_ « A Saint-Louis, l’on se prépare déjà à l’anniversaire du Centenaire de l’assassinat de Amadou Louis Mbarrick Fall dit Batling Siki. Le Comité d’organisation de cet événement, prévu les 13, 14 et 15 décembre 2025, a rencontré ce vendredi le chef de l’exécutif régional pour parler de ce fils de Guét-Ndar, champion du monde de boxe et qui a participé à la guerre de 39-45 ».

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_ « Le décret signé le 27 Mars 2024, c est à dire 3 jours apres l’ élection présidentielle, par le président Macky Sall, conférant à la Sen Csu le statut d assureur principal,.a crée un bouleversement du mode de gestion de l’assurance_maladie.
L agence Sen Csu se déploie pour enrôler des bénéficiaires. Elle a recruté son personnel technique, signant des conventions avec des prestataires tels que les pharmaciens et centres de santé, notamment les postes de centres de santé et hôpitaux. Contrairement à ses attributs originels d.encadrement, d’accompagnement, d’appui conseil, de supervision et même d’ audit des mutuelles de santé.
Cela crée, naturellement, un changement de paradigmes de la gestion du programme car la contre_partie de la cotisation de 3.500 Fcfa que la mutuelle recevait est captée par l agence qui parle de co_paiement des factures de prestations.
L’ agence nous a soumis un projet de convention. La discussion continue et nous souhaitons que l’ on arrive à un compromis pour le plus grand bien des populations ».

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_ Naissance, à l’ Université Gaston Berger de Saint_Louis, d’un club de Paix et de Solidarité. A l’initiative du Programme du consortium composé de l’ Ong 3 D, le Cosce et le Gradec, dans le cadre du Programme « Saxal Jamm », cette nouvelle trouvaille, un cadre d’échanges, vise à prévenir et préserver la cohésion sociale au sein du temple du Savoir. Etant entendu que l’espace universitaire est un panier à crabes où les revendications débouchent, souvent, sur des « fronts » entre étudiants et forces de l’ordre.

