Dans la commune de Gnith, le maire désamorce la « bombe foncière de Kaam Bouki ». Vingt_quatre heures aprés la sortie de certaines populations du village de Kaam Bouki, l’édile de Ngnith a fait face à la presse pour dégager en touche la persistance rumeur, aux allures d’accusation, de spoliation foncière. A l’en croire, l’idée d’ajouter 500 hectares de terre aux 1500 préalablement définis, d’un commun accord avec les populations, ne lui a, jamais, effleuré l’esprit. Au contraire, sa volonté d’utiliser le foncier de Kaam Bouki à bon escient en bandoulière, Adama Sarr a, même, jugé opportun de n’ octroyer qu’une partie de la surface en question à l’investisseur. En attendant, a_t_il précisé, d’y voir clair sur ses réelles capacités à valoriser les 750 hectares mis à sa disposition. Étant entendu que, les 750 autres hectares de ce foncier sont réservés aux populations autochtones.