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A Université Gaston Berger de Saint-Louis, les étudiants exigent la reprise des cours, dans les plus brefs délais. Ils prennent, ainsi, le contre-pied des autorités académiques qui ont retenu le mois de Septembre pour le retour dans les universités. Selon le schéma défini par la coordination des étudiants de Sanar, le retour dans les amphis devrait se faire progressivement, et en deux phases. Les étudiants en classes intermédiaires qui sont en Licence 3 et Master 2 d’abord, le reste ensuite. Face à la presse, les pensionnaires du temple du savoir n’ont pas manqué d’expliquer que leurs traditionnelles doléances demeurent. Contrairement aux déclarations de la tutelle qui a soutenu récemment, selon les étudiants, que les problèmes à l’Ugb sont résolus. Nos interlocuteurs de citer, pêle-mêle, le déficit de logements, l’insalubrité ambiante dans le campus, les problèmes d’assainissement, le manque d’eau, de wifi et tutti quanti.

Après les événements de Yarakh, Guet_Ndar rue dans les brancards,. À l’issue d’une assemblée générale extraordinaire, organisée au quai de pêche, initiée à cet effet, les responsables des principales associations de pêcheurs de cette partie de la Langue de barbarie ont déploré, avec l’énergie du désespoir, la bagarre de Yarakh. Ces responsables de pêcheurs de Guet_Ndar, trés remontés contre le maire de Yarakh, de réclamer justice tout en souhaitant le dédommagement des propriètaires de pirogues incendiées lors des affrontements entre les pêcheurs des deux localités a glané le site de référence www.miroironeline.com. Estimant être dans leur bon droit de pêcher partout dans les eaux sénégalaises, ces guet_ndariens n’ont pas manqué d’interpeller les pouvoirs publics sur l’urgence et la nécessité d’œuvrer pour leur permettre de pratiquer leur art dans de bonnes conditions. Au surplus, ces professionnels ont invité le chef de l’ Etat et son gouvernement à prendre les mesures conservatoires qui s’imposent en vue de dissuader d’éventuels énergumènes qui seraient tentés de reconduire le même modus operandi. À les en croire, il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard d’autant que  » nos agresseurs ont profité de la survenue du Coronavirus pour mettre à exècution leur sale besogne qui est la phase finale d’un plan savamment cogité de longue date « . Visiblement décidés à laver ce qu’ils considèrent comme  » un affront », nos interlocuteurs ont, aussi, émis leur ardent désir de voir  » les coupables de cette agression ignoble sous_tendue par l’hypocrisie et la méchanceté punis « .