_ « A l’image de nombreux pays africains, le Sénégal reste marqué par une population
retour.
Le Programme ambitionne de soutenir les primo-créateurs et jeunes pousses par la mise en
Le deuxième champ d’action, « Insertion et qualification professionnele » travaille au
Insertion et qualification professionnelle ;
les acquis, la deuxième phase du Programme « Réussir au Sénégal » (2021-2023) se donne
Entrepreneuriat & incubation ;
l’animation du dialogue social en créant des moments et espaces d’échange entre la
leur entrée dans une phase de croissance. A ce niveau, une attenton particulière est
mise en œuvre depuis 2017 du programme « Réussr au Sénégal » par la coopération
allemande à travers la GIZ et sur financement du Ministère fédéral allemand de la
de la Formation Professionnelleet Technique(MFPT) se traduisant par son alignement sur
les axes prioritaires de la poitique sectorielle de l’Etatà travers tros (3) champs d’action :
multiplicaton des opportunités de revenus et d’emplois pour les jeunes et les migrants de
instances locales de gouvernance. Il participe à la valorisation des potentialités dans les
coopération économique et du développement (BMZ). L’ambition de ce vaste programme
école-entreprise, d’érection d’espace de transit, de développement de processus de stages
Quant au troisième champ d’action « Perspectives et Communication », il contribue à
pour mission de soutenir l’entrée des jeunes âgés de 15 à 35 ans et des migrants de retour
S’inscrivant dans le sillage de la première phase (2017-2021) dont elle capitalise également
relativement jeune. 75% de cette population sont âgés de moins de 35 ans, confrontant le
jeunesse, les migrant·e·s de retour, les aîné·e·s, les acteurs socioéconomiques et les
dans la vie active. C’est ce qui explique l’ancrage institutionnel du programme au Ministère
aidés. Toutes ces initiatives dans le sens de faciliter la rencontre entre l’offre et la demande
Perspectives et communication ;
inspirée du continuum orientation –formation –insertion. Il se traduit par la miseen place
pays au défi de l’accès à la formation, à la qualification et à l’emploi. C’est ce qu justifie la
des petites et moyennes entreprises en quête de solutions de financement adaptées pour
digitalisation se positionnent comme accélérateurs.
place de nouveles entreprises portées par des jeunes et le renforcement de la compétitivté
d’initiatives de guidance professionnelle des jeunes, d’installation de dynamique partenariale
Dans le premier champ d’action en l’occurrence « Entrepreneuriat et Incubation », le
rapprochement des mondes de la formation et de l’emploi par une série de mécanismes
en matière d’emploi.
est de soutenir les efforts de l’Etat du Sénégal pour l’élargissement des perspectives et la
produits de communication, ainsi que des actions de mobilisation et de plaidoyer par et pour
accordée aux processus d’incubation et de diffusion d’innovations dont le numérique et la
terroirs et les opportunités d’y éclore un futur prospère, à travers un paquet d’activités et de
les jeunes, orientées vers leurs pairs et leurs communautés.
Mise en oeuvre depuis 2018, dans l’antenne Nord, couvrant les régions de Saint Louis,Lougaet
nombreux sont les partenaires qui ont vu leurs capacitésde levée de fonds optimisées grâce
faveur de l’emploi des jeunes à laquelle a contribué le Programme «Réussir au Sénégal»
par une densification de leur portefeuille d’activités.Cette multplication des initatives en
interventions.
Programme ou travailléen collaboration avec Réussr au Sénégal.
activités menéesafin de valoriser les résultats et approchesmais aussi de réfléchir ensemble
dans les régions de Sant Louis, Matamet Louga ont soit bénéficiédes interventions du
Sur le plan de l’impact, ils sont aujourd’hui des centaines de jeunes, entrepreneurs,
comme pour la phase 2, en contribuant à la promotion des perspectives d’emplois pour les
jeunes mais également au développement économique. Au fur et mesure, le Programme a
incubateurs ou organisation de la société civile ayant pris leur envol sur le plan économique
un ateler de clôture. Ce moment d’échange permettra non seulement de dresser un bilan des
et contrat de financement)sur les règles et procédures en gestion administratve et financière,
élargi son portefeuille d’activité et de partenaires pour avoir travaillé avec les collectivités
autres organsatons de la société civile.
Matam, le Programme Réussir au Sénégal a marqué de son empreinte, durant la phase 1
(Chambre de commerce, Chambre de métiers, les incubateurs, les Organisation Non
évoluant dans l’écosystème de l’emploi, de la formation professionnelle et de l’entrepreneurat
Gouvernementaes, les organsation de jeunes, les groupes de promotion féminines entre
territoriales, les Agences régionales de développement,les Etablissements de Formation
Professionnelle et Technique,les agences publiques d’emplois, les chambres consulaires
Au cours de ces huit (08) années de mise en œuvre, l’essentiel des acteurs significatifs
et social grâce aux interventions duProgrammeRéussir au Sénégal. En plus du renforcement
à la conclusion d’accords de partenariats opérationnels avec d’autres bailleurs; se traduisant
grâce à son approche d’opérationnalisation va dans le sens de maximiser l’impact des
Aujourd’hui, alors que le projet arrive à son terme, il est essentiel de marquer cette étape par
de capacités des partenaires bénéficiaires de subsides (subvention locale,Grant agreement
aux perspectives de pérennisation du programme ».

– << Le Projet d’appui à l’insertion professionnelle des jeunes et des femmes formés (PAIJEF) du Ministère de la Formation Professionnelle a collecté les résultats du Projet de lutte contre la migration irrégulière par l’appui au secteur privé et à la création d’emplois au Sénégal (PASPED), coordonné par l’AICS au cours de la période 2019-2023, afin de promouvoir dans les 14 régions du pays un partenariat avec les Agences de Développement Régional (ARD) et avec la Direction de l’Emploi du Ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions (MTERI) dans le but de promouvoir des activités d’animation au niveau territorial et des activités structurantes de l’écosystème d’insertion professionnelle visant à consolider la relation entre l’offre et la demande de travail décent, notamment pour les jeunes, les femmes et les personnes handicapées.

L’objectif spécifique de L’Action FIT ! PAIJEF est l’opérationnalisation des Dispositifs Territoriaux de Premier Emploi (DTPE-ARD) au niveau régional visant l’insertion des jeunes formés, hommes, femmes et personnes handicapées. À cet effet, les 14 Dispositifs Territoriaux de Premier Emploi (DTPE) sont pleinement opérationnels. Ces structures sont chargées de l’analyse de l’offre de travail, de la mise en relation entre la demande et l’offre, du suivi du parcours de premier emploi (stage) des jeunes diplômés en collaboration avec les autres services déconcentrés sectoriels, les chambres consulaires, les conseils régionaux de la jeunesse, etc.

