tous les cadres, les experts, les fervents de tous les coins du monde à venir travailler avec nous.
Bref, tout se résume sur le Slogan de Maitre Wade, Il faut travailler, Encore travailler,
Toujours Travailler.
Situation en Palestine : Imam El Hadji Idrissa Mbengue de Gokhou Mbaxx Exprime sa Colère
» Dans la Langue de Barbarie à Goxu Mbathie Saint Louis trônent majestueusement l’Institut et la Mosquée AL AQSA dirigée par IMAM EL HADJI IDRISSA MBENGUE. Inauguré en 1987, par feu Monseigneur Hilarion Capucci Archevêque de Jérusalem et en présence de feu l’Ambassadeur de la Palestine au Sénégal Saïd Abassi, accompagné de feu son Excellence El Hadj Moustapha Cissé ; ce complexe magnifie l’intensité des relations existantes entre le peuple sénégalais et le peuple Palestinien. C’est en ce sens que nous adressons un message de solidarité et de compassion pour le peuple palestinien, en particulier ses enfants. Et un message d’espoir, de trouver une solution équitable et pacifique à la question de Palestine.
Ensemble à l’instar de toute la UMMA Islamique nous appelons à tout mettre en œuvre pour appliquer la résolution 181, adoptée il y a 74 ans. Nous réitérons notre ferme engagement aux côtés du peuple palestinien, dont ses fils et filles ont été emprisonnés dans le cadre de leur combat pour défendre leur histoire, leur patrie et leurs symboles sacrés.
Nous ne saurions restés indifférent face à cette situation explosive et regrettable à Jérusalem « .
Situation en Palestine : La Promotion 1970 -1973 de l’École Normale de Mbour se Déclare
« Expulsions de leurs habitations ou de leurs quartiers, arrestations arbitraires, destructions d’édifices, brimades en plein mois béni de Ramadan, profanation de lieux de culte ou restrictions quant à leur accès, tueries, assassinats ciblés.
Infernal concentré de la vie quotidienne des Palestiniens !
Visiblement, la politique de terreur forcenée instaurée depuis plus de sept décennies par l’État d’Israël en Palestine connaît ces derniers jours une escalade voulue par Israël. De réelles inquiétudes subsistent sur le sort du peuple martyr de Palestine, sur la paix dans cette région, voire dans le monde entier.
Face à ces événements d’une gravité extrême,
NOUS, Normaliennes et Normaliens de Mbour (Promotion 1970 – 1973)
Exprimons notre indignation la plus vive par rapport au sort injuste, cruel, dégradant fait aux palestiniens et exacerbé par la violence entretenue contre eux ;
Réprouvons avec véhémence les meurtres d’enfants et appelons toute la Communauté Éducative de notre pays (parents et enseignants) et même au-delà à les condamner sans appel,
Condamnons sans réserve la politique d’arrogance aveugle, de déni du moindre droit appliquée par l’État d’Israël à l’encontre des Palestiniens sur leur propre sol ;
Avec une fermeté égale, nous dénonçons toute connivence avec cette stratégie Israélienne de coups de force et de faits accomplis ;
Soutenons entièrement la lutte sans répit du peuple palestinien pour la reconnaissance d’un État libre cohabitant avec un État israélien tout aussi libre ;
Exigeons de réelles sanctions internationales contre cette politique, ses tenants et tous ses bénéficiaires : états, institutions, administrations, firmes, lobbies ou toutes autres entités.
Changements Climatiques : Le Coordonnateur National du Plan d’Adaptation Fait Escale a Saint Louis
» C’est lors de la Conférence de Cancun sur le climat, en 2010, que les États signataires de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) ont adopté le processus de Plans Nationaux d’Adaptation (PNA) pour renforcer la résilience des pays en développement sur le moyen et long terme.
Selon la décision 5 de la 17ème conférence des Parties sur les changements climatiques (5/CP.17), les objectifs du PNA sont :
• de réduire la vulnérabilité aux incidences des changements climatiques en renforçant la capacité d’adaptation et la résilience ;
• d’intégrer de manière cohérente l’adaptation aux changements climatique dans les politiques, les programmes et les travaux pertinents, nouveaux ou en cours, en particulier les processus et les stratégies de planification du développement, dans tous les secteurs concernés et à différents niveaux, selon qu’il convient.
En plus, dans l’Accord de Paris, adopté en 2015, la communauté internationale a demandé aux pays d’engager des processus PNA et a souligné son importance dans le cadre des efforts mondiaux de lutte contre les changements climatiques.
