Mois : septembre 2021
Magal de Touba : Pa Djiby Ndiaye contre la Hausse du Prix du Transport
A la gare routière de Saint_Louis, c’est un véritable parcours du combattant pour les candidats de » ila Touba « . En plus du manque criard de voitures, les mourides et autres musulmans sont confrontés à une hausse vertigineuse du prix du transport. Une situation qui n’est pas du goût de tout le monde. Le président régional des chauffeurs de Saint_Louis, Djiby Ndiaye, tire la sonnette d’alarme.
Ross Béthio : Faly Seck Encore aux Côtés des Populations
A Ross_Béthio, les populations vivent toujours le calvaire des inondations. Ainsi, pour soulager ses parents de cette partie du Walo, Faly Seck a, encore, apporté son concours. Après la pluie, le beau temps, a_t_on coutume de dire. Mais, à Ross_Béthio, après la pluie, c’est le poto_poto. Et bonjour les inondations et autres désagréments subis par les populations. Sous ce rapport, de telles initiatives doivent être encadrées et accompagnées, pensent bon nombre d’ habitants de cette partie du Walo. Aujourd’hui la situation de Ross_Béthio, qui s’offre aux décideurs comme un énorme cahier de doléances, requiert l’effort de tous. Ainsi, les uns et les autres pourraient entrevoir l’espoir de tirer la localité du bourbier dans lequel elle s’est empêtrée.
Urgent :
» Bonjour ! Une forte somme d’argent contenue dans un sachet à été perdue aujourd’hui entre 11 H et 12 H à Saint-Louis plus précisément entre Diameguune et la BOA. Prière à toute personne qui la retrouvera ou qui a une quelconque information de contacter le propriétaire au 77 759 59 17. Merci d’avance « .
Saint_Louis : Les Bilharzioses en QuestionS
» Le Sénégal à l’instar des pays endémiques aux Schistosomiases, s’est inscrit dans une dynamique de contrôle de ces pathologies d’ici 2030.Les Schistosomiases ou Bilharzioses existent sous la forme urinaire (Schistosoma haematobium) et la forme intestinale (Schistosomia mansoni) au Sénégal. De nos jours, 13 régions sur les 14 que compte que le pays sont touchées par ces pathologies, avec des prévalences variant de 1% à 96%. C’est depuis la construction des barrages de DIAMA et MANANTALI sur le fleuve Sénégal, que ces pathologies sont devenues un véritable problème de santé publique dans le bassin, notamment dans certains districts des régions de Matam et Saint Louis où les prévalences peuvent atteindre voire dépasser les 80%.
Les conséquences sur le plan sanitaire et socio-économique sont néfastes entrainant ainsi l’anémie, les complications des grossesses, la baisse de la productivité économique et du rendement scolaire, etc.
Face à cette situation, les autorités se sont engagées à diminuer le fardeau de ces maladies en s’inscrivant dans le respect des directives de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et les engagements internationaux. A ce titre, plusieurs plans stratégiques intégrant la lutte contre les Maladies Tropicales Négligées intégrant les Bilharzioses ont été élaborés et mis en œuvre avec comme objectif, le contrôle de ces pathologies.
Les stratégies phares adoptées par le Programme National de lutte contre les Bilharzioses et Géohelminthiases pour atteindre l’objectif de contrôle sont : la cartographie (1996 à 2013), les campagnes de distribution de masse de médicaments (de 2009 à nos jours), les activités de promotion d’accès à l’eau potable, l’hygiène et l’assainissement, l’éducation sanitaire, etc.
Malgré les efforts et les résultats obtenus dans la lutte contre les Schistosomiases, des défis persistent toujours dans la lutte contre les Schistosomiases au Sénégal :
– Les résultats des dernières enquêtes d’évaluation d’impact de 2016 et 2017 ont montré la persistance de ces maladies voire une augmentation des prévalences dans les vingt-quatre (24) districts sanitaires du bassin du fleuve Sénégal et dans certains districts de la région de Thiés malgré les efforts fournis.
– Des préoccupations ont été exprimées quant à la pertinence des données actuelles sur l’endémicité (au niveau du district) pour une mise en œuvre appropriée du programme au niveau de la communauté, le cas échéant. La délimitation des données d’endémicité actuelles sur des niveaux administratifs inférieurs (Poste de santé) aidera à cibler le traitement des SCH, à exclure les zones n’ayant peut-être pas besoin de DMM et à dégager des lacunes de cartographie plus fines. Ainsi, Il a été fortement recommandé à tous les Etats de fournir à l’aide de questionnaire des données épidémiologique, plans d’eau, zones humides, densité de population, température, précipitations, altitude, etc. des différents postes de santé et des districts. Le but serait de mieux faire face au caractère localisé de la transmission de la maladie et d’orienter aussi bien la mise en œuvre que les ressources vers les zones où elles sont le plus nécessaires au niveau de la communauté.
