Catégorie : Education

_ « L’ Université numérique Cheikh Hamidou KANE (UN-CHK, ex UVS) célèbre cette année son 10ème anniversaire sous le thème : « 10 ans de proximité, l’UN-CHK, un atout pour les terroirs ». Cet anniversaire est marqué par les « Graduation Days », une initiative innovante visant à célébrer la réussite de 8 972 étudiants en Licence et Master. Dans le cadre de ce format inédit, plusieurs cérémonies de remise de parchemins auront lieu dans différentes localités du pays où est présente l’UN-CHK, à travers ses Espaces numériques ouverts (ENO). Cette nouvelle approche vise à rapprocher l’université des communautés locales, permettant à la fois aux étudiants, à leurs familles et à leurs amis de participer à ces moments mémorables de consécration. Après la première journée tenue à Kolda regroupant les ENO de Kolda, Bignona et Ziguinchor et la deuxième journée de Podor pour les ENO de Podor et Ndioum, l’UN-CHK met à l’honneur ses diplômés des ENO de Saint-Louis, Louga et Linguère.
Ces « Graduation Days » marquent un jalon significatif dans l’histoire de notre institution. Moments de célébration et de communion, ces rendez-vous sont aussi l’occasion de montrer les réalisations académiques de nos étudiants, mais également de mettre en lumière les succès de l’UN-CHK en tant que première université publique à caractère numérique en Afrique de l’Ouest. Avec une approche pédagogique innovante et une vision axée sur la promotion de l’enseignement accessible à tous, l’UN-CHK a relevé le défi de fournir une formation de qualité à tous, quel que soit leurs lieux de résidence. Cette année, ils sont 8 972 étudiants en fin de premier et deuxième cycle à recevoir leurs parchemins au cours des journées « Graduation Days » qui se dérouleront dans neuf (9) localités où sont implantés nos Espaces numériques ouverts (ENO) ».

_ « A l’occasion de sa visite de travail dans la région de Saint-Louis du 29 janvier au 2 février, le secrétaire exécutif de l’Autorité Nationale d’Assurance Qualité de l’ Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation (Anaq-Sup), le Pr Lamine Guéye, a procédé, en présence des autorités de l’Université Gaston Berger (Ugb), au lancement de l’auto-évaluation de l’ école doctorale des sciences et des technologies de l’Ugb.
Au cours de la rencontre, le processus d’Accréditation du diplôme de doctorat conformément à la politique nationale d’assurance qualité (reconnaissance des diplômes) leur a été présenté. En effet, l’évaluation sera faite sur la base du référentiel d’évaluation des écoles doctorales de l’Anaq-Sup, à travers (4 champs d’évaluation) que sont :- Mission, objectifs et positionnement scientifique de l’ED- Offre de formation doctorale- Organisation, fonctionnement et coopération scientifique de l’ED- Formation des doctorants, encadrement, suivi des thèses et insertion des diplômés et (15 standards d’évaluation)Il s’agit du lancement de la première autoévaluation d’une école doctorale au Sénégal.D’autres écoles doctorales (particulièrement 6 à l’UCAD) vont lancer leur autoévaluation. D’ailleurs, l’Avis à Manifestation d’Intérêt pour la vague 2023 est rendue publique. A l’état actuel, au Sénégal, tout diplôme de doctorat délivré par les universités autre que publiques n’est pas reconnu. A terme, tout diplôme de doctorat devra être évalué en vue d’une accréditation. La durée de l’accréditation est de 6 ans.Au cours de son séjour de trois jours à Saint-Louis, le secrétaire exécutif de l’Anaq-sup, le professeur Lamine Guèye a rencontré l’ensemble des autorités locales allant du politique à l’administration pour vulgariser les missions de l’agence en charge de l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur ».

_ Dans le secteur de l’éducation, l’ Union des Enseignants du Sénégal bande les muscles. L’ Ues entend réclamer, à l’issue du préavis de grève déposé ce 10 Janvier et qui expire le 10 Février prochain, le reversement des décisionnaires dans le corps des fonctionnaires, l’allongement optionnel de l’âge de la retraite à 65 ans, la tenue, à date échue, des commissions d’avancement entre autres. La délégation de l’ Ues a fait escale à Saint_Louis, dans le cadre de sa tournée nationale d’information.

