Mois : mai 2023
Aprés une Année d’ Existence : Global Africa lance << Les Rencontres de Global Africa >> à l’ Ugb
_ « Du 22 au 24 mai 2023, le programme Global Africa fête à l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis sa première année d’existence et lance à cette occasion une nouvelle initiative « Les Rencontres de Global Africa ». Global Africa est une revue scientifique internationale et pluridisciplinaire, associée à des actions visant au renforcement de la recherche africaine. La revue Global Africa rend compte des enjeux politiques, sociaux, économiques, écologiques, technologiques de l’Afrique et du monde. Plurilingue (français, anglais, arabe et swahili) et diffusée en libre accès, elle est dotée des standards internationaux d’évaluation des articles. Son ambition : être ouverte, au-delà des sciences sociales, à la science de la durabilité et aux approches pluridisciplinaires. Parallèlement à cette publication, des actions de formation sont programmées pour renforcer l’écosystème de la production et de la diffusion de la recherche africaine en sciences humaines et sociales : cours en ligne sur l’édition et la publication, à destination des chercheurs comme des professionnels de l’édition ; écoles itinérantes dédiées aux jeunes chercheurs permettant de constituer une communauté d’auteurs ouverte aux enjeux portés par la revue. Cette première année d’existence de Global Africa a été marquée entre autres par : – le lancement du programme avec le colloque international “African Research Matters” qui s’est tenu à Saint-Louis en mars 2022 et a rassemblé près de 400 participants ; – la publication des 2 premiers numéros “Afriques, mondes et savoirs de demain” (mars 2022) “l’Afrique et le monde à l’heure virale » (décembre 2022) ; – la création d’un site internet (www.globalafricasciences.org) où, notamment, la revue peut être consultée en libre accès ; – l’organisation de la première École Jeunes Chercheur-e-s à Niamey en février 2023 sur le thème “Décoloniser les futurs administratifs africains” dont une partie des productions sera publiée dans le cinquième numéro de la revue ; – la production de formations certifiantes et de cours en ligne. Cet anniversaire, célébré du 22 au 24 mai à l’UGB, permettra de faire le bilan de ces différentes activités avec les comités du programme et d’établir la feuille de route des années à venir. Il sera aussi l’occasion de lancer « Les Rencontres de Global Africa », rendez-vous réguliers de conférences. Ainsi, le 24 mai, se tiendront deux conférences ouvertes au public au CEA-MITIC à l’Université Gaston Berger et diffusées sur internet (https://us02web.zoom.us/j/81098163803) : la première à 10h00 sera donnée par François Roubaud, économiste à l’IRD sur l’évaluation des politiques publiques de développement ; la seconde à 11h30, par Faisal Garba, sociologue à l’Université de Cape-Town sur les migrations africaines. Ces conférences seront des moments d’échanges importants avec la communauté universitaire. Porté par le Laboratoire d’analyse des sociétés et pouvoirs / Afrique – Diasporas (LASPAD) de l’UGB, le Center for Global Studies de l’UIR (université internationale de Rabat, Maroc), l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et le Laboratoire d’études et de recherche sur les dynamiques sociales et le développement local (LASDEL), Global Africa associe une dizaine de structures partenaires : l’Université de La Manouba en Tunisie, l’Université virtuelle du Sénégal, le Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales (CODESRIA), l’African Studies Association of Africa (ASAA), le Réseau des journalistes scientifiques d’Afrique francophone sur le continent africain ; le laboratoire Les Afriques dans le Monde, l’Institut des Mondes africains (IMAF), l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) ».