En effet, les changements climatiques ont des effets néfastes sur la plupart des secteurs de l’économie, en particulier l’agriculture, les ressources en eaux, l’utilisation des terres, les ressources côtières, la santé. En outre, les pays en développement font face de manière récurrente à des risques climatiques imputables à une augmentation des températures et la perturbation des régimes des précipitations.
Au Sénégal, de nombreux défis et obstacles ont été identifiés comme facteurs contribuant à renforcer la vulnérabilité du pays à savoir : le manque de coordination entre les structures chargées de la collecte de données, la faible intégration des questions de genre et changement climatique dans la planification sectorielle, locale et budgétisation, la faible coordination intersectorielle et décentralisée, la capacité limitée des acteurs locaux et du niveau national à attirer des financements dédiés à l’adaptation aux changements climatiques. A ce jour, les capacités techniques, institutionnelles et financières insuffisantes aux niveaux national, sectoriel et local limitent la capacité du pays à entreprendre le process des PNA et à faire face à l’adaptation au changement climatique.
C’est dans ce cadre que le Gouvernement de la République du Sénégal a sollicité et obtenu du Fonds pour l’Environnement Mondial et du Programme des Nations Unies pour le Développement un don de 3 213 750 USD soit 1 767 562 500 FCFA afin de financer le projet d’appui au Plan National d’Adaptation du Sénégal (PNA-FEM) du Sénégal.
Le projet d’une durée de trois (3) ans (2019 – 2022) vise à renforcer la capacité des ministères sectoriels et des administrations locales à mieux évaluer les impacts des changements climatiques et à adapter les politiques et les budgets existants en matière d’intégration des risques posés par le changement climatique et des mesures d’adaptation à moyen et à long terme. Premièrement, il aborde les lacunes et les faiblesses dans la mise en œuvre du PNA à travers le développement de capacités techniques et fonctionnelles des centres de surveillance du climat et de l’hydrologie (Agence nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie – ANACIM, Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en Eau – DGPRE), des centres de recherche (Laboratoire Physique de l’Atmosphère et de l’Océan Sigmund Fund – LPAOSF, Université Cheikh Anta DIOP – UCAD, Centre de Suivi Ecologique – CSE, Institut Sénégalais de Recherche Agricole -ISRA) et des décideurs afin de mieux utiliser les informations disponibles sur le climat historique et futur pour planifier les stratégies d’adaptation à court et à long termes. Deuxièmement, il vise à adapter les politiques et les budgets consacrés à la résilience à long terme aux changements climatiques en intégrant l’adaptation dans les instruments de développement nationaux, locaux et sectoriels.
Le projet intervient dans les régions de Ziguinchor, Saint Louis, Matam, Kédougou et Kaffrine.
A termes, le projet permettra d’élaborer les PNA aux changements climatiques des secteurs de l’Agriculture, de la Santé, des Infrastructures et des Inondations.
Ce projet contribuera au développement du PNA du Sénégal, qui sera la feuille de route nationale qui encadre les politiques et projets en matière d’adaptation aux changements climatiques relativement à la mise en œuvre de la contribution déterminée au niveau national.
Au regard de l’importance des activités et leurs impacts sur le dispositif institutionnel et organisationnel prévues dans le cadre du projet, il est nécessaire qu’une communication forte soit assurée tout le long de la mise en œuvre du projet projet pour permettre à l’ensemble des acteurs d’avoir une compréhension commune des objectifs du projet, des mécanismes de mise en œuvre et des résultats obtenus.
C’est dans ce cadre qu’il est prévu l’organisation d’un atelier régional d’information et de sensibilisation sur le projet, qui aura lieu le mercredi 19 Mai.2021 à Saint Louis. Cette rencontre a été précédée par l’atelier de lancement au niveau national tenu le 22 septembre 2020 « .
Equipe de France de Football : Retour de Karim Benzema, 6 Ans Après, pour Aller à l’ Euro
Le sélectionneur du onze tricolore ravale son orgueil et rappelle l’attaquant du Réal Madrid. Aprés l’avoir privé de Coupe du Monde, Didier Deschamps acte, ainsi, le come_back de Karim Goal. Didier Deschamps s’explique en ces termes : » L’ Equipe de France ne m’ Appartient Pas Elle est au Dessus de Tout « .
