Les derniers affrontements, qui ont eu lieu vendredi, entre les étudiants et les forces de l’ordre ont fait 18 blessés chez les pensionnaires de Sanar. Selon les étudiants, les gendarmes n’utilisent plus les lacrymogènes pour disperser la foule, mais bien pour viser et les atteindre de pleins fouets. Partis au chevet de leurs camarades internés à l’ hôpital de Saint_Louis, ils n’ont pas manqué d’annoncer qu’ils ne retourneront aux amphi le 2 Janvier prochain que lorsqu’ils auront empoché l’intègralité de leurs bourses.