Énergie Solaire : La Coopération Allemande Installe une Centrale dans la Commune de Diama
_ « Le solaire pour l’agriculture – GRIPS inaugure une centrale solaire au Sénégal. Avec sa filiale à Dakar, la société allemande spécialisée dans les énergies renouvelables nous annonce le lancement de sa première centrale solaire photovoltaïque au Sénégal. En effet, ce 16 Mai à Diama, Saint-Louis, GRIPS Energy et la Société des Cultures Légumières (SCL) célèbrent la réussite de la construction de leur projet solaire, en compagnie de leurs honorables invités issus des sphères économique, éducative et gouvernementale. La centrale solaire photovoltaïque au sol de 604 kWc est pour SCL une grande transition vers l’utilisation d’énergies « vertes » tout en réduisant leurs coûts d’électricité.« Nous sommes très heureux et fiers d’avoir franchi cette première étape passionnante vers les énergies renouvelables avec GRIPS », déclare Hamedine BA, Responsable Technique de SCL pour la centrale solaire de la ferme agricole de Diama. « La mise en œuvre du projet s’est déroulée sans encombre et nous constatons déjà la réduction de nos factures d’électricité. Sur ce, nous pensons même à agrandir la centrale avec un système de stockage d’énergie. », poursuit-il.Etant en étroite collaboration avec leurs experts en ingénierie du siège en Allemagne, Amadou SAM, Directeur de GRIPS Energy Senegal, confirme : « Oui, notre approche de partenariat, avec notre client SCL, les ingénieurs experts de notre siège en Allemagne et notre partenaire d’installation sénégalais, a clairement démontré sa valeur. Nous resterons bien sûr le partenaire à long terme de SCL et assurerons les services complètes tout au long de la durée de vie du système. »En accord avec son offre de service complet, alors de l’approche « guichet unique », la société GRIPS a supervisé chaque détail du projet : de l’étude de faisabilité initiale à l’installation, en passant par la conception sur mesure du système. Maintenant que la centrale est opérationnelle, GRIPS assure sa haute performance et la maintenance régulière par l’intermédiaire de son partenaire local. « Nous sommes contents de pouvoir intensifier nos activités commerciales dans les pays d’Afrique de l’Ouest grâce à ce premier projet solaire au Sénégal. Personnellement, je suis fortement impressionné par les fermes de la SCL dans les « Sables du Sahel », qui s’appuient progressivement sur l’énergie solaire et promeuvent ainsi une méthode particulièrement écologique », déclare Timon Herzog, Directeur Général de GRIPS Energy.La Société de Cultures Légumières (SCL) a été fondée en 2006. Ses terres de plus de 2000 hectares dans la région de Saint-Louis, au nord du Sénégal, produisent des légumes pour les marchés sénégalais et sous-régionaux, mais en plus pour l’exportation vers le Royaume-Uni et les marchés européens. La vocation de SCL est d’être une entreprise socialement responsable intégrée dans la boussole économique, sociale et environnementale du Sénégal.www.scl.snGRIPS Energy accompagne le secteur commercial et industriel des pays africains dans leur transition vers des énergies renouvelables abordables sans avoir à dépenser leur propre capital. GRIPS finance et met en œuvre le projet d’énergie renouvelable et établit un partenariat à long terme avec le client en proposant des modèles de paiement flexibles conformes à la réglementation locale. GRIPS évalue la consommation d’électricité des clients et conçoit des systèmes d’énergie renouvelable qui répondent de manière optimale aux besoins spécifiques des clients.www.grips-energy.com ».
Village de Gandiaye_Peulh : Les Populations Réclament de l’ Eau, de l’ Électricité et le Désenclavement du Terroir
Dans la commune de Diama, les populations du village de Gandiaye_Peulh se sont mobilisées pour dire leur mal_être. Face à la presse, elles ont déploré le manque d’eau potable qui sévit dans cette partie du Walo et réclamé de l’électricité. Dans la foulée, ces populations peulhes ont dit leur souhait de voir leur terroir, situé à moins de 3 kilomètres de la Route Nationale N°1, désenclaver.
Lutte contre l’ Émigration Clandestine : Le Baos Libère 840 Millions de Fcfa, en 4 ans, et Facilite le Départ de 123 Jeunes
_ Du matériel ( pour la couture, le jardinage, l’élevage, la pêche etc… ) a été remis, ce week-end, à Saint_Louis, aux migrants de retour et aux potentiels migrants.
