Dans la capitale du Nord, les effets collatéraux consécutifs à l’Etat d’urgence assorti de couvre_feu ne vont pas manquer d’impacter, négativement, certains segments de la société. Et les daras, si l’on y prend garde, vont payer un lourd tribut. Ainsi, dans ce contexte, aider les daras en produits alimentaires comme le riz ou le sucre, c’est assurer la pitance à une couche vulnérable de la société qu’incarnent les talibés. Cela, le ministre_maire de Saint-Louis l’a bien compris. Dont acte !