Mois : mai 2021

Poursuivant ses visites de prise de contact depuis sa prise de commandement, le Chef d’ Etat_major des Armées a séjourné à Saint_Louis. La zone militaire N% 2 a une importance de premier chef dans le dispositif sécuritaire national. L’ occasion, pour le Cemga, de rappeler que ce cantonnement militaire est une zone frontalière avec tous les enjeux propres aux zones frontalières, a glané le site de référence www.miroironrline.com. Mais la zone militaire N % 2 est, aussi, un pôle d’excellence tant en matière de formation initiale, avec le 12 ème bataillon d’instruction notamment, que dans le domaine de l’enseignement scolaire avec le Prytanée Militaire Charles Tchoréré. Aux formateurs et encadreurs, le Cemga a requis un engagement total pour former, dans les meilleures conditions possibles le personnel mis à leur disposition. Le patron des forces armées sénégalaises souhaite, pour les apprenants, une formation technique de qualité et un encadrement tactique et physique à la hauteur des attentes. Pour ce faire, a_t_il a laissé entendre, en substance, le personnel d’encadrement doit avoir en bandoulière un sens élevé du sacrifice, Le tout sous,_tendu par la rigueur purement militaire tout en ayant la claire conscience que la formation est un sacerdoce qui doit s’exécuter dans le respect des lois et règlements militaires, sans excès nuisibles à la dignité et à la formation du militaire. En outre, le Chef d’ Etat_major des Armées sénégalaises n’a pas manqué de plaider pour que le personnel soit mis dans de bonnes conditions de travail et de vie. Ce, a_t_il argumenté, pour qu’il puisse avoir la quiètude et la sérénité requises pour faire face aux exigences du métier d’encadreur. Ce, en liaison avec les structures de soutien a souhaité le Cemga.qui a réitéré tout son soutien aux cadres et au commandement. Les soldats et autres enfants de troupe du Pms, l’hôte de la zone militaire N% 2 a conseillé de tout mettre en oeuvre pour tirer profit de leur passage dans ce pôle de formation. Leur expliquant que se former a, aussi, ses exigences en matière de sacrifice de recherche permanente de la perfection, le Cemga de les inviter à donner le meilleur d’eux_mêmes. aux plans physique et éthique. En vue de sortir de Bango avec le meilleur des formations possibles.

Pendant de longues heures, ce jeudi matin, les populations du village de Bari Diam ont barré la route nationale 2. Elles ont, ainsi, pesté leur colère suite au décès, la veille, d’une fillette de six, mortellement heurtée par un véhicule particulier. Rien n’a été de trop pour marquer le coup et inciter les autorités compétentes à dresser, des ralentisseurs sur ce tronçon de route trés passant. Non contents d’avoir immobilisé des centaines de voitures qui se sont suivies, à la queue_leu_leu, en barrant la Rn2, les habitants de Bari Diam ont, aussi, creusé des sillons sur la route, brûlé des pneus, des branchages et autres fagots de bois. Le jour du drame, la veille, mercredi, juste après l’acte coupable du chauffeur qui a pris la clef des champs sitôt son forfait commis, les populations de ce village niché entre Savoigne et Ndiaye ont rué dans les brancards. Reproduisant, à cette occasion, le même modus operandi, a glané le site de référence www.miroironeline.com.

Injustice ! Les étudiants de l’ Espace Numérique Ouvert crient à l’injustice et pointent du doigt la tutelle, a glané le site de référence www.miroironeline.com. Même dans ses discours, ont_ils laissé entendre à l’occasion de leur énième face à face avec la presse pour se rappeler aux bons souvenirs des décideurs, l’autorité les ignore, royalement. Et pourtant, en dépit des difficultés chroniques auxquelles ils sont confrontés, au quotidien, ces étudiants de l’ Université Virtuel de Saint_Louis flirtent avec le sommet de la hiérarchie à l’aune des résultats et autres distinctions universitaires. Forts de leurs performances qui ne relèvent plus du domaine du hasard, ils exigent, désormais, plus d’égards et de considérations de la part ministre de l’enseignement supérieur. Mais l’urgence, pour ces apprenants du supérieur est l’acquisition de leurs outils de travail. La promotion 8 de l’ Espace Numérique Ouvert de Saint_Louis, toujours dans l’attente de leurs outils de travail, peinent à démarrer les cours. Rappelant que leurs ordinateurs, clés Usb et autres forfaits sont ce que les amphithéâtres, campus social et pédagogique représentent pour les étudiants des autres universités, nos interlocuteurs de réclamer la diligence des autorités en charge de ces questions pour leur permettre d’étudier dans de bonnes conditions. Avant de plaider pour que cesse les retards dans la mise en branle de leur calendrier universitaire.