Dans le cadre de la territorialisation de la politique migratoire, le ministère des Affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur a bénéficié d’un financement du fonds fiduciaire d’ urgence de l’Union Européenne pour l’Afrique en vue de mettre en œuvre le projet « Gouvernance, Migration et Développement » (GMD). Le Projet, mis en œuvre, conjointement, par la Direction Générale d’Appui aux Sénégalais de l’Extérieur (Dgase) et l’Agence Espagnole de Coopération Internationale pour le Développement (Aecid), le Résultat 3, prévoit un appui (sous forme de subvention), à travers des Fonds Régionaux au profit de migrants de retour, de potentiels candidats au depart, de Couches vulnérables ( jeunes et femmes), à travers la réalisation de projets productifs (économiques) dans leurs différentes régions d’origine.
Apres l. Étude et la sélection de projets, 53 bénéficiaires dont 37 projets portés par ded migrants de retour, 16 projets portés par de potentiels. Le tout, pour une enveloppe financière de 60 millions de Fcfa pour faciliter leur réintégration socio_économique.
En somme, l’ objectif de la rencontre est d’octroyer aux 53 bénéficiaires des fonds régionaux les équipements pour la mise en œuvre de leurs projets économiques
Le Bureau d’ Accueil, d’ Orientation et de Suivi des sénégalais de l’ extérieur ( Baos), fidèle à sa logique de lutte contre le « Barça ou Barsakh », s’évertue, depuis 4 ans, à trouver des solutions aux problèmes relatifs au phénomène migratoire. Ainsi, beaucoup de projets ont été réalisés, pour participer à l’ employabilité des jeunes, dans le domaine de l’aquaculture notamment.
Le projet « Gouvernance_ Développement », qui a installé les 14 Baos dans les 14 régions du pays, a libéré quelque 840 millions de Fcfa en vue d’assister et se soutenir les migrants de retour. Parallèlement, le Baos s’est lancé dans la formation et l’accompagnement des migrants de retour, à travers les associations. De même, le Baos a accompagné les femmes dans la formation, la transformation et recruté 123 jeunes pour une migration circulaire dans la péninsule ibérique.
.
Lycée Charles De Gaulle de Saint_Louis : Ou Comment Susciter une Saine Concurrence chez les Apprenants pour Maintenir le Cap de l’ Excellence
_ Les meilleurs élèves du lycée Charles De Gaulle de Saint_Louis ont été honorés, ce week-end, en présence de leurs parents, des autorités académiques, coutumières et d’ anciens de l’établissement. Un caneva, non négligeable, pour maintenir le cap de l’excellence dans l’antre de ce creuset du Savoir. Fièrement, les primés ont, ainsi, paradé avec leurs lots de cadeaux, devant l’assistance. De quoi mettre l’eau à la bouche de leurs autres camarades qui,. à coup sûr, vont tâcher, à l’occasion des prochaines compositions, de cravacher dur, pour ne plus se contenter du menu fretin et autres accessits.
Lycée Cheikh Oumar Foutiyou Tall : Les Meilleurs Elèves Primés
_ Le lycée Cheikh Oumar Foutyou Tall de Saint_ Louis ( ex Faidherbe ) a fêté ses 46 meilleurs élèves. L’ objectif consiste à stimuler les élèves pour permettre à l’établissement de retrouver l’excellence qui a toujours été son credo. Le thème de cette année est « l’ apport du numérique dans les enseignements apprentissages ».
Can U 17 : Le Sénégal Gagne ( Évidemment ) !
_ Encore une coupe d’Afrique de football pour le Sénégal ! Par ces temps qui courent, les tournois de football se suivent et se ressemblent pour le Sénégal. Ainsi, aprés la Can, le Chan, le Beach Soccer, les U 20, le Sénégal remporte la Can des U 17, organisée en Algérie, en battant, en finale, le Maroc ( 2 buts à 1). Serigne Diouf du Sénégal est le meilleur gardien de buts du tournoi tandis qu’avec 5 buts, le numéro 10 et capitaine des Lions de la Téranga Amara Diouf termine meilleur buteur de Can U 17.
