L’adage le dit bien. Il faut s’arrêter pour prouver le mouvement. Après trois années d’exercice, les acteurs et autres bénéficiaires du programme 3 Prd, financé avec l’appui de l’Agence Française de Développement, ont fait le bilan. Cette évaluation a permis de constater que la salinisation des rizières est un inconvénient majeur qui plombe les efforts déployés pour booster les rendements à l’hectare. La cherté de l’électricité ainsi que le coût hydraulique sont autant de contraintes à lever pour espérer des lendemains enchanteurs dans cette partie du Walo. Dans cet espace exclusivement réservé à la culture du riz, le volet sécuritaire gagnerait à être renforcé ainsi que l’ont souhaité les participants à cette assemblée générale.