– Il a été également constaté des insuffisances de coordination dans la mise en œuvre des activités de recherche avec les Instituts, le traitement des femmes enceintes lors des campagnes de distribution de masse de médicaments, les stratégies de communication de proximité pour un changement de comportement et pour l’éducation pour la santé et la prise en charge des cas de complications diagnostiqués lors des activités de recherches.
C’est dans ce contexte que le Programme National de lutte contre les Bilharzioses et les Géohelminthiases en collaboration avec FHI 360, organise une réunion technique pour l’analyse situationnelle et l’élaboration d’une feuille de route pour le contrôle des Bilharzioses au Sénégal.
II. OBJECTIFS
a. Objectif général
Définir une stratégie efficace de lutte contre les Bilharzioses respectant les directives de l’OMS pour le Sénégal
b. Objectifs spécifiques
1. Partager le contexte de la lutte contre les MTN au Sénégal
2. Partager le contexte de la lutte contre les Bilharzioses au Sénégal
3. Réviser le classeur OMS sur l’endémicité des Bilharzioses au niveau poste de santé
4. Partager les résultats V des études récentes menées au Sénégal
5. Identifier les insuffisances des stratégies de la lutte contre les Bilharzioses au Sénégal
6. Elaborer une feuille de route de lutte contre les Bilharzioses.
III. RESULTATS ATTENDUS
1. Le contexte de la lutte contre les MTN au Sénégal est partagé
2. Le contexte de la lutte contre les Bilharzioses au Sénégal est partagé
3. Le classeur OMS sur l’endémicité des Bilharzioses au niveau poste de santé est révisé
4. Les résultats des études récentes menées au Sénégal sont partagés
5. Les insuffisances des stratégies de la lutte contre les Bilharzioses au Sénégal sont identifiées
6. Une feuille de route de lutte contre les Bilharzioses est élaborée
IV. METHODOLOGIE
– Présentations power point suivies de discussions
– Travaux de groupe
– Visite de sites
V. LIEU/PERIODE
Cette activité aura lieu à Saint Louis du 21 au 24 septembre 2021 « .
Saint Louis : Les Bons Points de la Mangrove en Questions
Le projet » Mangrove Sénégal_Gambie « , officiellement, lancé à Saint_Louis. Ainsi, les quartiers Sor_Diagne, Khor, Bango et Bopou_Thior vont être le réceptacle, au total, de soixante quinze pieds de mangrove. En raison de vingt cinq mille propagules par année. Le tout reboisé en trois ans, sur une superficie cultivable de quinze hectares.
À l’aune du dévouement des populations de Sor_Diagne, point de départ de ce vaste élan de restauration de l’écosystème, l’on peut croire que l’importance de la mangrove est bien comprise. Car, au finish, si les trois quarts de ce reboisement sont sanctionnés de réussite, les effets induits seront perçus tant sur le plan écologique qu’ économique et socio_culturel.
Commune de Diama : La Grande Coalition pour l’ Alternance et le Développement se Signale
» Nous membres de la MAJORITÉ PRÉSIDENTIELLE ÉLARGIE/BBY de Diama déplorons le comportement irrespectueux de Monsieur le Maire Oumar SOW à l’égard du parti APR et ses alliés. Contre toute attente, il s’est investi candidat aux prochaines élections municipales pour une cinquième fois, après 26 ans de règne sans bilan.Nous attirons l’attention de l’opinion nationale que cette « candidature de trop » ne nous engage point. En déclarant sa candidature, Monsieur le Maire Oumar SOW a osé défier l’autorité de son excellence Monsieur Macky SALL Président de la République qui avait exigé aux responsables de la mouvance présidentielle d’être à son écoute. Il ne s’est même pas concerté avec les responsables de la Majorité Présidentielle Elargie/BBY de la Commune de Diama. A Diama tout le monde sait que si la coalition continue à être forte électoralement, c’est grâce aux efforts déployés jusqu’ici par les responsables réunis autour de la Grande Coalition pour l’Alternance et le Développement à Diama (GCA2D). Monsieur Oumar SOW n’a aucune initiative allant dans le sens de la massification, de l’animation de la coalition ou de la réunification des responsables de la mouvance présidentielle. Il continue dangereusement de diviser les responsables pour ses intérêts crypto personnels. De 2014 à nos jours, il n’a organisé aucune réunion de BBY : Ce qui justifie la léthargie constatée de nos jours.Nous membres de la GCA2D continuons le travail d’organisation, de massification et d’animation tout en restant à l’écoute du Président de la République SEM Macky SALL. Nous invitons toutes les compétences communales d’ici et d’ailleurs à venir travailler avec nous dans la Majorité Présidentielle Elargie/BBY pour bâtir ensemble une commune vitrine d’une bonne gouvernance à tout point de vue.C’est dans ce sens que nous lançons officiellement aujourd’hui les ASSISES DE LA COMMUNE DE DIAMA pour promouvoir un leadership collégial et une démocratie participative qui place le citoyen au cœur de la