Recensement de la Population Sénégalaise : Le CARS Brandit le Boycott
_ « C’est avec amertume et extrême affliction que le Collectif des Agents Recenseurs du Sénégal (CARS), à travers ce communiqué fait part l’opinion de la situation très chaotique du RGPH-5.En effet, depuis plus de deux semaines, le CARS reste dans l’attente du retour du Directeur Général de l’ANSD qui avait promis de faire un retour pour les points de revendications suivants :La hausse de la rémunération des AR et Contrôleurs ;La sécurité des AR et Contrôleurs ;La prise en charge du déplacement de l’AR jusqu’à son DR ;La sélection de tous les AR injustement recalés lors du test final y compris les délégués.Cependant, il faut retenir que depuis lors, l’autorité est dans un silence inquiétant qui présage d’ailleurs le non respect de la parole donnée. Ce mutisme de la part du Directeur Général de l’ANSD suscite de nombreuses interrogations au vu des choses graves qui se passent depuis le début des activités de ce 5e recensement.Nous tenons à vous rappeler qu’au moment où ces lignes sont entrain d’être écrites, des milliers AR n’ont pas encore reçu leur indemnité de transport pour les 10 jours de formation. Ce qui entrave gravement le bon déroulement du recensement.Il faut aussi dire qu’ aujourd’hui, force est de constater que d’honnêtes citoyens de ce pays sont privés de leur envie de service injustement. Et ceci, est le travail d’un groupe de personne logé au niveau l’ANSD qui font entrer et retirer qui ils veulent, quand ils veulent et comme ils veulent dans les listes. Mais s’il faut retenir que si cette association de malfaiteurs prospère dans le cadre de cette activité, c’est parce que les CTR et CTD comme certains Superviseurs sont en parfaite connivence avec ces agissements malsains qui n’honorent pas l’administration du pays, celle de l’ANSD en particulier.Au regard de la situation dans certaines communes dont le test final tarde toujours a être fait alors que le RGPH-5 devrait commencer il y a 72 heures, c’est parce que le Directeur Général de l’ANSD et ses collaborateurs ont failli à leur mission dès le début. A ces communes, il faut y ajouter les communes dont le matériel n’est toujours pas disponible tout comme les communes dont les AR chargés de faire le travail refusent catégoriquement d’aller sur terrain au vu des manquements et incertitudes qui caractérisent ce recensement.A cet effet, le CARS interpelle directement le Président de la République et l’appelle à prendre la question en charge pour que solutions soient trouvées avant que ce recensement avec tout le budget qui y est mis se solde par un échec cuisant. Si cela n’est pas fait, le CARS affirme avec exactitude que dans les 10 ans à venir, le Sénégal ne disposera pas de données statistiques, démographiques fiables car là sérénité, le professionnel et la transparence qui devrait être fait aux préalables n’a pas eu lieu. Et si une telle chose se présente, ce n’est ni de la responsabilité de l’AR ou de l’Agent Contrôleur. Mais, ils seront tenus comme responsables le Directeur Général de l’ANSD et ses collaborateurs qui ont montré toutes leurs limites à gérer cette opération de dénombrement de la population.Le CARS tient à rappeler que si les autorités persistent à vouloir faire le recensement dans ses conditions alors que le calendrier est déjà chamboulé à l’avance du fait du laxisme des autorités et leur manque de professionnalisme, adviendra ce qui adviendra.S’agissant de la situation des AR ayant subi les 10 jours de formation sans être sélectionné à cause des sélections partisanes constatées dans plusieurs centres de formation, le CARS appelle tous les AR recalés à se constituer en répondant dans leur ménage pour réparer l’injustice qu’on leur a fait subir et arrivera ce qui arrivera par rapport à la fiabilité des données.Le CARS réitère son engagement et demande à tous les Agents Recenseurs comme les Contrôleurs à maintenir le mot d’ordre du boycott jusqu’à ce que diligence soit apportée aux points susmentionnés ».