Délocalisation du Stade Me Babacar Seye Papa Ibrahima Faye Dit Oui
Mamadou Aw, Coordonnateur de M2D Saint_Louis à Mansour Faye : » Monsieur le Maire, Vous Vous Permettez ! Permetez_nous ! «
» La ville de Saint Louis a connu ces derniers temps des soubresauts, des oppositions, des querelles politico-citoyennes liées à la volonté du Maire Mansour Faye qui consiste à délocaliser sur une zone d’extension de Saint-Louis, le stade vétuste et dégradé rebaptisé au nom de l’illustre fils de la ville tricentenaire, Maitre Bacacar Seye. Qui, je le rappelle, fût assassiné dans des conditions jusqu’à présent non élucidées. Des voix non moins autorisées s’élèvent, s’affrontent par diverses opinions tantôt organisées tantôt influencées et téléguidées…
Cette bataille d’opinion laisse entrevoir une réelle obstruction des motivations des uns et des autres.
En effet nous restons convaincus qu’un comité composé de toutes les sensibilités et obédiences serait une bonne opportunité non seulement pour harmoniser les positions, si tant est qu’elles sont toutes uniquement mues par l’intérêt de la seule et unique cité, mais aussi pour prendre connaissance des arguments réels d’un tel projet appelé DÉLOCALISATION DU STADE Me Babacar Seye…
Ceux qui sont de notre génération et de celles d’avant ont connu le stade baptisé sous le nom de Wiltord, chargé de souvenirs, d’évènements sportifs et culturels, et ils seront d’ailleurs affectueusement pardonnés s’ils continuent à prononcer un tel nom pour designer le stade…
Ce qui est une indication nette que le stade Me Babacar Seye, ex Wiltord, n’est pas la propriété d’un Maire, d’un dignitaire, encore moins de Me Babacar Seye, mais celle d’une communauté bien plus large que le monde du sport.
Raison pour laquelle l’opinion de la famille de Me Babacar Seye n’etant pas des moindres, elle reste une opinion comme tant d’autres.
Nous émettons ces ecrits avec certitude que feu Me Babacar Seye n’a pas choisi la baptisation à son nom de ce stade et se retournerait dans sa tombe s’il apprenait que dans son riche parcours son nom est associé dans une quelconque polémique autour d’un terrain de jeu et de loisirs… Pour le respect de l’âme du defunt nous avons l’obligation de terrer cette guéguerre qui instrumentalise, expose et indispose la famille du defunt…
La réalité du problème n’est pas une délocalisation qui n’existe que de nom, mais l’érection en ces lieux d’un centre d’affaires.
Voila un projet dont on ne connaît jusque là ni les promoteurs, ni les maîtres d’oeuvres encore moins le moindre détails de ce à quoi il pourrait ressembler.
Le conseil municipal qui est l’organe légitime et habilité n’a jamais délibéré sur ce projet de construction de stade, ni sur l’aménagement de son espace, ni sur l’érection dudit centre d’affaires; et voila toute la ville qui s’enflamme sur une diversion chimérique oubliant les défis pressants qui se trouvent à nos bouts de nez.
Au Moment ou nous émettons ces écrits, il n’y a aucune goutte d’eau qui coulent des robinets de bon nombre de nos familles à Saint Louis, le refoulement des eaux usées et nauséabondes étouffent les riverains à Pikine, l’indicateur de chômage est au plafond, aucune lecture claire de la population sur les retombées de l’exploitation du gaz et du pétrole, les manquements criards et dangereux de l’etude d’impact environnemental de l’entreprise étrangère BP passés sous silence, voila une multitude de perles de la chapelle qu’il nous incombe d’égrener dans l’urgence.
Monsieur le Maire, votre mandat est arrivé à terme depuis très lomgtemps et à l’heure où vous nous devez des évaluations et un bilan sérieux et exaustif de votre mandat, vous vous permettez de prendre de telles décisions que ce mandat expiré ne vous permet plus de prendre, au nom de la légitimité pour ne pas dire de la légalité…
Hormis vos incompétences à vous ingérer dans les affaires qui dépassent les prérogatives du conseil municipal, qui ne s’est d’ailleurs jusqu’à présent pas prononcé sur ce sujet, vous vous permettez d’exproprier encore une fois de plus des citoyens démunis de leur site d’habitation sous prétexte d’ériger sur leur légitime sol un stade à coup de milliards tout en ignorant éperdument l’épineuse priorité de l’emploi et pas seulement des jeunes.
Des milliards ont été engloutis dans des édifices qui ont enfoncé de plus en plus la population dans une paupérisation absolue.
Monsieur le Maire, Messieurs les acteurs politiques, l’heure est arrivée de repenser un modèle endogène de développement.
Un modèle qui prend en compte les priorités et urgences, un modèle qui ne met pas la charrue avant les boeufs, un modèle qui n’est pas basé sur un mimétisme systématique « .
Mamadou Aw ..Militant social. Activiste.coordonateur du M2D Saint-Louis