La fonctionnalité du DTPE dans toutes les régions a permis de mener à bien les activités liées à l’identification des micros- petites- et moyennes entreprises (MPME) et à l’analyse des besoins en matière de profils professionnels, à la publication de l’appel régional à la présélection des jeunes formés, à la mise à disposition de short list de candidats aux MPME identifiées, à la

signature de conventions avec les entreprises bénéficiaires et, enfin, à la formalisation de contrats de stage avec les jeunes formés sélectionnés par les MPME à l’issue d’entretiens d’embauche. La première phase de stage a officiellement débuté dans les 14 régions du pays le 2 septembre 2024 pour une durée de 10 mois (expirant le 30 juin 2025).
La cérémonie a pour objectif principal de remettre aux jeunes, ayant participé à la première phase d’insertion professionnelle, les attestations de stage.
De manière spécifique, la cérémonie permettra de mieux faire connaitre l’Action FIT ! PAIJEF, de partager les principaux résultats liés à l’insertion des jeunes et faire un bilan de la première phase d’insertion de l’Action FIT ! PAIJEF, et de partager les expériences de l’Action FIT ! PAIJEF (stagiaires/MPME) >>.

_ La forêt classée de Rao, dans le département de Saint_Louis, abrite, le 3 Août prochain, la cérémonie officielle de la journée nationale de l’arbre. Le challenge de cette année, au niveau national, c’est de reboiser 1 million d’arbres en 48 h. Les deux arbres_parrains sont le manguier et le baobab.

_ L’ alerte est donnée. La mangrove est menacée à Pikine, notamment le long de la berge du fleuve. Des jeunes du quartier, des activistes et autres blogueurs sonnent, ainsi, le tocsin en vue d’une réaction des autorités compétentes. D’autant que, sur place, « la mangrove est massacrée » à les en croire.

_ L’ implication communautaire a été d’un grand apport dans la réussite de la séance de reboisement initiée par le ministre de l’urbanisme, des collectivités territoriales et de l’ Aménagement des Territoires du Sénégal, à Saint_ Louis. Cette activité, organisée en prélude de la journée nationale de l’arbre programmée, cette année, dans la forêt classée de Rao, a permis de sensibiliser, le grand public, sur l’importance qu’il convient d’accorder au suivi et la conservation des acquis.

_ « Depuis plus de vingt ans, les Centres de Gestion et d’Économie Rurale (CGER) accompagnent les exploitations familiales, les coopératives agricoles et les organisations rurales dans la Vallée du fleuve Sénégal à travers des services de conseil de gestion, d’appui organisationnel, de formation et de professionnalisation.Rappelons que le CGER est un réseau associatif de comptabilité et de conseil de gestion des organisations de producteurs (OP). Il a été mis en place en 2004 dans la vallée du fleuve Sénégal par les producteurs pour contribuer à l’amélioration de la gestion de leurs OP. Il est appuyé par l’Etat du Sénégal depuis sa création à travers les lettres de mission de la SAED et par l’Agence Française de Développement (AFD) à travers les projets agricoles tels que le PAOP;le PACR; ASAMM / APEFAM; 3PRD ; AIDEP et le programme DELTA.L’évolution du contexte institutionnel, marqué par la volonté de passer d’un système de subvention à un financement basé sur la performance à travers un contrat de prestation de services, a conduit à une restructuration des relations entre la SAED et le CGER.Cet atelier vise à officialiser cette nouvelle dynamique à travers la signature d’un contrat d’objectifs unique, tout en mettant en valeur les résultats obtenus par le CGER VALLEE depuis sa création et en engageant une réflexion nationale sur la pérennisation du conseil de gestion dans les politiques publiques.L’atelier sera également l’occasion de valoriser l’appui déterminant de l’Agence Française de Développement (AFD) dans la consolidation et l’institutionnalisation du dispositif CGER, à travers ses appuis techniques et financiers, et son rôle moteur dans la capitalisation et la structuration du modèle ».

_ L’ Etat du Sénégal vient de mettre à la disposition des riziculteurs de la Vallée du fleuve_Sénégal, une vingtaine de moissonneuses_batteuses. Cet appui en matériel agricole va permettre de sauver les récoltes de contre_saison chaude. Actuellement 35 % du riz est en souffrance au niveau des rizières alors que la période pluvieuse du mois d’ Août arrive à grands pas.
L’occasion faisant le larron, les professionnels du riz ont alerté sur la nécessité d’organiser la lutte contre les oiseaux granivores tout en espérant qu’ une solution soit trouvée au lancinant problème du crédit agricole.