Situation Alarmante des Centres de Formation Professionnelle Agricole : Le Cri du Coeur du Chef du Bfpa
_ Sur les 16 Centres de Formation Professionnelle Agricole, sous tutelle du ministère de l’agriculture, dont dispose le Sénégal, seul celui de Saint_Louis présente un tableau reluisant. Pour les autres, c’est le désert, le délabrement total. Aprés avoir sillonné le pays en vue de faire l’inventaire des équipements, du patrimoine bâti et du foncier de l’ensemble des Centres de Formation Professionnelle Agricole, Serigne Cissé, le chef du Bureau de la Formation Agricole du ministère de l’agriculture, a fait ce constat. Un tel état de fait ne favorise pas une contribution honorable de ces centres dans le cadre de la volonté étatique d’atteindre la souveraineté alimentaire, dans les plus brefs délais.
Ainsi, pour redorer le blason des Centres de Formation Agricole en les dotant d’équipements et de personnel de qualité, à défaut de bénéficier de la coopération comme à Saint_Louis, Serigne Cissé d’ inviter les projets et les programmes localisés au ministère de l’agriculture de venir jouer leur partition.
En réalité, le chef du Bfpa considère que le premier intrant de la base productive demeure les ressources humaines. Ce qui prouve que les projets et programmes ne doivent pas laisser en rade la viabilité des centres dans leur Ptba. D’autant que, selon notre interlocuteur, la formation des ressources humaines est le premier levier pour aller sûrement vers la souveraineté alimentaire.
Dans la foulée, le chef du Bfpa n’a pas manqué de saluer l’anticipation du ministre Aly Ngouille Ndiaye qui a accepté de sortir 40 millions pour la formation pédagogique des formateurs des centres. Ce qui est, à l’en croire, une source de motivation qui va impacter positivement sur la carrière des formateurs.
Pour rappel, les Centres de Formation Professionnelle Agricole ont une mission de formation initiale et continue pour les jeunes, les producteurs et entrepreneurs agricoles du Sénégal.
D’ailleurs, le ministère, dans le cadre du budget_ programme, doit enrôler, chaque année, 500 jeunes dans les métiers de l’agriculture.
C’est pourquoi, le chef du Bfpa a plaidé pour un projet ou un fonds au
ministère de l’agriculture, de l’équipement et de la souveraineté alimentaire
dédié, uniquement, à la formation professionnelle agricole et rurale et l’érection du Bfpa en direction nationale pour une meilleure prise en charge des statistiques en matière de formation agricole.
Ugb : Le Personnel Décrète 48 heures de Grève pour Pester contre l’ Agression des Agents du Crous par des Étudiants
_ A Saint_Louis, le personnel de l’ Université Gaston Berger a décrété 48 heures de grève, au lendemain de l’agression de certains de leurs camarades, ayant entraîné des blessures au visage du directeur des domaines. Réunis au sein de l’intersyndicale, ces agents du personnel administratif technique et de services n’ont pas manqué de demander à l’administration de traduire les étudiants fautifs en conseil de discipline et de porter plainte contre X.
A l’occasion de leur assemblée générale ordinaire, ces agents du Crous ( Centre des Oeuvres Universitaires de Saint_Louis ) et du Rectorat ont rappelé que le temple du Savoir n’est pas une arène politique mais bien un haut lieu d’études et d’échanges de savoirs et de bons procédés. Estimant que les trois composantes de l’ Université que sont les étudiants, les enseignants et le personnel administratif technique et de services qui les encadrent, doivent s’évertuer à cohabiter dans un respect mutuel, ces messieurs et dames ont dit regretter ces incidents qui, selon eux, ne doivent plus se reproduire. Surtout, ont_ils fait noter, s’il s’agit de questions politiques et non de revendications sociales ou pédagogiques.