Mais, bon sang, qu’est ce qui se cache derrière la nébuleuse qui entoure le Racing Club ? L’infrastructure, d’utilité publique, est au point mort depuis de longues années maintenant. Pourtant, dans ce contexte de manque d’espace pour les activités de jeunesse, notamment, ce Club qui était donné en bail aux coopérants français, pourrait être d’un grand apport. D’autant que le Racing Club dispose de terrains de football, de basket, de Tennis, d’une salle de judo et de karaté, d’une salle de conférence,, d’un bar, d’un dancing et tutti quanti. Seulement, depuis l’année 2013, l’Association des Consommateurs de Saint-Louis Asdic,, qui s’évertue à crever l’abcès, se heurte à un mur. Aujourd’hui, cette loi de l’Omerta, érigée en mode de gestion de ce dossier, fait grincer les dents dans l’ancienne capitale de l’Afrique Occidentale Française a glané le site de référence www.miroironeline.com.