L’homme est un passionné …. de musique. Henri Guillabert dort, mange, boit musique ! Même pendant la difficile période du Coronavirus, l’auteur_ compositeur trouve le temps, avec les partenaires de l’Institut français et les talents saint_louisuens, de faire de la musique en véhiculant un message d’espoir tout en valorisant certaines richesses culturelles de la localité. Et en invitant, surtout, les jeunes à prendre leurs responsabilités en vue de relever les défis post_Covid. Le Xalam s’est, naturellement, invité à l’entretien exclusif que le propriétaire du Quai des Arts de Saint_Louis a accordé au site de référence www.miroironeline.com. Un brin nostalgique, le membre fondateur du fameux groupe de soutenir que le Xalam, de par ses oeuvres, résiste, encore, à l’usure du temps. Avec un bémol, toutefois ! Les membres du Xalam ne tirent aucun bénéfice du travail acharné et de qualité produit antérieurement. Leur musique est utilisée sans paiement des droits d’auteur. Au surplus, les structures spécialisées ne font rien pour inverser la tendance. Dans la foulée, Henri Guillabert n’a pas manqué d’exhorter les autorités compétentes à tout mettre en oeuvre pour redonner à la culture de Ndar ses lettres de noblesse, a_t_il souhaité, un tantinet » chauvin « ..