gouvernance locale. Les assises constituent une occasion, pour les membres de la GCA2D, d’aller à la rencontre des citoyennes et citoyens afin de recueillir leurs doléances et propositions en vue du redressement de notre collectivité territoriale victime d’une mauvaise gestion de l’actuel Maire. Ces assises seront également une opportunité pour redonner de l’espoir aux habitantes et habitants de la commune de Diama.Toujours dans ce même registre, nous demandons solennellement au Président de la République SEM Macky SALL, de prendre des mesures fortes, afin de mettre fin à la mauvaise gestion de l’assiette foncière dans la Commune de Diama. Au moment où nous lançons ces assises, les agriculteurs et éleveurs des villages de Gonio et Ndiamar sont dans un état de désespoir du fait des pratiques très contestées du Maire Oumar SOW et ses acolytes sur une grande partie de leurs terres. Nous pouvons dire sans risque de nous tromper, que Diama est une commune déjà privatisée. La quasi-totalité de l’assiette foncière est entre les mains des étrangers. La population locale est laissée en rade par l’équipe municipale de Diama.Nous membres de la Grande Coalition pour l’Alternance et le Développement à Diama remercions vivement le Président de la République SEM Macky SALL pour les nombreux efforts fournis pour le désenclavement du Delta et du Lac de Guiers situés dans le département de Dagana avec le lancement des travaux de « la boucle du riz ». Nous constatons avec beaucoup de satisfaction l’état d’avancement des projets d’aménagement et de réaménagement du Delta et notamment la réalisation du Programme PRACAS et la lancement du Projet DELTA. La mécanisation agricole aussi continue d’être une réalité dans la vallée du fleuve Sénégal avec la dotation de nos organisations paysannes des machines agricoles de dernières générations. Le centre Sectoriel de Formation Professionnelle en Machinisme Agricole ( CSFP-MA) de Diama contribue grandement à la résolution du problème de formation et d’emploi des jeunes dans notre cher terroir.Pour terminer, nous réitérons notre engagement et ancrage dans la majorité présidentielle élargie/BBY et notre soutien indéfectible au Président de la République SEM Macky SALL pour la continuité des réalisations du PAP2A au profit des sénégalaises et des sénégalais « .
Mairie de Richard Toll : L’Adjointe au Maire Apériste Candidate
Mme Aidara, Marième Sow Dièye, future maire de Richard_Toll ? La deuxième adjointe au maire de la cité sucrière a, clairement, déclaré son ardent désir de diriger l’institution municipale, conduite par son camarade de parti, Amadou Mame Diop. Précisant qu’elle va continuer à travailler pour la massification de son parti dans cette partie du Walo, la responsable des femmes Apr de la commune de Richard_Toll a promis un changement de cap dans sa future gestion municipale.
Dagana : Vers la Mise sur Pied d’ Une Pépinière pour Lutter contre l’Avancée du Désert
C’est un secret de Polichinelle, le désert ne cesse de gagner du terrain sous nos tropiques. Au surplus, il avance à grands pas au Sénégal. Surtout, dans le Nord du pays, avec la proximité de la République_soeur de Mauritanie. Ainsi, pour circonscrire les effets dévastateurs d’un tel phénomène, les populations du département de Dagana ont pris l’option de prendre le taureau par les cornes. En plus des séances de reboisement, à l’image de celle initiée par l’ association » Dagana Citoyenneté et Renaissance » les autorités locales réflèchissent sur la mise sur les fonts baptismaux d’une pépinière pour accompagner ces actions citoyennes.
Walo : Dagana Citoyenneté et Renaissance Plante Mille Arbustes et Circoncit 150 Enfants
Avec l’appui, non négligeable, de l’ Agence Sénégalaise de la Reforestation et de la Grande Muraille Verte(ASERGMV), qui a mis à la disposition de la ville de Dagana, 1.000 plants dont 500 fruitiers et 500 ombragés, l’association » Dagana Citoyenneté et Renaissance » a, encore, contribué à la croisade contre l’avancée du désert. Ainsi, ses plénipotentiaires qui ambitionnent de changer de fusil d’épaule, en théorisant » le reboisement intelligent « , avec un suivi permanent, ont convié à ce rendez_vous du donner et du recevoir, tous les segments de la vie active daganoise.
Langue de Barbarie : Le Ministre de la Pêche Constate l’Avancée des Travaux de Dragage au Niveau du Canal de Délestage
Attendu de longue date, le dragage de la brèche, creusée à l’embouchure du fleuve_Sénégal en Octobre 2003, a démarré. Ce canal de délestage qui a, déjà, causé la mort de prés de 400 pêcheurs, selon des statistiques faites sur place, est devenu, au fil des années, la préoccupation la mieux partagée par les populations de Guet_Ndar et de la Langue de Barbarie. Plus que quelques mois et les usagers de ce lieu de rencontre entre le fleuve et la mer, vont pouvoir le traverser sans avoir la peur au ventre.