« L’ Association Fidei a offert ce Jeudi plus de 14 mille livres à des structures de la commune de Saint-Louis dont le Crds, l’institut Français et des écoles maternelles et élémentaires.
Ce don à été remis aux bénéficiaires par le représentant local de Fidei Oumar Thioye, en présence de l’inspecteur Pape Amadou Guéye, secrétaire général de L’ Ief de Saint-Louis Commune qui a rappelé la place du livre dans la formation des élèves. Il a invité les directeurs d’école et les présidents de comités de gestion présents, le rôle qu’ils doivent jouer dans la promotion du livre qui passe nécessairement par son utilisation en classe et à l’école en général à travers des séances de lecture et d’animation autour du livre.
Dans le même lancée, le représentant de FIDEI a fait savoir que les bibliothèques des écoles partenaires seront renforcées dans les écoles partenaires et des coins de lecture créés dans les classes des écoles ne disposant pas de bibliothèques ».

« Le 8 Mars , ça vous dit quoi?…La journée internationale de la femme. Et le 11 Novembre ? Rien du tout !!! Alors retenez que le 11 Novembrebre est La journée nationale pour l’éducation et la scolarisation des filles.
Dans nos établissements scolaires, les filles sont majoritaires ; elles surclassent même les garçons dans toutes les matières. Éduquer une fille, C’est éduquer une Nation…
Seulement,dans la société actuelle, la jeune fille est victime de multiples traquenards qui ont pour noms kidnappings, viol, violences sexuelles ou sexistes, pédophilie, pornographie, prostitution, libertinage, déperdition, maltraitance, grossesses précoces indesirees, cybercriminalité…
La Communauté scolaire dans toutes ses composantes se doit de saisir cette belle opportunité pour sensibiliser les jeunes filles, les pousser à prendre conscience de leur vulnérabilité et faire face aux dangers qui les guettent au quotidien à l’école, sur le chemin de l’école , dans le foyer familial mais aussi et surtout à travers les réseaux sociaux.
Cette année, l’institution d’excellence TAFSIR OUMAR SALL ( IEXTOUS)a initié un débat interactif entre élèves autour de la thématique suivante : De la Masculinité Positive pour face à la Féminité Négative ».

Fermée depuis 2016, suite à l’ érosion de sa façade maritime, consécutive à l’avancée de la mer, l’ école Cheikh Touré rouvre ses portes. En effet, grâce à l’ association Fidei qui a financé la réhabilitation de l’ établissement scolaire, les élèves vont reprendre le chemin des classes, dès ce lundi. Étant entendu que durant tout ce temps, les potaches de cette partie de la Langue de Barbarie migraient vers les quartiers les plus proches pour squatter leurs écoles.
Il faut dire que face au danger que représentait l’avancée de la mer, le préfet du département de Saint Louis avait sorti l’arrêté n°154 du 19 mars 2018 qui consacrait la fermeture de l’école primaire Cheikh Touré, sise à Guet_Ndar, dans la Langue de Barbarie.
Une fermeture, d’ailleurs, devenue nécessaire pour la sauvegarde de la sécurité publique. A l’ époque, les toilettes de l’établissement s’ étaient effondrées alors que des pans entiers de l’édifice menaçaient de s’écrouler.
Aujourd’hui, là où les pouvoirs publics ont traîné les pieds depuis lors, l’association franco_sénégalaise Fidei a mis 45 jours et pour un montant global de 10 millions de Fcfa pour remettre à neuf cette école. Au niveau de la maternelle, 3 salles de classes sont, désormais, fonctionnelles tandis qu’au niveau de l’ élémentaire, 6 classes sont rénovées. Sans oublier la remise en service du bloc administratif. Il convient de rappeler que l’ ‘autre école du quartier, dénommée Ablaye Mbengue Khaly, est toujours interdite au public pour les mêmes raisons.

Déjà 5 écoles sont fermées dans la commune de Saint_Louis. La cause principale reste la vétusté. Parmi celles_çi, seule l’école Cheikh Touré, sise au quartier Geut_Ndar, grâce à un partenaire d’ Outre_Atlantique, est en passe de réouvrir ses portes. Ville d’intellectuels, première ville à abriter une école dans l’espace de l’ Afrique de l’ Ouest, centre d’élégance et de bon goût, la cité tricentenaire ne pouvait rester sans réagir. Les autorités municipales, les acteurs de l’éducation et autres bonnes volontés s’évertuent, en effet, à rétablir l’orthodoxie.