Mois : février 2022

Du beau monde au stade Me Abdoulaye Wade ! L’ inauguration de ce joyau, construit au coeur de la nouvelle ville de Diamniadio, a été grandiose. Quatre chefs d’Etat, du Rwanda, du Libéria, de la Gambie, de la Turquie, les présidents de la Caf et de la Fifa, le coach Arsène Wenger et des légendes du football sénégalais et africain ont participé à ce rendez_vous qui restera gravé dans la mémoire collective. Sur la pelouse hybride, nouvelle génération s’il vous plaît, se sont côtoyés d’un côté, Adebayor, Noureddine Nyabet, Moustapha Hadji, Lucas Radebe, Samuel Eto, Patrice Mboma, Didier Drogba, Kalusha Bwalya etc…. Et, de l’autre, Oumar Guéye Sène, Boubacar Sarr Locotte, Thierno Youm, Racine Kane, Roger Mendy, Amadou Diop  » Boy Bandit « , Cheikh Seck, Tony Sylva, El Hadji Diouf, Moussa Ndiaye, Diomansy Camara, Mamadou Niang entre autres. Sans oublier les deux premiers buteurs du stade Me Abdoulaye Wade, Khalilou Fadiga et Jay Jay Okacha. Un spectacle en son et lumière, avec les chanteurs sénégalais Ismaïla Lô, Youssou Ndour, Baba Maal, Waly Seck, Pape Diouf entre autres et la Guest_star sud_africaine Namcebo Zocide a mis fin à ce spectacle grandeur_nature.

 » Les inégalités existantes dans nos sociétés ont souvent conduit les Etats à mettre en place des politiques publiques conformément aux engagements internationaux en vue de restaurer l’égalité entre les hommes et les femmes. Les Objectifs du Développement Durables (ODD) qui concernent l’ensemble des pays, constituent un cadre de référence international en vue de cette égalité. Il faut cependant relever que du fait du patriarcat qui influence la plupart des comportements, les individus, les organisations, la société de manière consciente ou inconsciente, les inégalités entre les sexes se perpétuent1. Ainsi, pour changer les mentalités et influencer positivement les perceptions, des approches innovantes deviennent nécessaires. Elles permettraient d’inciter les populations à changer certaines perceptions négatives relatives à la femme et à la petite fille notamment en ce qui concerne les droits qui leur sont reconnus. Un tel changement ne peut cependant s’opérer sans l’existence d’un véritable leadership transformateur et durable.En soutenant dans ce présent projet le leadership transformateur pour les droits des femmes, le CSDH avec le soutien d’OXFAM vise à œuvrer pour l’égalité des genres et le renforcement du pouvoir des femmes et des filles.C’est ce qui justifie l’organisation de cet atelier de formation sur le leadership transformateur pour les droits des femmes et des filles qui a pour but de capaciter les acteurs locaux sur cette question pour un rayonnement du leadership des femmes dans la région de Saint Louis « .

Saintlouisiens de la Linguère et lougatois du Ndiambour se sont quittés sur un score de parité (0_0). Cependant, ce grand classique de notre championnat, joué au stade Mawade Wade, a tenu toutes ses promesses, devant un public nombreux.

Ces professionnels de l’artisanat estiment qu’une telle éventualité évitera les complots et autres lobbying. En outre, la Fnaats milite pour la carte professionnelle pour tous, invite les autorités compétentes à tout mettre en oeuvre pour que la transparence prévale à l’occasion de ces élections prévues dans un mois. L’instance nationale s’est réunie à Saint_Louis, en présence des responsables des autres régions du pays.

La commune de Saint_Louis renoue d’avec les bouchons et autres embouteillages. Les travaux d’entretien du pont Faidherbe engendrent, ainsi, de nombreux désagréments. De longues files d’attente, avec des voitures qui se suivent à la queue_leu_leu, sont observées à longueur de journée. Aujourd’hui, les saintlouisiens et autres usagers de ouvrage métallique, long de 511 mètres, souhaitent la fin des travaux dans les plus brefs délais. Certains estiment que les travaux doivent, aussi, être menés la nuit pour accélérer la cadence. Pour rappel, les derniers travaux de réhabilitation de la place Faidherbe ou place Baya_Ndar, qui ont duré de trés trés longs mois, ont causé de nombreux soucis aux populations de la cité de Mame Coumba Bang.

A Guet_Ndar et sur la Langue de Barbarie, les pêcheurs sont en rogne. A l’origine de leur courroux, la présence, dans leur aire de pêche, de bateaux étrangers, qui détruisent leur matériel.  » Actuellement, notre principal problème est la présence de bateaux étrangers, surtout chinois, qui empiètent dans nos zones de pêche. Ils viennent y pêcher, illégalement. Et détruisent notre matériel  » ont_ils annoncé. Face à la presse, en bordure de mer, à Gokhou Mbaxx, ces pêcheurs de poursuivre en ces termes :  » certes, le phénomène existe depuis des années. Mais, cette fois çi, avec la multiplication des navires étrangers, aux larges de nos eaux, l’on souffre terriblement. Ainsi, à cause de cette situation, nous peinons à nous acquitter de nos dettes contractées auprès des banques « . Forts de ce constat, ces pêcheurs interpellent les autorités compétentes en vue d’un réglement définitif de ce problème qui n’a que trop duré.

Les populations des villages de la commune rurale de Mbane ont rendu un vibrant hommage aux responsables de Senegindia, devenu Swami_Agri. La société spécialisée dans la culture de pomme de terre, selon ces populations, a respecté la responsabilité sociétale d’entreprise, depuis son installation dans la zone en 2009. Aujourd’hui, les actions menées par Senegindia dans les domaines de l’agriculture avec, notamment, la réhabilitation de canaux d’irrigation, de la santé, de l’éducation, de la religion, sont autant de motifs de satisfaction aussi bien pour les populations que chez les responsables de la société. D’autant que Senegindia, qui s’inscrit dans la continuité, n’entend point s’arrêter en si bon chemin. Reste à souhaiter que la cérémonie, organisée dans le village de Ndiakhaye, fasse tâche d’huile partout dans le pays.

La santé, avant tout ! Cette assertion populaire, bien comprise, aussi, par les responsables de Senegindia, est bien une réalité dans la commune de Mbane. La société, installée depuis 2009 dans cette partie du Walo, a validé et pris en charge le plan d’actions soumis par les autorités compétentes, suite à une analyse situationnelle. Ainsi, en appuyant, conséquemment, les structures de santé de la localité, Senegindia contribue à l’amélioration de la prise en charge sanitaire des populations.

Dans la commune de Mbane, la vérité est qu’entre les populations autochtones et la société Senegindia, c’est, désormais, le  » Mbourou ak Soow « . Aprés des débuts difficiles, il y a plus d’une dizaine d’années, Senegindia est parvenu à se faire une place dans …. le cœur des populations. Finies les craintes et autres plaintes consécutives à l’installation de la société, dans la zone, en 2009. Place, aujourd’hui, à un compagnonnage  » gagnant_gagnant « . Senegindia, dans sa mise en œuvre de la Responsabilité Sociétale d’ Entreprise, se distingue, à chaque fois que de besoin, par des actions en faveur des populations. Ainsi, outre le volet sanitaire, les responsables de Senegindia appuient, conséquemment, les secteurs_ clés comme l’agriculture, l’éducation, la religion. Forts de ce constat, les habitants de cette partie du département de Dagana n’ont eu d’autres options que de s’arrimer aux côtés de Senegindia dans l’espoir d’une synergie d’actions profitables au terroir.