Les animateurs du Réseau d’ Appui à la Conservation et aux Initiatives de Développement Durable dans la réserve de de biosphère transfrontalière du Delta du fleuve_Sénégal se sont rendus sur la Langue de Barbarie pour prêcher la bonne parole sur les déchets plastiques. Dans cette partie du Gandiolais,  » ces visiteurs d’un jour  » ont taillé bavette avec les populations qui vivent sur l’emprise du parc de la Langue de Barbarie et de la réserve de faune de Guembeul autour des dégâts causés par les déchets plastiques sur la biodiversité. Au finish, les séminaristes se sont accordés sur la nécessité d’oeuvrer pour lutter contre ce fléau. Il convient de rappeler que le Raccid regroupe 23 Organisations Communautaires de Base.

Le 10 Avril dernier, dans la Commune de Démette, l’ Adep a financé des ressortissants de 4 Communes. A l’occasion de ce grand forum sur l’emploi des jeunes, aux allures d’un  » Grand Meeting de l’ Espoir « , le président de l’ Association pour le Développement et l’ Émergence du Département de Podor a réitéré son ardent désir d’appuyer sur les leviers de développement dont regorge ce département, dans son entièreté. Cette partie du Fouta offre, en effet, à ces occupants, l’opportunité de pratiquer des activités génératrices de revenus comme l’élevage, l’agriculture, la pêche entre autres. D’autant que le département de Podor est bien pourvu en eau, soleil et terre.

Les talibés Khadre et autres pélerins de la traditionnelle ziarra de Nimzatt peuvent se préparer. Malgré la pandémie à Covid_19, l’événement aura bien lieu à date échue. Mettant à profit le Comité Régional de Développement, organisé à Saint_Louis, pour plancher sur la bonne tenue d’ensemble de l’événement religieux, le responsable local de la confrérie khadre a fait noter que toutes les dispositions sont prises, aussi bien au Sénégal qu’en Mauritanie, pour perpétuer la tradition. Et, pour circonscrire les risques liés à une éventuelle propagation de la Covid_19, des mesures hardies sont, d’ores et déjà prises, par les autorités des deux pays_frères, en vue du respect strict du protocole sanitaire. Avec, en toile de fond, une application stricte des mesures_barrières.

Certes un cadre juridique, sur l’ intercommunalité, existe au niveau national. Mais il n’en demeure pas moins qu’ il faut capitaliser les expériences glanées au gré des exemples recensés, ça et là, pour le rendre efficace sous nos tropiques. C’est dire qu’il faut, encore, du temps pour peaufiner un cadre juridique approprié au vécu quotidien des sénégalais. Malgré tout, les maires des collectivités locales de Diama, Gnith, Ross_Béthio et Ronkh ont décidé de tenter l’aventure d’aller vers une intercommunalité. Dans le Walo, le projet d’ intercommunalité des communes de Diama, Gnith, Ross_Béthio et Ronkh prend forme. Entamé depuis 2016, le processus a suivi son petit bonhomme de chemin, depuis lors, pour donner corps, aujourd’hui, à cette entente intercommunale. L’objectif est de mutualiser les forces en vue d’organiser, ensemble, le développement socio_économique de leur terroir. Ces différentes localités du département de Dagana présentent, en effet, les mêmes réalités tant socio_économiques que sociales. Les seules communes de Ronkh et Diama polarise, en termes de production de riz, prés de 50% de la région. Et plus de 30% de la production du pays ! La commune de Gnith, quant à elle, caracole au sommet de la pyramide des zones de production de la patate douce. Ainsi, vu le contexte, les autorités locales ont, trés tôt, compris que seule une synergie d’actions peut permettre à leurs communes d’asseoir un développement harmonieux. L’intercommunalité étant, par les temps qui courent, une réalité, les maires de ces communes souhaitent, désormais, un accompagnement des pouvoirs publics et structures d’encadrement et autres partenaires. Dans ce dessein, la présence d’experts du Cncr, du Crdi de l’ ipar ou de l’ Ard a permis de relever les débats et d’abord certaines questions de fond relatives à cette question d’actualité.

Les étudiants de l’Ufr Sefs de l’Ugb réclament leur insertion dans la fonction publique. Avec le recrutement de 5 mille enseignants, promis par l’ État, ces professeurs d’éducation gardent le secret espoir de voir, enfin, le bout du tunnel. Et, puisque l’ État du Sénégal a émis, récemment, sa volonté de recruter des milliers de jeunes, ces étudiants du Sefs demandent au président de la République et au ministre de l’éducation nationale, de les aider à réaliser leur rêve. A les en croire, ce faisant, les pouvoirs publics donneraient, dans ce cas, leur chance à des jeunes détenteurs de la licence Staps, trés bien formés. Ces prétendants aux postes de professeurs d’éducation physique et sport exhortent, dans la foulée, les autorités compétentes à lancer la commande du Caem/Eps, qu’ils réclament depuis six ans. En outre, mettant à profit leur marche pacifique qui est partie de l’ Ufr Sefs, nichée dans l’antre de l’Ugb, pour se terminer au portail du temple du Savoir, ces pensionnaires de Sanar ont réitéré leur souhait de voir augmenter le quota de la commande du Caes/Eps qui reste insuffisant, a glané le site de référence www.miroironeline.com.